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  • Nombre de pages304
  • FormatePub
  • ISBN978-2-246-82936-2
  • EAN9782246829362
  • Date de parution16/08/2023
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Cette fois-ci, il s'agit d'un véritable roman policier avec une énigme, un lieu clos, des indices et des conjectures. Tout part d'un crime, et l'intrigue est entièrement tendue par l'enquête et la recherche de l'assassin. L'action se déroule à Florence, au XVIe siècle. Le vieux peintre maniériste Pontormo a été assassiné au pied des fresques auxquelles il travaillait depuis onze ans. Un tableau a été maquillé.
Un crime de lèse-majesté a été commis. Vasari, l'homme à tout faire du Duc de Florence, accessoirement considéré comme l'inventeur de l'histoire de l'art et le premier à avoir employé le mot de «  Renaissance  », est chargé de l'enquête. La situation à Florence en 1557 exige doigté, discrétion, loyauté, sensibilité artistique et compréhension politique. L'Europe est une poudrière. L'Italie est le terrain où s'affrontent la France et l'Espagne, les deux grandes puissances.
Le Duc de Florence, Cosimo de Médicis, doit faire face aux convoitises de la reine de France, sa cousine Catherine de Médicis, alliée à son vieil ennemi, le républicain Piero Strozzi qui écume les environs avec l'armée du Duc de Guise. La ville pullule de savonarolistes nostalgiques d'un ordre moral qui condamne les nudités de Michel-Ange et de ses disciples maniéristes. Le pape lui-même est un inquisiteur de la pire espèce, celui qui a instauré la mise à l'index des livres jugés immoraux ou dangereux.
Perspective(s) est un roman épistolaire. Ce parti-pris du roman par lettres répond à une triple motivation :  la volonté de donner davantage de profondeur aux personnages d'une part (creuser leurs motivations, et, selon un mot qui symbolise toute la révolution esthétique de la Renaissance, leurs perspectives), le goût de la mécanique de précision horlogère d'autre part, enfin le défi formel que constitue le croisement de deux genres a priori peu compatibles, et dont il existe peu d'exemples.
Le roman se compose de 176 lettres, soit une de plus que les Liaisons dangereuses.
Cette fois-ci, il s'agit d'un véritable roman policier avec une énigme, un lieu clos, des indices et des conjectures. Tout part d'un crime, et l'intrigue est entièrement tendue par l'enquête et la recherche de l'assassin. L'action se déroule à Florence, au XVIe siècle. Le vieux peintre maniériste Pontormo a été assassiné au pied des fresques auxquelles il travaillait depuis onze ans. Un tableau a été maquillé.
Un crime de lèse-majesté a été commis. Vasari, l'homme à tout faire du Duc de Florence, accessoirement considéré comme l'inventeur de l'histoire de l'art et le premier à avoir employé le mot de «  Renaissance  », est chargé de l'enquête. La situation à Florence en 1557 exige doigté, discrétion, loyauté, sensibilité artistique et compréhension politique. L'Europe est une poudrière. L'Italie est le terrain où s'affrontent la France et l'Espagne, les deux grandes puissances.
Le Duc de Florence, Cosimo de Médicis, doit faire face aux convoitises de la reine de France, sa cousine Catherine de Médicis, alliée à son vieil ennemi, le républicain Piero Strozzi qui écume les environs avec l'armée du Duc de Guise. La ville pullule de savonarolistes nostalgiques d'un ordre moral qui condamne les nudités de Michel-Ange et de ses disciples maniéristes. Le pape lui-même est un inquisiteur de la pire espèce, celui qui a instauré la mise à l'index des livres jugés immoraux ou dangereux.
Perspective(s) est un roman épistolaire. Ce parti-pris du roman par lettres répond à une triple motivation :  la volonté de donner davantage de profondeur aux personnages d'une part (creuser leurs motivations, et, selon un mot qui symbolise toute la révolution esthétique de la Renaissance, leurs perspectives), le goût de la mécanique de précision horlogère d'autre part, enfin le défi formel que constitue le croisement de deux genres a priori peu compatibles, et dont il existe peu d'exemples.
