Petite histoire de l'affaire Calas. Un combat pour les libertés
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages208
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-35068-971-5
- EAN9782350689715
- Date de parution06/04/2021
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurÉditions Cairn
Résumé
Le 13 octobre 1761, Marc-Antoine Calas est découvert mort dans le magasin de son père, rue des Filatiers à Toulouse. Pour le capitoul David de Beaudrigue chargé de l'affaire, point de doute : Marc-Antoine, désireux d'embrasser le catholicisme, a été assassiné par ses propres parents, huguenots endurcis et isolés dans une ville très catholique. Marc-Antoine mit-il fin à ses jours comme le soutinrent les Calas et Voltaire, ou fut-il « pendu ou étranglé » par des assassins dont la trace s'est perdue ?
C'est toute une ville qui, intériorisant une imaginaire « haine implacable » des calvinistes, prononce la terrible sentence.
Combats d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Si bien que l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, reconnu par notre constitution, est toujours d'actualité avec toutes les conséquences qui en découlent. « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ».
Combats d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Si bien que l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, reconnu par notre constitution, est toujours d'actualité avec toutes les conséquences qui en découlent. « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ».
Le 13 octobre 1761, Marc-Antoine Calas est découvert mort dans le magasin de son père, rue des Filatiers à Toulouse. Pour le capitoul David de Beaudrigue chargé de l'affaire, point de doute : Marc-Antoine, désireux d'embrasser le catholicisme, a été assassiné par ses propres parents, huguenots endurcis et isolés dans une ville très catholique. Marc-Antoine mit-il fin à ses jours comme le soutinrent les Calas et Voltaire, ou fut-il « pendu ou étranglé » par des assassins dont la trace s'est perdue ?
C'est toute une ville qui, intériorisant une imaginaire « haine implacable » des calvinistes, prononce la terrible sentence.
Combats d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Si bien que l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, reconnu par notre constitution, est toujours d'actualité avec toutes les conséquences qui en découlent. « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ».
Combats d'hier mais aussi d'aujourd'hui. Si bien que l'article 10 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, reconnu par notre constitution, est toujours d'actualité avec toutes les conséquences qui en découlent. « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi ».