Raoul
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages250
- FormatePub
- ISBN2-234-06809-6
- EAN9782234068094
- Date de parution25/02/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille690 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock
Résumé
« Raoul Salvaing (1925-1987), mon père, entama, à l'âge de la retraite, plusieurs cahiers d'écolier, entreprenant tantôt d'y raconter l'histoire de ses parents ou de sa vie professionnelle, tantôt d'y exposer ses vues sur la démocratie, la femme au foyer, les syndicats, les immigrés, Dieu ou l'administration. La plupart de ces textes renoncent à eux-mêmes. J'en ai tiré cependant un élan d'où sont venus, jumeaux sans l'être, deux livres.
Un roman, paru il y a peu, Casa. Et ce récit, où reprenant les pas zigzagants des miens de la Belle Époque à la nôtre, de la lointaine création de l'école publique à Larcat (Ariège) à la récente fermeture de la mine de charbon de Gardanne (Bouches-du-Rhône), j'éclaire à la fois et je creuse mon vertige. Vertige devant ces quelques destinées, à la fois banales et uniques. Vertige devant l'entrelacs d'événements et de rêves, d'horreurs et de routines, d'inventions et de ruines, où elles sont prises et qu'elles contribuent à tisser ce qu'on a coutume d'appeler l'Histoire.
» François Salvaing
Un roman, paru il y a peu, Casa. Et ce récit, où reprenant les pas zigzagants des miens de la Belle Époque à la nôtre, de la lointaine création de l'école publique à Larcat (Ariège) à la récente fermeture de la mine de charbon de Gardanne (Bouches-du-Rhône), j'éclaire à la fois et je creuse mon vertige. Vertige devant ces quelques destinées, à la fois banales et uniques. Vertige devant l'entrelacs d'événements et de rêves, d'horreurs et de routines, d'inventions et de ruines, où elles sont prises et qu'elles contribuent à tisser ce qu'on a coutume d'appeler l'Histoire.
» François Salvaing
« Raoul Salvaing (1925-1987), mon père, entama, à l'âge de la retraite, plusieurs cahiers d'écolier, entreprenant tantôt d'y raconter l'histoire de ses parents ou de sa vie professionnelle, tantôt d'y exposer ses vues sur la démocratie, la femme au foyer, les syndicats, les immigrés, Dieu ou l'administration. La plupart de ces textes renoncent à eux-mêmes. J'en ai tiré cependant un élan d'où sont venus, jumeaux sans l'être, deux livres.
Un roman, paru il y a peu, Casa. Et ce récit, où reprenant les pas zigzagants des miens de la Belle Époque à la nôtre, de la lointaine création de l'école publique à Larcat (Ariège) à la récente fermeture de la mine de charbon de Gardanne (Bouches-du-Rhône), j'éclaire à la fois et je creuse mon vertige. Vertige devant ces quelques destinées, à la fois banales et uniques. Vertige devant l'entrelacs d'événements et de rêves, d'horreurs et de routines, d'inventions et de ruines, où elles sont prises et qu'elles contribuent à tisser ce qu'on a coutume d'appeler l'Histoire.
» François Salvaing
Un roman, paru il y a peu, Casa. Et ce récit, où reprenant les pas zigzagants des miens de la Belle Époque à la nôtre, de la lointaine création de l'école publique à Larcat (Ariège) à la récente fermeture de la mine de charbon de Gardanne (Bouches-du-Rhône), j'éclaire à la fois et je creuse mon vertige. Vertige devant ces quelques destinées, à la fois banales et uniques. Vertige devant l'entrelacs d'événements et de rêves, d'horreurs et de routines, d'inventions et de ruines, où elles sont prises et qu'elles contribuent à tisser ce qu'on a coutume d'appeler l'Histoire.
» François Salvaing