Quelle strategie ? resurgence des mouvements sociaux, combativite

Par : Leo Panitch
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages207
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-923986-85-2
  • EAN9782923986852
  • Date de parution31/10/2013
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille7 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurM Editeur

Résumé

La crise économique mondiale provoque des résistances, des luttes, des grèves et même des soulèvements. De nouveaux mouvements comme ceux des Indignées et des Occupons ont fait leur apparition, mais il y a un décalage entre l'explosivité de la situation sociale et sa traduction dans l'action politique. De nouvelles formes d'organisation apparaissent, mais elles sont instables, voire éphémères. Plus encore, il n'y a jamais eu en même temps une crise aussi profonde du système capitaliste et un mouvement ouvrier aussi faible. Pourtant, les luttes contre les plans d'austérité se multiplient.
Les journées de grèves générales se sont succédé en Grèce, au Portugal et en Espagne. Au Québec, en Grande-Bretagne, au Chili, en Italie et ailleurs, les manifestations étudiantes ont montré le fort degré d'explosivité des luttes sociales. L'indignation s'est répandue comme une traînée de poudre pour dénoncer l'oligarchie (le 1 %) et les inégalités sociales. Au coeur des mouvements sociaux, il y a la lutte contre les privatisations et la marchandisation des services publics, de l'éducation, etc.
Il y a aussi la résistance à la baisse du niveau de vie, aux délocalisations, à la précarité et au chômage. L'accumulation de ces expériences, le degré de combinaison entre la crise sociale, la crise politique et le niveau d'auto-organisation peuvent constituer des points tournants. Néanmoins, les luttes, même les plus massives, ne débouchent pas actuellement sur des reculs des classes dominantes.
Même si, en réaction aux attaques des classes dominantes et des gouvernants, le rythme des luttes connaît une croissance, on ne voit pas encore de dynamique politique suffisamment puissante pour inverser les décennies de contre-réformes libérales et créer les bases d'une contre-offensive générale en faveur des exploitées et des opprimées. Or, la résurgence des mouvements sociaux remet à l'ordre du jour la question de la stratégie à développer par la gauche radicale.
Quels sont ses défis à la fois politiques et intellectuels ? Ce livre propose un tour d'horizon, du syndicalisme au féminisme, en passant par les coalitions politiques anticapitalistes.
La crise économique mondiale provoque des résistances, des luttes, des grèves et même des soulèvements. De nouveaux mouvements comme ceux des Indignées et des Occupons ont fait leur apparition, mais il y a un décalage entre l'explosivité de la situation sociale et sa traduction dans l'action politique. De nouvelles formes d'organisation apparaissent, mais elles sont instables, voire éphémères. Plus encore, il n'y a jamais eu en même temps une crise aussi profonde du système capitaliste et un mouvement ouvrier aussi faible. Pourtant, les luttes contre les plans d'austérité se multiplient.
Les journées de grèves générales se sont succédé en Grèce, au Portugal et en Espagne. Au Québec, en Grande-Bretagne, au Chili, en Italie et ailleurs, les manifestations étudiantes ont montré le fort degré d'explosivité des luttes sociales. L'indignation s'est répandue comme une traînée de poudre pour dénoncer l'oligarchie (le 1 %) et les inégalités sociales. Au coeur des mouvements sociaux, il y a la lutte contre les privatisations et la marchandisation des services publics, de l'éducation, etc.
Il y a aussi la résistance à la baisse du niveau de vie, aux délocalisations, à la précarité et au chômage. L'accumulation de ces expériences, le degré de combinaison entre la crise sociale, la crise politique et le niveau d'auto-organisation peuvent constituer des points tournants. Néanmoins, les luttes, même les plus massives, ne débouchent pas actuellement sur des reculs des classes dominantes.
Même si, en réaction aux attaques des classes dominantes et des gouvernants, le rythme des luttes connaît une croissance, on ne voit pas encore de dynamique politique suffisamment puissante pour inverser les décennies de contre-réformes libérales et créer les bases d'une contre-offensive générale en faveur des exploitées et des opprimées. Or, la résurgence des mouvements sociaux remet à l'ordre du jour la question de la stratégie à développer par la gauche radicale.
Quels sont ses défis à la fois politiques et intellectuels ? Ce livre propose un tour d'horizon, du syndicalisme au féminisme, en passant par les coalitions politiques anticapitalistes.