Réflexions sur la question noire. Réponse à Gaston Kelman
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- Nombre de pages180
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19453-3
- EAN9782296194533
- Date de parution01/04/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Que les minorités visibles protestent contre leur marginalisation, qu'elles réclament la reconnaissance institutionnelle de leur histoire, ou encore qu'elles revendiquent leur pleine participation à la citoyenneté ? Le verdict est connu d'avance, il est invariable et sans appel : " communautarisme ". De fait, une idéologie s'est formée : le " néorépublicanisme " qui s'emploie, au nom de l'universalisme, à délégitimer toute revendication de la part des Français de couleur.
Il a fait aujourd'hui de l'exhibition médiatique de quelques figures noires une de ses stratégies destinées à occulter l'acuité de la question noire en France. Pourtant, l'universalisme dont se prévaut le " néorépublicanisme " cache mal un plaidoyer pro domo. Sous prétexte de débusquer le " communautarisme ethnique ", il en vient à couvrir un autre communautarisme, celui des dominants, sûrs de leurs positions, et jouant des coudes pour préserver leur statut.
A travers sa réponse à Gaston Kelman, l'auteur rappelle des données fondamentales qui permettent d'apprécier autrement l'intégration républicaine des Français de couleur.
Il a fait aujourd'hui de l'exhibition médiatique de quelques figures noires une de ses stratégies destinées à occulter l'acuité de la question noire en France. Pourtant, l'universalisme dont se prévaut le " néorépublicanisme " cache mal un plaidoyer pro domo. Sous prétexte de débusquer le " communautarisme ethnique ", il en vient à couvrir un autre communautarisme, celui des dominants, sûrs de leurs positions, et jouant des coudes pour préserver leur statut.
A travers sa réponse à Gaston Kelman, l'auteur rappelle des données fondamentales qui permettent d'apprécier autrement l'intégration républicaine des Français de couleur.
Que les minorités visibles protestent contre leur marginalisation, qu'elles réclament la reconnaissance institutionnelle de leur histoire, ou encore qu'elles revendiquent leur pleine participation à la citoyenneté ? Le verdict est connu d'avance, il est invariable et sans appel : " communautarisme ". De fait, une idéologie s'est formée : le " néorépublicanisme " qui s'emploie, au nom de l'universalisme, à délégitimer toute revendication de la part des Français de couleur.
Il a fait aujourd'hui de l'exhibition médiatique de quelques figures noires une de ses stratégies destinées à occulter l'acuité de la question noire en France. Pourtant, l'universalisme dont se prévaut le " néorépublicanisme " cache mal un plaidoyer pro domo. Sous prétexte de débusquer le " communautarisme ethnique ", il en vient à couvrir un autre communautarisme, celui des dominants, sûrs de leurs positions, et jouant des coudes pour préserver leur statut.
A travers sa réponse à Gaston Kelman, l'auteur rappelle des données fondamentales qui permettent d'apprécier autrement l'intégration républicaine des Français de couleur.
Il a fait aujourd'hui de l'exhibition médiatique de quelques figures noires une de ses stratégies destinées à occulter l'acuité de la question noire en France. Pourtant, l'universalisme dont se prévaut le " néorépublicanisme " cache mal un plaidoyer pro domo. Sous prétexte de débusquer le " communautarisme ethnique ", il en vient à couvrir un autre communautarisme, celui des dominants, sûrs de leurs positions, et jouant des coudes pour préserver leur statut.
A travers sa réponse à Gaston Kelman, l'auteur rappelle des données fondamentales qui permettent d'apprécier autrement l'intégration républicaine des Français de couleur.