Le roman se compose de 176 lettres, soit une de plus que les Liaisons dangereuses.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Agathe R.Decitre Annecy
5/5
Petits meurtres entre notables de la Renaissance italienne.
Un chef d’œuvre; à la hauteur de tous les romans précédents de l'auteur! Florence, en pleine période de la Renaissance. Suivez les correspondances de Cosme et de Catherine de Médicis, de peintres et d'enquêteurs improvisés autour d'un drame. Le cadavre d'un peintre est retrouvé au pied de sa fresque inachevée, laquelle devait faire concurrence à celle de la chapelle Sixtine de Michel-Ange. Et - Scandale! - une toile est retrouvée dans l'atelier dudit artiste, sur laquelle est représentée Venus avec les traits de Marie de Médicis, la noble princesse fille de Catherine. Sous forme d'enquête épistolaire, Laurent Binet nous offre un texte extrêmement bien documenté historiquement, qui nous plonge dans les papiers privés des grandes figures de la Renaissance italienne, où se mêlent intrigues, jeux d'ambitions et paroles prosaïques qui ne manquent pas d'humour.
Un chef d’œuvre; à la hauteur de tous les romans précédents de l'auteur! Florence, en pleine période de la Renaissance. Suivez les correspondances de Cosme et de Catherine de Médicis, de peintres et d'enquêteurs improvisés autour d'un drame. Le cadavre d'un peintre est retrouvé au pied de sa fresque inachevée, laquelle devait faire concurrence à celle de la chapelle Sixtine de Michel-Ange. Et - Scandale! - une toile est retrouvée dans l'atelier dudit artiste, sur laquelle est représentée Venus avec les traits de Marie de Médicis, la noble princesse fille de Catherine. Sous forme d'enquête épistolaire, Laurent Binet nous offre un texte extrêmement bien documenté historiquement, qui nous plonge dans les papiers privés des grandes figures de la Renaissance italienne, où se mêlent intrigues, jeux d'ambitions et paroles prosaïques qui ne manquent pas d'humour.
JocelynDecitre Part-Dieu
5/5
Mort et Renaissance
Après la seconde guerre mondiale, la mort de Roland Barthes et la conquête de l'amérique, Laurent binet s'attaque pour son nouveau roman à l'art de la renaissance italienne, et comme toujours, avec un twist ! Avec ce savant mélange de réalisme historique et de fiction qui fait sa marque, il nous entraine dans une enquête haletante pour découvrir qui à bien pu tuer le Pontormo, peintre célébre assassiné devant le chef d'oeuvre de fresque sur lequel il travaillait depuis une decennie. Mais période historique oblige, il nous fait découvrir l'enquête au travers des lettres que s'échangent les différents protagonistes ! Et c'est là tout le génie du roman, de parvenir a décaler la temporalité de l'action et de la narration, tout en rendant ça captivant, énergique et palpitant, de donner corps aux silences, de nous forcer a lire entre les lignes et entre les lettres. On se surprend a enchainer une missive après l'autre, à attendre fébrilement la prochaine lettre de tel ou tel personnage, d'avoir enfin la réponse que nous attendons ou un autre regard sur une situation. Le texte est passionnant, formidablement bien écrit, érudit tout en restant très accessible aux non spécialistes d'histoire de l'art, drôle par moment et a lire absolument !
