Poétiques du je. Du roman autobiographique à l'autofiction
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages274
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7297-1150-4
- EAN9782729711504
- Date de parution26/11/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Lyon
Résumé
Poursuivant ses travaux sur l'espace autobiographique et ses ambiguïtés génériques, Philippe Gasparini propose dans ce volume une exploration résolument historique du je écrivant, d'Isocrate à Annie Ernaux, en passant par Chateaubriand et James Joyce : « Malgré leurs avancées, il m'a toujours semblé que les études consacrées aux écritures du moi péchaient par essentialisme anhistorique. » Or l'investissement progressif du champ littéraire par la pulsion autobiographique lance un défi à la compréhension critique.
Les études rassemblées ici n'ont d'autre ambition que de dessiner un itinéraire dans ce maelström de je en quête de légitimité culturelle. Chemin faisant, l'auteur analyse les stratégies d'hybridation à l'ouvre dans de nombreux textes. Il décrypte les spécificités du contrat de lecture proposé au lecteur, et livre ainsi une définition éclairante de l'autofiction, ce (mauvais) genre qui n'en finit pas de faire débat.
Les études rassemblées ici n'ont d'autre ambition que de dessiner un itinéraire dans ce maelström de je en quête de légitimité culturelle. Chemin faisant, l'auteur analyse les stratégies d'hybridation à l'ouvre dans de nombreux textes. Il décrypte les spécificités du contrat de lecture proposé au lecteur, et livre ainsi une définition éclairante de l'autofiction, ce (mauvais) genre qui n'en finit pas de faire débat.
Poursuivant ses travaux sur l'espace autobiographique et ses ambiguïtés génériques, Philippe Gasparini propose dans ce volume une exploration résolument historique du je écrivant, d'Isocrate à Annie Ernaux, en passant par Chateaubriand et James Joyce : « Malgré leurs avancées, il m'a toujours semblé que les études consacrées aux écritures du moi péchaient par essentialisme anhistorique. » Or l'investissement progressif du champ littéraire par la pulsion autobiographique lance un défi à la compréhension critique.
Les études rassemblées ici n'ont d'autre ambition que de dessiner un itinéraire dans ce maelström de je en quête de légitimité culturelle. Chemin faisant, l'auteur analyse les stratégies d'hybridation à l'ouvre dans de nombreux textes. Il décrypte les spécificités du contrat de lecture proposé au lecteur, et livre ainsi une définition éclairante de l'autofiction, ce (mauvais) genre qui n'en finit pas de faire débat.
Les études rassemblées ici n'ont d'autre ambition que de dessiner un itinéraire dans ce maelström de je en quête de légitimité culturelle. Chemin faisant, l'auteur analyse les stratégies d'hybridation à l'ouvre dans de nombreux textes. Il décrypte les spécificités du contrat de lecture proposé au lecteur, et livre ainsi une définition éclairante de l'autofiction, ce (mauvais) genre qui n'en finit pas de faire débat.








