Philosophie de l'art
édition revue et augmentée
Par : Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
- Non compatible avec un achat hors France métropolitaine

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages204
- FormatPDF
- ISBN979-10-370-3254-6
- EAN9791037032546
- Date de parution06/03/2009
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
- AnnotateurJean-François Revel
- PréfacierRoger Bruyeron
Résumé
Textes réunis et présentés par Jean-François REVEL « La pensée esthétique de Taine (1828-1893) s'ordonne autour de la notion d'image. Une image, pour Taine, c'est l'unité d'un divers, comme dans l'acte de percevoir. C'est ce qui détermine un tableau, figure un ensemble. Par là, Taine rejoint l'ambition d'Auguste Comte et même celle de Montesquieu : montrer l'ordre et le progrès de l'esprit humain à travers l'extrême richesse de ses productions, y compris les plus fortuites.
Mais une image, c'est aussi ce qui, par-delà toute histoire, nous confronte à l'aspect immédiat et brutal des choses, nous met en présence d'une nappe de sens antérieure à nos catégories, au langage même, que savent capter, mieux que d'autres, les peintres. En effet, l'image ne révèle la peinture dans ses formes les plus impressionnantes, c'est le contact avec un ensemble de forces qui reconduit l'oeil et le corps à un état sauvage du monde.
En cela, Tintoret et Rembrandt sont, pour Taine, des exemples indépassables. Naît alors, dans l'oeuvre de Taine, sinon une contradiction, du moins une opposition, une tension entre ces deux acceptions de l'image : d'où l'hétérogénéité apparente des textes ici proposés. Mais c'est précisément cette tension qui fait tout l'intérêt de cette démarche philosophique : elle rend la lecture des textes de Taine intemporelle et en montre l'extraordinaire postérité.
» Roger Bruyeron (préface).
Mais une image, c'est aussi ce qui, par-delà toute histoire, nous confronte à l'aspect immédiat et brutal des choses, nous met en présence d'une nappe de sens antérieure à nos catégories, au langage même, que savent capter, mieux que d'autres, les peintres. En effet, l'image ne révèle la peinture dans ses formes les plus impressionnantes, c'est le contact avec un ensemble de forces qui reconduit l'oeil et le corps à un état sauvage du monde.
En cela, Tintoret et Rembrandt sont, pour Taine, des exemples indépassables. Naît alors, dans l'oeuvre de Taine, sinon une contradiction, du moins une opposition, une tension entre ces deux acceptions de l'image : d'où l'hétérogénéité apparente des textes ici proposés. Mais c'est précisément cette tension qui fait tout l'intérêt de cette démarche philosophique : elle rend la lecture des textes de Taine intemporelle et en montre l'extraordinaire postérité.
» Roger Bruyeron (préface).
Textes réunis et présentés par Jean-François REVEL « La pensée esthétique de Taine (1828-1893) s'ordonne autour de la notion d'image. Une image, pour Taine, c'est l'unité d'un divers, comme dans l'acte de percevoir. C'est ce qui détermine un tableau, figure un ensemble. Par là, Taine rejoint l'ambition d'Auguste Comte et même celle de Montesquieu : montrer l'ordre et le progrès de l'esprit humain à travers l'extrême richesse de ses productions, y compris les plus fortuites.
Mais une image, c'est aussi ce qui, par-delà toute histoire, nous confronte à l'aspect immédiat et brutal des choses, nous met en présence d'une nappe de sens antérieure à nos catégories, au langage même, que savent capter, mieux que d'autres, les peintres. En effet, l'image ne révèle la peinture dans ses formes les plus impressionnantes, c'est le contact avec un ensemble de forces qui reconduit l'oeil et le corps à un état sauvage du monde.
En cela, Tintoret et Rembrandt sont, pour Taine, des exemples indépassables. Naît alors, dans l'oeuvre de Taine, sinon une contradiction, du moins une opposition, une tension entre ces deux acceptions de l'image : d'où l'hétérogénéité apparente des textes ici proposés. Mais c'est précisément cette tension qui fait tout l'intérêt de cette démarche philosophique : elle rend la lecture des textes de Taine intemporelle et en montre l'extraordinaire postérité.
» Roger Bruyeron (préface).
Mais une image, c'est aussi ce qui, par-delà toute histoire, nous confronte à l'aspect immédiat et brutal des choses, nous met en présence d'une nappe de sens antérieure à nos catégories, au langage même, que savent capter, mieux que d'autres, les peintres. En effet, l'image ne révèle la peinture dans ses formes les plus impressionnantes, c'est le contact avec un ensemble de forces qui reconduit l'oeil et le corps à un état sauvage du monde.
En cela, Tintoret et Rembrandt sont, pour Taine, des exemples indépassables. Naît alors, dans l'oeuvre de Taine, sinon une contradiction, du moins une opposition, une tension entre ces deux acceptions de l'image : d'où l'hétérogénéité apparente des textes ici proposés. Mais c'est précisément cette tension qui fait tout l'intérêt de cette démarche philosophique : elle rend la lecture des textes de Taine intemporelle et en montre l'extraordinaire postérité.
» Roger Bruyeron (préface).