La crise et la gauche. Conséquences sociales et politiques de la crise financière mondiale. L'annuaire socialiste
Par : , ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages207
- FormatPDF
- ISBN978-2-923986-52-4
- EAN9782923986524
- Date de parution19/09/2012
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille16 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurM Editeur
- PréfacierPierre Beaudet
Résumé
Quatre ans après l'effondrement financier de 2007-2008, la crise est devenue à règle pour des centaines de millions de personnes. Non seulement les emplois sont difficiles à trouver, ils ne parviennent même plus à fournir un revenu décent et un filet de sécurité aux salariées. Au chômage important s'ajoute le « précariat » lequel concerne un segment croissant de la population active qui est obligée d'accepter des emplois temporaires à bas salaires et sans avantages sociaux.
Les conditions qui, auparavant, étaient associées au secteur informel des pays dits en développement sont en train de devenir universelles. Pendant ce temps, on discute dans les médias de la reprise économique. Il est vrai que les banques ont beaucoup de liquidités, les profits dans le secteur manufacturier sont à la hausse et le marché boursier a rebondi. Toutefois, alors que les profits croissent à nouveau, les signes d'un nouveau cycle d'accumulation de capital sont difficiles à repérer.
Il n'est donc pas surprenant, dans ces conditions, que chaque mauvaise petite nouvelle crée une panique temporaire dans le marché. Si les crises économiques créent des occasions favorables aux changements sociaux, jusqu'à présent, ce sont les classes dominantes qui ont profité, non la gauche et les mouvements sociaux. Entres autres, parce que l'offensive contre les salariés ne vient pas seulement de la droite : au pouvoir, les partis sociaux-démocrates adoptent des politiques d'austérité et lorsqu'ils sont dans l'opposition, ils prennent leur distance avec les mobilisations contre les plans d'austérité. Ce livre analyse ces problèmes, non seulement sur le plan régional - de l'Amérique latine au Moyen-Orient, de la Chine à l'Europe et à l'Amérique de Nord -, mais aussi sur celui des conséquences sur la ville ou dans l'industrie automobile, en mettant en évidence les nouvelles stratégies d'accumulation, lesquelles se nourrissent à la fois de la crise du secteur public et de celle du climat, ce qui pave la voie à une nouvelle ère d'austérité draconienne.
Les conditions qui, auparavant, étaient associées au secteur informel des pays dits en développement sont en train de devenir universelles. Pendant ce temps, on discute dans les médias de la reprise économique. Il est vrai que les banques ont beaucoup de liquidités, les profits dans le secteur manufacturier sont à la hausse et le marché boursier a rebondi. Toutefois, alors que les profits croissent à nouveau, les signes d'un nouveau cycle d'accumulation de capital sont difficiles à repérer.
Il n'est donc pas surprenant, dans ces conditions, que chaque mauvaise petite nouvelle crée une panique temporaire dans le marché. Si les crises économiques créent des occasions favorables aux changements sociaux, jusqu'à présent, ce sont les classes dominantes qui ont profité, non la gauche et les mouvements sociaux. Entres autres, parce que l'offensive contre les salariés ne vient pas seulement de la droite : au pouvoir, les partis sociaux-démocrates adoptent des politiques d'austérité et lorsqu'ils sont dans l'opposition, ils prennent leur distance avec les mobilisations contre les plans d'austérité. Ce livre analyse ces problèmes, non seulement sur le plan régional - de l'Amérique latine au Moyen-Orient, de la Chine à l'Europe et à l'Amérique de Nord -, mais aussi sur celui des conséquences sur la ville ou dans l'industrie automobile, en mettant en évidence les nouvelles stratégies d'accumulation, lesquelles se nourrissent à la fois de la crise du secteur public et de celle du climat, ce qui pave la voie à une nouvelle ère d'austérité draconienne.
Quatre ans après l'effondrement financier de 2007-2008, la crise est devenue à règle pour des centaines de millions de personnes. Non seulement les emplois sont difficiles à trouver, ils ne parviennent même plus à fournir un revenu décent et un filet de sécurité aux salariées. Au chômage important s'ajoute le « précariat » lequel concerne un segment croissant de la population active qui est obligée d'accepter des emplois temporaires à bas salaires et sans avantages sociaux.
Les conditions qui, auparavant, étaient associées au secteur informel des pays dits en développement sont en train de devenir universelles. Pendant ce temps, on discute dans les médias de la reprise économique. Il est vrai que les banques ont beaucoup de liquidités, les profits dans le secteur manufacturier sont à la hausse et le marché boursier a rebondi. Toutefois, alors que les profits croissent à nouveau, les signes d'un nouveau cycle d'accumulation de capital sont difficiles à repérer.
Il n'est donc pas surprenant, dans ces conditions, que chaque mauvaise petite nouvelle crée une panique temporaire dans le marché. Si les crises économiques créent des occasions favorables aux changements sociaux, jusqu'à présent, ce sont les classes dominantes qui ont profité, non la gauche et les mouvements sociaux. Entres autres, parce que l'offensive contre les salariés ne vient pas seulement de la droite : au pouvoir, les partis sociaux-démocrates adoptent des politiques d'austérité et lorsqu'ils sont dans l'opposition, ils prennent leur distance avec les mobilisations contre les plans d'austérité. Ce livre analyse ces problèmes, non seulement sur le plan régional - de l'Amérique latine au Moyen-Orient, de la Chine à l'Europe et à l'Amérique de Nord -, mais aussi sur celui des conséquences sur la ville ou dans l'industrie automobile, en mettant en évidence les nouvelles stratégies d'accumulation, lesquelles se nourrissent à la fois de la crise du secteur public et de celle du climat, ce qui pave la voie à une nouvelle ère d'austérité draconienne.
Les conditions qui, auparavant, étaient associées au secteur informel des pays dits en développement sont en train de devenir universelles. Pendant ce temps, on discute dans les médias de la reprise économique. Il est vrai que les banques ont beaucoup de liquidités, les profits dans le secteur manufacturier sont à la hausse et le marché boursier a rebondi. Toutefois, alors que les profits croissent à nouveau, les signes d'un nouveau cycle d'accumulation de capital sont difficiles à repérer.
Il n'est donc pas surprenant, dans ces conditions, que chaque mauvaise petite nouvelle crée une panique temporaire dans le marché. Si les crises économiques créent des occasions favorables aux changements sociaux, jusqu'à présent, ce sont les classes dominantes qui ont profité, non la gauche et les mouvements sociaux. Entres autres, parce que l'offensive contre les salariés ne vient pas seulement de la droite : au pouvoir, les partis sociaux-démocrates adoptent des politiques d'austérité et lorsqu'ils sont dans l'opposition, ils prennent leur distance avec les mobilisations contre les plans d'austérité. Ce livre analyse ces problèmes, non seulement sur le plan régional - de l'Amérique latine au Moyen-Orient, de la Chine à l'Europe et à l'Amérique de Nord -, mais aussi sur celui des conséquences sur la ville ou dans l'industrie automobile, en mettant en évidence les nouvelles stratégies d'accumulation, lesquelles se nourrissent à la fois de la crise du secteur public et de celle du climat, ce qui pave la voie à une nouvelle ère d'austérité draconienne.