Pretre Antoine Chevrier Fondateur Du P
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- Nombre de pages560
- FormatePub
- ISBN978-2-02-133646-7
- EAN9782021336467
- Date de parution25/07/2016
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Seuil
Résumé
Antoine Chevrier est un inconnu. Il a mené une vie simple et sans éclat au coeur d'une masse prolétarienne venue camper au XIXe siècle aux portes de Lyon ; il a partagé la condition des pauvres et leur anonymat. Il a été ignoré par le clergé du diocèse de Lyon dont il ne suivait pas le style de vie. Son projet, un groupe de "prêtres pauvres pour les pauvres", est passé, à son époque, quasiment inaperçu.
Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars - alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu -; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de Notre Sacerdoce : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...
; c'est à lui de se refaire missionnaire." Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le XXe siècle. Non plus un Françoise d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier.
Pourtant un vrai Françoise d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Evangile à tous les carrefours.
Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars - alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu -; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de Notre Sacerdoce : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...
; c'est à lui de se refaire missionnaire." Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le XXe siècle. Non plus un Françoise d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier.
Pourtant un vrai Françoise d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Evangile à tous les carrefours.
Antoine Chevrier est un inconnu. Il a mené une vie simple et sans éclat au coeur d'une masse prolétarienne venue camper au XIXe siècle aux portes de Lyon ; il a partagé la condition des pauvres et leur anonymat. Il a été ignoré par le clergé du diocèse de Lyon dont il ne suivait pas le style de vie. Son projet, un groupe de "prêtres pauvres pour les pauvres", est passé, à son époque, quasiment inaperçu.
Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars - alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu -; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de Notre Sacerdoce : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...
; c'est à lui de se refaire missionnaire." Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le XXe siècle. Non plus un Françoise d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier.
Pourtant un vrai Françoise d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Evangile à tous les carrefours.
Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars - alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu -; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de Notre Sacerdoce : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...
; c'est à lui de se refaire missionnaire." Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le XXe siècle. Non plus un Françoise d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier.
Pourtant un vrai Françoise d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Evangile à tous les carrefours.
















