Pour la défense de la langue tahitienne. Etat des lieux et propositions
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages168
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-25430-5
- EAN9782296254305
- Date de parution01/06/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Sur l'archipel principal de Polynésie française, deux langues sont en contact : la langue tahitienne et la langue française. Or aujourd'hui, nous constatons l'abandon de la langue tahitienne par ses locuteurs. Lors de ses enquêtes l'auteur a pu faire une estimation de cette déperdition sur l'île de Raiatea : 71.5% des personnes interrogées chez les 40-50 ans estiment parler très bien le tahitien, contre 48% chez les 25-39 ans et seulement 33% chez les 15 ans.
La transmission naturelle et donc la pérennité de la langue sont menacées. Cette étude veut répondre à certaines questions : Pourquoi cette déperdition récente de la langue dominée ? Des planifications linguistiques ont-elles été effectuées pour la juguler ? Quelle serait la politique linguistique " idéale " mais possible, en l'état actuel de la Constitution française, pour sauvegarder la langue tahitienne ? D'où viendrait-elle ? De la métropole ? De la Collectivité d'outre-mer elle-même ?
La transmission naturelle et donc la pérennité de la langue sont menacées. Cette étude veut répondre à certaines questions : Pourquoi cette déperdition récente de la langue dominée ? Des planifications linguistiques ont-elles été effectuées pour la juguler ? Quelle serait la politique linguistique " idéale " mais possible, en l'état actuel de la Constitution française, pour sauvegarder la langue tahitienne ? D'où viendrait-elle ? De la métropole ? De la Collectivité d'outre-mer elle-même ?
Sur l'archipel principal de Polynésie française, deux langues sont en contact : la langue tahitienne et la langue française. Or aujourd'hui, nous constatons l'abandon de la langue tahitienne par ses locuteurs. Lors de ses enquêtes l'auteur a pu faire une estimation de cette déperdition sur l'île de Raiatea : 71.5% des personnes interrogées chez les 40-50 ans estiment parler très bien le tahitien, contre 48% chez les 25-39 ans et seulement 33% chez les 15 ans.
La transmission naturelle et donc la pérennité de la langue sont menacées. Cette étude veut répondre à certaines questions : Pourquoi cette déperdition récente de la langue dominée ? Des planifications linguistiques ont-elles été effectuées pour la juguler ? Quelle serait la politique linguistique " idéale " mais possible, en l'état actuel de la Constitution française, pour sauvegarder la langue tahitienne ? D'où viendrait-elle ? De la métropole ? De la Collectivité d'outre-mer elle-même ?
La transmission naturelle et donc la pérennité de la langue sont menacées. Cette étude veut répondre à certaines questions : Pourquoi cette déperdition récente de la langue dominée ? Des planifications linguistiques ont-elles été effectuées pour la juguler ? Quelle serait la politique linguistique " idéale " mais possible, en l'état actuel de la Constitution française, pour sauvegarder la langue tahitienne ? D'où viendrait-elle ? De la métropole ? De la Collectivité d'outre-mer elle-même ?