Prix du Livre Européen
Postpopulisme. La nouvelle vague qui va secouer l’Occident
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages256
- FormatPDF
- ISBN979-10-329-3007-6
- EAN9791032930076
- Date de parution07/02/2024
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
- ÉditeurÉditions de l'Observatoire
Résumé
L'Italie est un laboratoire géant de la politique européenne : fascisme, démocratie chrétienne, entrepreneuriat politique à la Berlusconi et populisme s'y sont développés, avant de devenir des lames de fond de la politique occidentale. Aussi, lorsque Giorgia Meloni arrive au pouvoir à la tête d'une nouvelle coalition de droite en octobre 2022, son expérience mérite-elle d'être étudiée dans le détail.
Accusée d'être « postfasciste » avant les élections, sa gouvernance n'a, en fait, rien à voir avec le régime mussolinien : Meloni propose une nouvelle doctrine, un « postpopulisme » qui cherche à dépasser les idées populistes pour revenir à un vrai débat gauche-droite. Et elle n'est pas seule : avec elle, la Suède, la Tchéquie, la Finlande, la Grèce et bien d'autres pays ont déjà basculé dans le postpopulisme.
La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis suivront-ils le mouvement ? Grand spécialiste des mouvements politiques en Europe et en Amérique du Nord, Thibault Muzergues nous livre une analyse passionnante des origines et des conditions de la montée de ce mouvement, véritable antidote à la grande disruption populiste des années 2010, qui fera parler de lui en Europe comme aux États-Unis dans les mois et les années à venir, riches en élections.
Accusée d'être « postfasciste » avant les élections, sa gouvernance n'a, en fait, rien à voir avec le régime mussolinien : Meloni propose une nouvelle doctrine, un « postpopulisme » qui cherche à dépasser les idées populistes pour revenir à un vrai débat gauche-droite. Et elle n'est pas seule : avec elle, la Suède, la Tchéquie, la Finlande, la Grèce et bien d'autres pays ont déjà basculé dans le postpopulisme.
La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis suivront-ils le mouvement ? Grand spécialiste des mouvements politiques en Europe et en Amérique du Nord, Thibault Muzergues nous livre une analyse passionnante des origines et des conditions de la montée de ce mouvement, véritable antidote à la grande disruption populiste des années 2010, qui fera parler de lui en Europe comme aux États-Unis dans les mois et les années à venir, riches en élections.
L'Italie est un laboratoire géant de la politique européenne : fascisme, démocratie chrétienne, entrepreneuriat politique à la Berlusconi et populisme s'y sont développés, avant de devenir des lames de fond de la politique occidentale. Aussi, lorsque Giorgia Meloni arrive au pouvoir à la tête d'une nouvelle coalition de droite en octobre 2022, son expérience mérite-elle d'être étudiée dans le détail.
Accusée d'être « postfasciste » avant les élections, sa gouvernance n'a, en fait, rien à voir avec le régime mussolinien : Meloni propose une nouvelle doctrine, un « postpopulisme » qui cherche à dépasser les idées populistes pour revenir à un vrai débat gauche-droite. Et elle n'est pas seule : avec elle, la Suède, la Tchéquie, la Finlande, la Grèce et bien d'autres pays ont déjà basculé dans le postpopulisme.
La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis suivront-ils le mouvement ? Grand spécialiste des mouvements politiques en Europe et en Amérique du Nord, Thibault Muzergues nous livre une analyse passionnante des origines et des conditions de la montée de ce mouvement, véritable antidote à la grande disruption populiste des années 2010, qui fera parler de lui en Europe comme aux États-Unis dans les mois et les années à venir, riches en élections.
Accusée d'être « postfasciste » avant les élections, sa gouvernance n'a, en fait, rien à voir avec le régime mussolinien : Meloni propose une nouvelle doctrine, un « postpopulisme » qui cherche à dépasser les idées populistes pour revenir à un vrai débat gauche-droite. Et elle n'est pas seule : avec elle, la Suède, la Tchéquie, la Finlande, la Grèce et bien d'autres pays ont déjà basculé dans le postpopulisme.
La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis suivront-ils le mouvement ? Grand spécialiste des mouvements politiques en Europe et en Amérique du Nord, Thibault Muzergues nous livre une analyse passionnante des origines et des conditions de la montée de ce mouvement, véritable antidote à la grande disruption populiste des années 2010, qui fera parler de lui en Europe comme aux États-Unis dans les mois et les années à venir, riches en élections.