Pierre Schaeffer & Pierre Henry. Symphonie pour un homme seul
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages248
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-940599-69-1
- EAN9782940599691
- Date de parution11/12/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurÉditions Contrechamps
Résumé
Présentée le 18 mars 1950 à Paris devant un public curieux et médusé, la Symphonie pour un homme seul de Pierre Schaeffer et Pierre Henry tient une place singulière dans l'histoire de la musique du xxe siècle. Ouvre fondatrice de la musique concrète, elle ouvre la voie à un nouveau type de musique, faite de bruits, de cris, de fragments de voix et d'instruments modifiés pour produire des sonorités inconnues.
Pierre Schaeffer, ingénieur et homme de radio, veut transformer cet outil de transmission en un moyen d'expression ; Pierre Henry, élève de Nadia Boulanger et d'Olivier Messiaen, a le goût de l'expérimentation et une imagination fantasque. Cette ouvre composée à quatre mains, en cherchant à exprimer la « solitude de l'homme d'aujourd'hui, perdu dans la multitude », est marquée par l'existentialisme sartrien et le courant personnaliste d'Emmanuel Mounier.
Dans cette première étude consacrée à cette Symphonie d'un nouveau type, l'auteur reconstruit sa genèse et situe l'ouvre dans son contexte, avant de l'analyser et d'en mesurer la portée, à travers notamment les chorégraphies de Maurice Béjart et Merce Cunningham.
Pierre Schaeffer, ingénieur et homme de radio, veut transformer cet outil de transmission en un moyen d'expression ; Pierre Henry, élève de Nadia Boulanger et d'Olivier Messiaen, a le goût de l'expérimentation et une imagination fantasque. Cette ouvre composée à quatre mains, en cherchant à exprimer la « solitude de l'homme d'aujourd'hui, perdu dans la multitude », est marquée par l'existentialisme sartrien et le courant personnaliste d'Emmanuel Mounier.
Dans cette première étude consacrée à cette Symphonie d'un nouveau type, l'auteur reconstruit sa genèse et situe l'ouvre dans son contexte, avant de l'analyser et d'en mesurer la portée, à travers notamment les chorégraphies de Maurice Béjart et Merce Cunningham.
Présentée le 18 mars 1950 à Paris devant un public curieux et médusé, la Symphonie pour un homme seul de Pierre Schaeffer et Pierre Henry tient une place singulière dans l'histoire de la musique du xxe siècle. Ouvre fondatrice de la musique concrète, elle ouvre la voie à un nouveau type de musique, faite de bruits, de cris, de fragments de voix et d'instruments modifiés pour produire des sonorités inconnues.
Pierre Schaeffer, ingénieur et homme de radio, veut transformer cet outil de transmission en un moyen d'expression ; Pierre Henry, élève de Nadia Boulanger et d'Olivier Messiaen, a le goût de l'expérimentation et une imagination fantasque. Cette ouvre composée à quatre mains, en cherchant à exprimer la « solitude de l'homme d'aujourd'hui, perdu dans la multitude », est marquée par l'existentialisme sartrien et le courant personnaliste d'Emmanuel Mounier.
Dans cette première étude consacrée à cette Symphonie d'un nouveau type, l'auteur reconstruit sa genèse et situe l'ouvre dans son contexte, avant de l'analyser et d'en mesurer la portée, à travers notamment les chorégraphies de Maurice Béjart et Merce Cunningham.
Pierre Schaeffer, ingénieur et homme de radio, veut transformer cet outil de transmission en un moyen d'expression ; Pierre Henry, élève de Nadia Boulanger et d'Olivier Messiaen, a le goût de l'expérimentation et une imagination fantasque. Cette ouvre composée à quatre mains, en cherchant à exprimer la « solitude de l'homme d'aujourd'hui, perdu dans la multitude », est marquée par l'existentialisme sartrien et le courant personnaliste d'Emmanuel Mounier.
Dans cette première étude consacrée à cette Symphonie d'un nouveau type, l'auteur reconstruit sa genèse et situe l'ouvre dans son contexte, avant de l'analyser et d'en mesurer la portée, à travers notamment les chorégraphies de Maurice Béjart et Merce Cunningham.







