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michel onfray
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islam républicain
Nous attendions depuis longtemps l'avis de Michel Onfray sur l'Islam et, surtout, l'islamisme, depuis son Traité d'athéologie.
C'est ce qu'il fait dans son livre Penser l'islam. Il y revient d'abord sur les heures et les journées qui ont précédé puis suivi le 7 janvier 2015 ("notre 11 septembre"), puis répond aux questions de la journaliste algérienne Asma Kouar sur son rapport de philosophe et de citoyen à l'islam dans la société française et occidentale.
Il voit les attentats de ces derniers mois non pas comme la majorité politiquement correcte le pense (l'islam n'est pour rien
dans ces actes barbares) mais comme une réponse œil pour œil, dent pour dent, aux politiques extérieures de la France et de ses alliés dans les pays musulmans depuis 1991.
Il y trouve un nouvel éclairage auquel il donne pour solution ou tout du moins comme axe de solution, une réforme de la laïcité de 1905, plus tolérante et plus reconnaissante envers les religions, notamment l'islam. L'heure n'est plus à la question du voile mais à celle du financement des mosquées et de leurs imams par l’État pour glisser vers un islam républicain et non plus une république islamophobe.
A nous, lecteurs, de juger de la pertinence du propos et de prolonger le débat !
Vers un islam républicain ou vers une république islamophobe ?
Nous attendions depuis longtemps l'avis de Michel Onfray sur l'Islam et, surtout, l'islamisme, depuis son Traité d'athéologie.
C'est ce qu'il fait dans son livre Penser l'islam. Il y revient d'abord sur les heures et les journées qui ont précédé puis suivi le 7 janvier 2015 ("notre 11 septembre"), puis répond aux questions de la journaliste algérienne Asma Kouar sur son rapport de philosophe et de citoyen à l'islam dans la société française et occidentale.
Il voit les attentats de ces derniers mois non pas comme la majorité politiquement correcte le pense (l'islam n'est pour rien dans ces actes barbares) mais comme une réponse œil pour œil, dent pour dent, aux politiques extérieures de la France et de ses alliés dans les pays musulmans depuis 1991.
Il y trouve un nouvel éclairage auquel il donne pour solution ou tout du moins comme axe de solution, une réforme de la laïcité de 1905, plus tolérante et plus reconnaissante envers les religions, notamment l'islam. L'heure n'est plus à la question du voile mais à celle du financement des mosquées et de leurs imams par l’État pour glisser vers un islam républicain et non plus une république islamophobe.
A nous, lecteurs, de juger de la pertinence du propos et de prolonger le débat !