Requiem pour un empire défunt. Histoire de la destruction de l'Autriche-Hongrie
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- Nombre de pages550
- FormatePub
- ISBN978-2-262-04858-7
- EAN9782262048587
- Date de parution12/06/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurTempus Perrin
Résumé
Le maître-livre pour comprendre le suicide de l'Europe
Dans un style éblouissant, François Fejtö raconte et dissèque les causes de l'écroulement de l'Autriche-Hongrie, dont la disparition en 1918 a selon lui entraîné l'Europe centrale dans la longue nuit des totalitarismes nazi puis soviétique. Pour ce faire, le grand historien dresse une histoire à rebours des idées recues de la double-monarchie jusqu'en 1914 avant de s'attacher aux causes directes de la première Guerre Mondiale et au déroulement du conflit jusqu'à son terme.
Conglomérat de peuples disparates, l'Empire avait su bâtir un modèle original et fédérateur, garant de l'équilibre européen à l'image de son empereur emblématique François-Joseph dont la figure tutélaire fut loué par des écrivains comme Joseph Roth ou Stefan Zweig. Sa désagrégation résulte de la volonté déterminée des Alliés, en particulier de Clemenceau, sous l'influence des exilés tchèques Masaryk et Benes.
Elle ouvrit la boîte de Pandore des rivalités nationalistes au cour de nouveaux Etats (Tchécoslovaquie et Yougoslavie notamment) édifiés par les vainqueurs sans tenir compte des aspirations des peuples. A l'Empire pacifique et arbitre succédaient des pays factices, minés par la question des nationalités que Wilson et Clemenceau avaient prétendu résoudre en mettant à bas L'Empire séculaire. Cette grande leçon d'histoire, qui se lit comme un roman, est présentée par Maurizio Serra, diplomate et historien italien, qui connaissait bien l'auteur avec lequel il avait réalisé un livre d'entretien. " Livre d'historien que ce Requiem pour un empire défunt, mais d'historien engagé.
Livre d'érudit, mais aussi essai combatif, puisque à l'encontre de la thèse la plus courante, François Fejtö récuse le terme de désagrégation, qui implique que l'empire est mort de maladie, et lui préfère le mot de destruction, qui implique que l'empire a été assassiné. " (A Finkielkraut)
Conglomérat de peuples disparates, l'Empire avait su bâtir un modèle original et fédérateur, garant de l'équilibre européen à l'image de son empereur emblématique François-Joseph dont la figure tutélaire fut loué par des écrivains comme Joseph Roth ou Stefan Zweig. Sa désagrégation résulte de la volonté déterminée des Alliés, en particulier de Clemenceau, sous l'influence des exilés tchèques Masaryk et Benes.
Elle ouvrit la boîte de Pandore des rivalités nationalistes au cour de nouveaux Etats (Tchécoslovaquie et Yougoslavie notamment) édifiés par les vainqueurs sans tenir compte des aspirations des peuples. A l'Empire pacifique et arbitre succédaient des pays factices, minés par la question des nationalités que Wilson et Clemenceau avaient prétendu résoudre en mettant à bas L'Empire séculaire. Cette grande leçon d'histoire, qui se lit comme un roman, est présentée par Maurizio Serra, diplomate et historien italien, qui connaissait bien l'auteur avec lequel il avait réalisé un livre d'entretien. " Livre d'historien que ce Requiem pour un empire défunt, mais d'historien engagé.
Livre d'érudit, mais aussi essai combatif, puisque à l'encontre de la thèse la plus courante, François Fejtö récuse le terme de désagrégation, qui implique que l'empire est mort de maladie, et lui préfère le mot de destruction, qui implique que l'empire a été assassiné. " (A Finkielkraut)
Le maître-livre pour comprendre le suicide de l'Europe
Dans un style éblouissant, François Fejtö raconte et dissèque les causes de l'écroulement de l'Autriche-Hongrie, dont la disparition en 1918 a selon lui entraîné l'Europe centrale dans la longue nuit des totalitarismes nazi puis soviétique. Pour ce faire, le grand historien dresse une histoire à rebours des idées recues de la double-monarchie jusqu'en 1914 avant de s'attacher aux causes directes de la première Guerre Mondiale et au déroulement du conflit jusqu'à son terme.
Conglomérat de peuples disparates, l'Empire avait su bâtir un modèle original et fédérateur, garant de l'équilibre européen à l'image de son empereur emblématique François-Joseph dont la figure tutélaire fut loué par des écrivains comme Joseph Roth ou Stefan Zweig. Sa désagrégation résulte de la volonté déterminée des Alliés, en particulier de Clemenceau, sous l'influence des exilés tchèques Masaryk et Benes.
Elle ouvrit la boîte de Pandore des rivalités nationalistes au cour de nouveaux Etats (Tchécoslovaquie et Yougoslavie notamment) édifiés par les vainqueurs sans tenir compte des aspirations des peuples. A l'Empire pacifique et arbitre succédaient des pays factices, minés par la question des nationalités que Wilson et Clemenceau avaient prétendu résoudre en mettant à bas L'Empire séculaire. Cette grande leçon d'histoire, qui se lit comme un roman, est présentée par Maurizio Serra, diplomate et historien italien, qui connaissait bien l'auteur avec lequel il avait réalisé un livre d'entretien. " Livre d'historien que ce Requiem pour un empire défunt, mais d'historien engagé.
Livre d'érudit, mais aussi essai combatif, puisque à l'encontre de la thèse la plus courante, François Fejtö récuse le terme de désagrégation, qui implique que l'empire est mort de maladie, et lui préfère le mot de destruction, qui implique que l'empire a été assassiné. " (A Finkielkraut)
Conglomérat de peuples disparates, l'Empire avait su bâtir un modèle original et fédérateur, garant de l'équilibre européen à l'image de son empereur emblématique François-Joseph dont la figure tutélaire fut loué par des écrivains comme Joseph Roth ou Stefan Zweig. Sa désagrégation résulte de la volonté déterminée des Alliés, en particulier de Clemenceau, sous l'influence des exilés tchèques Masaryk et Benes.
Elle ouvrit la boîte de Pandore des rivalités nationalistes au cour de nouveaux Etats (Tchécoslovaquie et Yougoslavie notamment) édifiés par les vainqueurs sans tenir compte des aspirations des peuples. A l'Empire pacifique et arbitre succédaient des pays factices, minés par la question des nationalités que Wilson et Clemenceau avaient prétendu résoudre en mettant à bas L'Empire séculaire. Cette grande leçon d'histoire, qui se lit comme un roman, est présentée par Maurizio Serra, diplomate et historien italien, qui connaissait bien l'auteur avec lequel il avait réalisé un livre d'entretien. " Livre d'historien que ce Requiem pour un empire défunt, mais d'historien engagé.
Livre d'érudit, mais aussi essai combatif, puisque à l'encontre de la thèse la plus courante, François Fejtö récuse le terme de désagrégation, qui implique que l'empire est mort de maladie, et lui préfère le mot de destruction, qui implique que l'empire a été assassiné. " (A Finkielkraut)
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