Après la seconde guerre mondiale, la mort de Roland Barthes et la conquête de l'amérique, Laurent binet s'attaque pour son nouveau roman à l'art de la renaissance italienne, et comme toujours, avec un twist ! Avec ce savant mélange de réalisme historique et de fiction qui fait sa marque, il nous entraine dans une enquête haletante pour découvrir qui à bien pu tuer le Pontormo, peintre célébre assassiné devant le chef d'oeuvre de fresque sur lequel il travaillait depuis une decennie. Mais période historique oblige, il nous fait découvrir l'enquête au travers des lettres que s'échangent les différents protagonistes ! Et c'est là tout le génie du roman, de parvenir a décaler la temporalité de l'action et de la narration, tout en rendant ça captivant, énergique et palpitant, de donner corps aux silences, de nous forcer a lire entre les lignes et entre les lettres. On se surprend a enchainer une missive après l'autre, à attendre fébrilement la prochaine lettre de tel ou tel personnage, d'avoir enfin la réponse que nous attendons ou un autre regard sur une situation. Le texte est passionnant, formidablement bien écrit, érudit tout en restant très accessible aux non spécialistes d'histoire de l'art, drôle par moment et a lire absolument !
Fanny E.Decitre Ecully
5/5
Entre le Nom de la Rose et les Liaisons Dangereuses !
Tout est une question de perspective, et dans ce roman nous allons suivre celles de diverses personnalités qui vont converser les uns avec les autres par le biais de lettres. Le point de départ de ces lettres, c'est la mort du célèbre peintre Pontormo alors qu'il travaillait avec acharnement depuis onze ans sur les fresques d'une cathédrale de Florence. Au milieu de personnages célèbres (Michel-Ange et Catherine de Médicis), Laurent Binet nous fait voyager dans l'Italie du 16ème siècle avec brio ! Complots, partenariats, trahisons sont au cœur de ce roman choral très bien ficelé et dont le suspens est agréablement dosé !
Tout est une question de perspective, et dans ce roman nous allons suivre celles de diverses personnalités qui vont converser les uns avec les autres par le biais de lettres. Le point de départ de ces lettres, c'est la mort du célèbre peintre Pontormo alors qu'il travaillait avec acharnement depuis onze ans sur les fresques d'une cathédrale de Florence. Au milieu de personnages célèbres (Michel-Ange et Catherine de Médicis), Laurent Binet nous fait voyager dans l'Italie du 16ème siècle avec brio ! Complots, partenariats, trahisons sont au cœur de ce roman choral très bien ficelé et dont le suspens est agréablement dosé !

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.7/5
sur 3 notes dont 3 avis lecteurs
Coup de coeur
La censure de la nudité artistique n’est pas une nouveauté, preuve en est ce tout dernier roman de Lauret Binet, un polar historique épistolaire qui nous projette de plain-pied dans la Florence de la Renaissance, en une Italie dont l’effervescence artistique côtoie les déchirements politiques. En 1557, tandis que la onzième guerre d’Italie place plus que jamais la péninsule au coeur de l’affrontement entre la France et l’Espagne, le pape Paul IV à Rome et le duc Cosimo de Médicis à Florence ont fort à faire pour espérer tirer leur épingle des luttes politiques en cours. Dans ce contexte de crise mais aussi de brassage d’idées – artistiques avec la récente découverte de la perspective en peinture, ou idéologiques avec notamment l’émergence de concepts républicains mais aussi la trace laissée par les prédications de Savonarole –, tout se fait enjeu de pouvoir et objet de sombres manipulations. Surfant sur la polémique née des exigences papales d’habiller de voiles les nus « impies et obscènes » de Michel-Ange, voilà qu’on a osé peintre un nu lascif affublé du visage de Marie de Médicis, le fille du duc de Florence. Au même moment, l’infamant tableau étant déjà devenu l’enjeu d’un combat politique, Pontormo, qu’on savait déjà torturé par la prévisible condamnation des fresques très dénudées, qu’après onze ans d’un travail titanesque, il s’apprêtait à achever, est