Politique et droit de la sécurité face au bioterrorisme
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- Nombre de pages218
- FormatPDF
- ISBN2-296-41520-2
- EAN9782296415201
- Date de parution01/10/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierThierry Garcia
Résumé
Le 9 janvier 2005. le deuxième plus grand aéroport de France reçoit une menace d'attentat au gaz zyklon. Toute la région Provence-Alpes-Côte d'Azur est en alerte, le plan Piratox est déclenché. Un double dispositif est alors mis en place, le premier pour assurer la sécurité dans et autour de l'aéroport de Nice, avec plus de 350 hommes mobilisés, et le second pour traiter les victimes potentielles avec au total 50 personnes de secours et 80 lits disponibles.
Quelques mois auparavant, durant le mois d'octobre 2004, une simulation d'attentat radiologique a été réalisée par le SAMU parisien afin de préparer son personnel à intervenir en cas d'explosion d'une bombe sale dans les rames du métro a une heure d'affluence. Ces événements traduisent une nouvelle équation démontrant l'utilisation d'armes de destruction massive par des mouvances terroristes. Le recours aux agents chimiques et biologiques, par ces groupes, est d'une grande réalité et d'une forte probabilité.
Les lettres piégées à l'anthrax révèlent l'ampleur de cette nouvelle menace qui, d'abord nationale, est ensuite devenue internationale. La société actuelle est un vecteur parfait pour la dissémination d'agents pathogènes. Grâce aux aéroports un virus mortel peut se répandre à travers le monde entier en moins de 12 heures, dans la plus grande discrétion et sans aucune détection. Les avancées technologiques ont, en outre, contribué à fournir aux bioterroristes de nouvelles armes modifiables à l'infini, privant ainsi les Etats de toute parade médicale effective.
Les attentats à l'arsenic en 1952, au gaz sarin en 1995 et à l'anthrax en 2001, attestent que le bioterrorisme n'est plus un mythe mais bien une réalité. En comparaison des armes conventionnelles, le bioterrorisme présente comme attrait un coût dérisoire pour une efficacité maximale. Cet ouvrage a pour objet de traiter de politique et droit de la sécurité internationale et interne face au bioterrorisime.
Le contexte géopolitique actuel donne a ce sujet une dimension pertinente et incontournable qui mérite d'être examinée et prise au sérieux.
Quelques mois auparavant, durant le mois d'octobre 2004, une simulation d'attentat radiologique a été réalisée par le SAMU parisien afin de préparer son personnel à intervenir en cas d'explosion d'une bombe sale dans les rames du métro a une heure d'affluence. Ces événements traduisent une nouvelle équation démontrant l'utilisation d'armes de destruction massive par des mouvances terroristes. Le recours aux agents chimiques et biologiques, par ces groupes, est d'une grande réalité et d'une forte probabilité.
Les lettres piégées à l'anthrax révèlent l'ampleur de cette nouvelle menace qui, d'abord nationale, est ensuite devenue internationale. La société actuelle est un vecteur parfait pour la dissémination d'agents pathogènes. Grâce aux aéroports un virus mortel peut se répandre à travers le monde entier en moins de 12 heures, dans la plus grande discrétion et sans aucune détection. Les avancées technologiques ont, en outre, contribué à fournir aux bioterroristes de nouvelles armes modifiables à l'infini, privant ainsi les Etats de toute parade médicale effective.
Les attentats à l'arsenic en 1952, au gaz sarin en 1995 et à l'anthrax en 2001, attestent que le bioterrorisme n'est plus un mythe mais bien une réalité. En comparaison des armes conventionnelles, le bioterrorisme présente comme attrait un coût dérisoire pour une efficacité maximale. Cet ouvrage a pour objet de traiter de politique et droit de la sécurité internationale et interne face au bioterrorisime.
Le contexte géopolitique actuel donne a ce sujet une dimension pertinente et incontournable qui mérite d'être examinée et prise au sérieux.
Le 9 janvier 2005. le deuxième plus grand aéroport de France reçoit une menace d'attentat au gaz zyklon. Toute la région Provence-Alpes-Côte d'Azur est en alerte, le plan Piratox est déclenché. Un double dispositif est alors mis en place, le premier pour assurer la sécurité dans et autour de l'aéroport de Nice, avec plus de 350 hommes mobilisés, et le second pour traiter les victimes potentielles avec au total 50 personnes de secours et 80 lits disponibles.
Quelques mois auparavant, durant le mois d'octobre 2004, une simulation d'attentat radiologique a été réalisée par le SAMU parisien afin de préparer son personnel à intervenir en cas d'explosion d'une bombe sale dans les rames du métro a une heure d'affluence. Ces événements traduisent une nouvelle équation démontrant l'utilisation d'armes de destruction massive par des mouvances terroristes. Le recours aux agents chimiques et biologiques, par ces groupes, est d'une grande réalité et d'une forte probabilité.
Les lettres piégées à l'anthrax révèlent l'ampleur de cette nouvelle menace qui, d'abord nationale, est ensuite devenue internationale. La société actuelle est un vecteur parfait pour la dissémination d'agents pathogènes. Grâce aux aéroports un virus mortel peut se répandre à travers le monde entier en moins de 12 heures, dans la plus grande discrétion et sans aucune détection. Les avancées technologiques ont, en outre, contribué à fournir aux bioterroristes de nouvelles armes modifiables à l'infini, privant ainsi les Etats de toute parade médicale effective.
Les attentats à l'arsenic en 1952, au gaz sarin en 1995 et à l'anthrax en 2001, attestent que le bioterrorisme n'est plus un mythe mais bien une réalité. En comparaison des armes conventionnelles, le bioterrorisme présente comme attrait un coût dérisoire pour une efficacité maximale. Cet ouvrage a pour objet de traiter de politique et droit de la sécurité internationale et interne face au bioterrorisime.
Le contexte géopolitique actuel donne a ce sujet une dimension pertinente et incontournable qui mérite d'être examinée et prise au sérieux.
Quelques mois auparavant, durant le mois d'octobre 2004, une simulation d'attentat radiologique a été réalisée par le SAMU parisien afin de préparer son personnel à intervenir en cas d'explosion d'une bombe sale dans les rames du métro a une heure d'affluence. Ces événements traduisent une nouvelle équation démontrant l'utilisation d'armes de destruction massive par des mouvances terroristes. Le recours aux agents chimiques et biologiques, par ces groupes, est d'une grande réalité et d'une forte probabilité.
Les lettres piégées à l'anthrax révèlent l'ampleur de cette nouvelle menace qui, d'abord nationale, est ensuite devenue internationale. La société actuelle est un vecteur parfait pour la dissémination d'agents pathogènes. Grâce aux aéroports un virus mortel peut se répandre à travers le monde entier en moins de 12 heures, dans la plus grande discrétion et sans aucune détection. Les avancées technologiques ont, en outre, contribué à fournir aux bioterroristes de nouvelles armes modifiables à l'infini, privant ainsi les Etats de toute parade médicale effective.
Les attentats à l'arsenic en 1952, au gaz sarin en 1995 et à l'anthrax en 2001, attestent que le bioterrorisme n'est plus un mythe mais bien une réalité. En comparaison des armes conventionnelles, le bioterrorisme présente comme attrait un coût dérisoire pour une efficacité maximale. Cet ouvrage a pour objet de traiter de politique et droit de la sécurité internationale et interne face au bioterrorisime.
Le contexte géopolitique actuel donne a ce sujet une dimension pertinente et incontournable qui mérite d'être examinée et prise au sérieux.