Proust-Joyce, Deleuze-Lacan. Lectures croisées
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- Nombre de pages142
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25457-2
- EAN9782296254572
- Date de parution01/03/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Proust et Joyce sont lus par Deleuze. Mais Joyce l'est aussi par Lacan : quels sont les principes mutuels de leur lecture ? Qu'est-ce qui réellement les oppose ? Pour tous les deux, il y a un point, point de fuite, qui est à l'origine de l'oeuvre littéraire, fuite du sens, non-sens. Gilles Deleuze, avec sa théorie des " lignes de fuite " est certainement le philosophe contemporain le plus à même pour nous aider à penser ce point et la littérature.
Mais, il est montré que la compagnie de Jacques Lacan s'avère indispensable. A travers les oeuvres de Proust (réminiscences) et de Joyce (épiphanies) qui servent, avec la lecture que Deleuze en donne, d'appui et de départ, le concept de point de fuite, comme point littéraire, se trouve peu à peu construit, dans l'horizon de l'idée que la littérature est " production " de réel. En quoi la " ligne de fuite " deleuzienne a-t-elle néanmoins besoin d'être re-élaborée dans son rapport à ce qui " fuit " ? Qu'en est-il de ce Réel que chacun invoque ? Et du littéral dont chacun se réclame ? Le réel est à comprendre et par le littoral qui le cerne et le littéral qui le suit.
Mais, il est montré que la compagnie de Jacques Lacan s'avère indispensable. A travers les oeuvres de Proust (réminiscences) et de Joyce (épiphanies) qui servent, avec la lecture que Deleuze en donne, d'appui et de départ, le concept de point de fuite, comme point littéraire, se trouve peu à peu construit, dans l'horizon de l'idée que la littérature est " production " de réel. En quoi la " ligne de fuite " deleuzienne a-t-elle néanmoins besoin d'être re-élaborée dans son rapport à ce qui " fuit " ? Qu'en est-il de ce Réel que chacun invoque ? Et du littéral dont chacun se réclame ? Le réel est à comprendre et par le littoral qui le cerne et le littéral qui le suit.
Proust et Joyce sont lus par Deleuze. Mais Joyce l'est aussi par Lacan : quels sont les principes mutuels de leur lecture ? Qu'est-ce qui réellement les oppose ? Pour tous les deux, il y a un point, point de fuite, qui est à l'origine de l'oeuvre littéraire, fuite du sens, non-sens. Gilles Deleuze, avec sa théorie des " lignes de fuite " est certainement le philosophe contemporain le plus à même pour nous aider à penser ce point et la littérature.
Mais, il est montré que la compagnie de Jacques Lacan s'avère indispensable. A travers les oeuvres de Proust (réminiscences) et de Joyce (épiphanies) qui servent, avec la lecture que Deleuze en donne, d'appui et de départ, le concept de point de fuite, comme point littéraire, se trouve peu à peu construit, dans l'horizon de l'idée que la littérature est " production " de réel. En quoi la " ligne de fuite " deleuzienne a-t-elle néanmoins besoin d'être re-élaborée dans son rapport à ce qui " fuit " ? Qu'en est-il de ce Réel que chacun invoque ? Et du littéral dont chacun se réclame ? Le réel est à comprendre et par le littoral qui le cerne et le littéral qui le suit.
Mais, il est montré que la compagnie de Jacques Lacan s'avère indispensable. A travers les oeuvres de Proust (réminiscences) et de Joyce (épiphanies) qui servent, avec la lecture que Deleuze en donne, d'appui et de départ, le concept de point de fuite, comme point littéraire, se trouve peu à peu construit, dans l'horizon de l'idée que la littérature est " production " de réel. En quoi la " ligne de fuite " deleuzienne a-t-elle néanmoins besoin d'être re-élaborée dans son rapport à ce qui " fuit " ? Qu'en est-il de ce Réel que chacun invoque ? Et du littéral dont chacun se réclame ? Le réel est à comprendre et par le littoral qui le cerne et le littéral qui le suit.