retrouvé mort au pied de son grand œuvre, un poinçon en plein coeur. Soucieux d’identifier le meurtrier et, peut-être plus encore, de récupérer l’odieux et vexant tableau, Cosimo de Médicis charge Giorgio Vasari, peintre lui aussi en même temps qu’homme de confiance, de mener une double enquête. Sur la toile de fond solidement tissée de leur contexte historique, Laurent Binet s’empare des points d’interrogation de l’Histoire pour camper, sous un format original, un récit réjouissant et addictif. Des fresques dont Pontormo avait revêtu la chapelle San Lorenzo à Florence ne nous sont parvenus que leurs cartons préparatoires. De la mort du peintre, l’on ne sait rien, même pas précisément la date. Quant à Marie, la fille aînée de Cosimo de Médicis, sa disparition à dix-sept ans est restée l’objet de diverses légendes peu vérifiables. Il n’en faut pas plus à l’écrivain pour nourrir une fiction aussi récréative qu’édifiante, truffée de clins d’oeil, tant à la littérature lorsque sa Catherine de Médicis se prend des airs de Madame de Merteuil, qu’à un certain monde contemporain criant à la pornographie devant le David de Michel-Ange. Rétrospectivement heureux de savoir les fresques de la chapelle Sixtine sauves, l’on en vient à s’affliger de la disparition de celles de Pontormo, peut-être en effet aussi sublimes. Surtout, l’on se régale de cette intrigue pleine de rebondissements et de suspense qui se laisse découvrir au long des pointillés chronologiques laissés par un paquet de 176 lettres échangées, avec toutes les tournures de l’époque, par une vingtaine de protagonistes. Le seul, contrairement aux auteurs des missives, à avoir accès à toutes, le lecteur, dans sa position ex machina, se retrouve en situation de rire – ou de frémir – des tâtonnements, erreurs et quiproquos dans lesquels, avec une malice jubilatoire, l’écrivain s’amuse à égarer les personnages. Erudite, bien écrite, drôle, cette gourmandise historique s’assortit d’autant d’intelligence que de fantaisie, pour la défense des peintres et des artistes, à commencer par ceux de la Renaissance, contre la censure de tout poil. « La perspective nous a donné la profondeur. Et la profondeur nous a ouvert les portes de l’infini » « Nous sommes les fenêtres de Dieu. » « C’est pourquoi nous ne devons pas mésestimer nos œuvres mais au contraire les respecter, en prendre soin et les défendre contre quiconque. Les nôtres et celles des autres, quand elles en valent la peine. » Coup de coeur.
La censure de la nudité artistique n’est pas une nouveauté, preuve en est ce tout dernier roman de Lauret Binet, un polar historique épistolaire qui nous projette de plain-pied dans la Florence de la Renaissance, en une Italie dont l’effervescence artistique côtoie les déchirements politiques. En 1557, tandis que la onzième guerre d’Italie place plus que jamais la péninsule au coeur de l’affrontement entre la France et l’Espagne, le pape Paul IV à Rome et le duc Cosimo de Médicis à Florence ont fort à faire pour espérer tirer leur épingle des luttes politiques en cours. Dans ce contexte de crise mais aussi de brassage d’idées – artistiques avec la récente découverte de la perspective en peinture, ou idéologiques avec notamment l’émergence de concepts républicains mais aussi la trace laissée par les prédications de Savonarole –, tout se fait enjeu de pouvoir et objet de sombres manipulations. Surfant sur la polémique née des exigences papales d’habiller de voiles les nus « impies et obscènes » de Michel-Ange, voilà qu’on a osé peintre un nu lascif affublé du visage de Marie de Médicis, le fille du duc de Florence. Au même moment, l’infamant tableau étant déjà devenu l’enjeu d’un combat politique, Pontormo, qu’on savait déjà torturé par la prévisible condamnation des fresques très dénudées, qu’après onze ans d’un travail titanesque, il s’apprêtait à achever, est retrouvé mort au pied de son grand œuvre, un poinçon en plein coeur. Soucieux d’identifier le meurtrier et, peut-être plus encore, de récupérer l’odieux et vexant tableau, Cosimo de Médicis charge Giorgio Vasari, peintre