Rien ne manquait au monde
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- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN978-2-89419-792-9
- EAN9782894197929
- Date de parution31/08/2021
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Herbes rouges
Résumé
Qu'advient-il de nous lorsque les liens qui nous unissent, longtemps éprouvés, se dissolvent ? Quand « il ne reste qu'une lande soumise / au brouillard, aux aléas des vents orageux, / que l'herbe, les montagnes, les fleuves / et les rochers perdent leur essence, » la poésie au souffle inébranlable de Marcel Labine s'élève, comme surgie d'en dehors du temps.
Ces poèmes, phrases disloquées, amples, entêtées, racontent de nombreuses facettes de la même dépossession : ne rien devoir à personne, ne faire aucune promesse, n'obéir qu'à soi-même, vivre détaché, indépendant, bâtard, sans ancêtres à louanger ni legs à préserver.
Naître de ses ouvres, nier la mort, jubiler, « riche de l'admiration que l'on voue / à ceux qui ne regardent pas derrière eux ». Et disparaître, sans faire de vagues, entre un requiem et un opéra, entre les hurlements du poète forcené et la cohue du métro.
Naître de ses ouvres, nier la mort, jubiler, « riche de l'admiration que l'on voue / à ceux qui ne regardent pas derrière eux ». Et disparaître, sans faire de vagues, entre un requiem et un opéra, entre les hurlements du poète forcené et la cohue du métro.
Qu'advient-il de nous lorsque les liens qui nous unissent, longtemps éprouvés, se dissolvent ? Quand « il ne reste qu'une lande soumise / au brouillard, aux aléas des vents orageux, / que l'herbe, les montagnes, les fleuves / et les rochers perdent leur essence, » la poésie au souffle inébranlable de Marcel Labine s'élève, comme surgie d'en dehors du temps.
Ces poèmes, phrases disloquées, amples, entêtées, racontent de nombreuses facettes de la même dépossession : ne rien devoir à personne, ne faire aucune promesse, n'obéir qu'à soi-même, vivre détaché, indépendant, bâtard, sans ancêtres à louanger ni legs à préserver.
Naître de ses ouvres, nier la mort, jubiler, « riche de l'admiration que l'on voue / à ceux qui ne regardent pas derrière eux ». Et disparaître, sans faire de vagues, entre un requiem et un opéra, entre les hurlements du poète forcené et la cohue du métro.
Naître de ses ouvres, nier la mort, jubiler, « riche de l'admiration que l'on voue / à ceux qui ne regardent pas derrière eux ». Et disparaître, sans faire de vagues, entre un requiem et un opéra, entre les hurlements du poète forcené et la cohue du métro.