Rosset, philosophe du tragique
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- Nombre de pages208
- FormatePub
- ISBN978-2-13-084494-5
- EAN9782130844945
- Date de parution12/04/2023
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille328 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
Résumé
L'ouvre de Clément Rosset cherche à établir une « théorie du réel », comprenant par là une critique de l'illusion. Trois figures principales n'ont de cesse de revenir du premier au dernier de ses livres : le réel, le double, la joie. Si Rosset est suffisamment « reconnu » dans le milieu éditorial, il demeure mal connu du milieu universitaire et professionnel, associé qu'il est à bien des auteurs ou des « mouvements » dont il a pourtant pris le soin de se détacher.
Peu lu, il est surtout, nous semble-t-il, mal lu : les quelques études qui lui ont été consacrées, les commentaires que son ouvre suscite çà et là, donnent souvent l'impression de passer à côté de l'essentiel, de ne retenir de ses trois figures - le réel, le double, la joie - que le son creux de leur nom. Cet essai tente de montrer au contraire la spécificité de la « philosophie tragique » de Rosset, en la prenant pour une tentative cohérente et rigoureuse d'aborder l'expérience humaine du désir qui rende compte de la paradoxale et énigmatique joie de vivre.
Peu lu, il est surtout, nous semble-t-il, mal lu : les quelques études qui lui ont été consacrées, les commentaires que son ouvre suscite çà et là, donnent souvent l'impression de passer à côté de l'essentiel, de ne retenir de ses trois figures - le réel, le double, la joie - que le son creux de leur nom. Cet essai tente de montrer au contraire la spécificité de la « philosophie tragique » de Rosset, en la prenant pour une tentative cohérente et rigoureuse d'aborder l'expérience humaine du désir qui rende compte de la paradoxale et énigmatique joie de vivre.
L'ouvre de Clément Rosset cherche à établir une « théorie du réel », comprenant par là une critique de l'illusion. Trois figures principales n'ont de cesse de revenir du premier au dernier de ses livres : le réel, le double, la joie. Si Rosset est suffisamment « reconnu » dans le milieu éditorial, il demeure mal connu du milieu universitaire et professionnel, associé qu'il est à bien des auteurs ou des « mouvements » dont il a pourtant pris le soin de se détacher.
Peu lu, il est surtout, nous semble-t-il, mal lu : les quelques études qui lui ont été consacrées, les commentaires que son ouvre suscite çà et là, donnent souvent l'impression de passer à côté de l'essentiel, de ne retenir de ses trois figures - le réel, le double, la joie - que le son creux de leur nom. Cet essai tente de montrer au contraire la spécificité de la « philosophie tragique » de Rosset, en la prenant pour une tentative cohérente et rigoureuse d'aborder l'expérience humaine du désir qui rende compte de la paradoxale et énigmatique joie de vivre.
Peu lu, il est surtout, nous semble-t-il, mal lu : les quelques études qui lui ont été consacrées, les commentaires que son ouvre suscite çà et là, donnent souvent l'impression de passer à côté de l'essentiel, de ne retenir de ses trois figures - le réel, le double, la joie - que le son creux de leur nom. Cet essai tente de montrer au contraire la spécificité de la « philosophie tragique » de Rosset, en la prenant pour une tentative cohérente et rigoureuse d'aborder l'expérience humaine du désir qui rende compte de la paradoxale et énigmatique joie de vivre.