Pays conquis
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- Nombre de pages290
- FormatePub
- ISBN2-221-21131-6
- EAN9782221211311
- Date de parution01/01/1977
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille47 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurRobert Laffont (réédition numéri...
Résumé
François Salvaing le déplore : la France manque cruellement de ce genre littéraire cher au cour des Américains : le western. Ce n'est pourtant pas faute de conquêtes capables de nourrir l'imagination de ses écrivains. Des conquêtes, il y en eut - il y eut même un empire colonial - mais de westerns, point. Salvaing s'en console mal. Il a voulu combler cette grave lacune. A sa manière. Donc, un matin de 1905, un grand navire touche une plage d'Afrique, qui pourrait être marocaine.
Son nom : « Mission de la France ». De ces flancs débarquent dans le plus grand enthousiasme et le plus grand désordre, un général, deux préfets, trois évêques, une armée, des familles, des putains, deux banques, le Progrès. On dresse un camp, on bâtit une ville, puis l'on attend. Quoi ? Que se montrent les indigènes, car - à l'exception d'un gamin nommé Ali et que l'on baptise Paul - on les attend en vain.
Que vienne de Paris l'ordre de s'enfoncer dans les terres pour apporter enfin la civilisation à ce peuple invisible. Mais l'ordre ne vient pas et le général Crèvecour de Crécy prend un beau jour la tête de son armée et part, le jeune Ali à son côté. L'aventure commence. On s'en doute : ce n'est pas un western orthodoxe qu'a écrit François Salvaing. Le sien est cocasse, et plus et mieux encore.
Son nom : « Mission de la France ». De ces flancs débarquent dans le plus grand enthousiasme et le plus grand désordre, un général, deux préfets, trois évêques, une armée, des familles, des putains, deux banques, le Progrès. On dresse un camp, on bâtit une ville, puis l'on attend. Quoi ? Que se montrent les indigènes, car - à l'exception d'un gamin nommé Ali et que l'on baptise Paul - on les attend en vain.
Que vienne de Paris l'ordre de s'enfoncer dans les terres pour apporter enfin la civilisation à ce peuple invisible. Mais l'ordre ne vient pas et le général Crèvecour de Crécy prend un beau jour la tête de son armée et part, le jeune Ali à son côté. L'aventure commence. On s'en doute : ce n'est pas un western orthodoxe qu'a écrit François Salvaing. Le sien est cocasse, et plus et mieux encore.
François Salvaing le déplore : la France manque cruellement de ce genre littéraire cher au cour des Américains : le western. Ce n'est pourtant pas faute de conquêtes capables de nourrir l'imagination de ses écrivains. Des conquêtes, il y en eut - il y eut même un empire colonial - mais de westerns, point. Salvaing s'en console mal. Il a voulu combler cette grave lacune. A sa manière. Donc, un matin de 1905, un grand navire touche une plage d'Afrique, qui pourrait être marocaine.
Son nom : « Mission de la France ». De ces flancs débarquent dans le plus grand enthousiasme et le plus grand désordre, un général, deux préfets, trois évêques, une armée, des familles, des putains, deux banques, le Progrès. On dresse un camp, on bâtit une ville, puis l'on attend. Quoi ? Que se montrent les indigènes, car - à l'exception d'un gamin nommé Ali et que l'on baptise Paul - on les attend en vain.
Que vienne de Paris l'ordre de s'enfoncer dans les terres pour apporter enfin la civilisation à ce peuple invisible. Mais l'ordre ne vient pas et le général Crèvecour de Crécy prend un beau jour la tête de son armée et part, le jeune Ali à son côté. L'aventure commence. On s'en doute : ce n'est pas un western orthodoxe qu'a écrit François Salvaing. Le sien est cocasse, et plus et mieux encore.
Son nom : « Mission de la France ». De ces flancs débarquent dans le plus grand enthousiasme et le plus grand désordre, un général, deux préfets, trois évêques, une armée, des familles, des putains, deux banques, le Progrès. On dresse un camp, on bâtit une ville, puis l'on attend. Quoi ? Que se montrent les indigènes, car - à l'exception d'un gamin nommé Ali et que l'on baptise Paul - on les attend en vain.
Que vienne de Paris l'ordre de s'enfoncer dans les terres pour apporter enfin la civilisation à ce peuple invisible. Mais l'ordre ne vient pas et le général Crèvecour de Crécy prend un beau jour la tête de son armée et part, le jeune Ali à son côté. L'aventure commence. On s'en doute : ce n'est pas un western orthodoxe qu'a écrit François Salvaing. Le sien est cocasse, et plus et mieux encore.