lui aussi en même temps qu’homme de confiance, de mener une double enquête. Sur la toile de fond solidement tissée de leur contexte historique, Laurent Binet s’empare des points d’interrogation de l’Histoire pour camper, sous un format original, un récit réjouissant et addictif. Des fresques dont Pontormo avait revêtu la chapelle San Lorenzo à Florence ne nous sont parvenus que leurs cartons préparatoires. De la mort du peintre, l’on ne sait rien, même pas précisément la date. Quant à Marie, la fille aînée de Cosimo de Médicis, sa disparition à dix-sept ans est restée l’objet de diverses légendes peu vérifiables. Il n’en faut pas plus à l’écrivain pour nourrir une fiction aussi récréative qu’édifiante, truffée de clins d’oeil, tant à la littérature lorsque sa Catherine de Médicis se prend des airs de Madame de Merteuil, qu’à un certain monde contemporain criant à la pornographie devant le David de Michel-Ange. Rétrospectivement heureux de savoir les fresques de la chapelle Sixtine sauves, l’on en vient à s’affliger de la disparition de celles de Pontormo, peut-être en effet aussi sublimes. Surtout, l’on se régale de cette intrigue pleine de rebondissements et de suspense qui se laisse découvrir au long des pointillés chronologiques laissés par un paquet de 176 lettres échangées, avec toutes les tournures de l’époque, par une vingtaine de protagonistes. Le seul, contrairement aux auteurs des missives, à avoir accès à toutes, le lecteur, dans sa position ex machina, se retrouve en situation de rire – ou de frémir – des tâtonnements, erreurs et quiproquos dans lesquels, avec une malice jubilatoire, l’écrivain s’amuse à égarer les personnages. Erudite, bien écrite, drôle, cette gourmandise historique s’assortit d’autant d’intelligence que de fantaisie, pour la défense des peintres et des artistes, à commencer par ceux de la Renaissance, contre la censure de tout poil. « La perspective nous a donné la profondeur. Et la profondeur nous a ouvert les portes de l’infini » « Nous sommes les fenêtres de Dieu. » « C’est pourquoi nous ne devons pas mésestimer nos œuvres mais au contraire les respecter, en prendre soin et les défendre contre quiconque. Les nôtres et celles des autres, quand elles en valent la peine. » Coup de coeur.
Remarquable
Ce roman historique épistolaire de la Renaissance italienne du 16ème siècle est très bien documenté. Le célèbre peintre Pontormo est mort d’une façon suspecte. Il travaillait depuis une décennie sur la cathédrale de Florence. Vasari mène l’enquête. Tout le monde est suspect ! De l’action, des rebondissements, de l’amour… Tous les ingrédients y sont ! L’on y découvre entre autre le fameux Michel-Ange et Catherine de Médicis également.
Ce roman historique épistolaire de la Renaissance italienne du 16ème siècle est très bien documenté. Le célèbre peintre Pontormo est mort d’une façon suspecte. Il travaillait depuis une décennie sur la cathédrale de Florence. Vasari mène l’enquête. Tout le monde est suspect ! De l’action, des rebondissements, de l’amour… Tous les ingrédients y sont ! L’on y découvre entre autre le fameux Michel-Ange et Catherine de Médicis également.
Palpitant
Cette enquête épistolaire bruisse, fourmille de voix pourtant toutes claires et distinctes qui se répondent et fouillent l'ombre florentine, les recoins artistiques, politiques et religieux de la Renaissance. Laurent Binet fait s'exprimer d'illustres artistes désormais personnages, brouillant les frontières entre fiction et réalité historique (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/08/25/perspectives-laurent-binet/)
Cette enquête épistolaire bruisse, fourmille de voix pourtant toutes claires et distinctes qui se répondent et fouillent l'ombre florentine, les recoins artistiques, politiques et religieux de la Renaissance. Laurent Binet fait s'exprimer d'illustres artistes désormais personnages, brouillant les frontières entre fiction et réalité historique (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/08/25/perspectives-laurent-binet/)
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