Penser et faire la géographie sociale. Contributions à une épistémologie de la géographie sociale
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- Nombre de pages397
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7535-2677-8
- EAN9782753526778
- Date de parution13/02/2013
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Rennes
Résumé
Comment la géographie sociale est-elle perçue par ceux qui la font ou par ceux qui, sans y adhérer pleinement, lui reconnaissent des spécificités dans le champ de la géographie ? Comment peut-elle contribuer à positionner la géographie dans les sciences sociales? Vingt-cinq auteurs de différentes générations donnent leur point de vue dans le premier d'une série de trois ouvrages issus du colloque Espaces et sociétés aujourd'hui qui s'est tenu à Rennes en octobre 2004.
Ces contributions qui portent sur les enjeux scientifiques et méthodologiques actuels révèlent la vita-lité et les capacités de renouvellement de cette orientation de la géographie qui s'est affirmée au début des années 1980. La géographie sociale a évolué dans ses paradigmes, ses questionnements, ses méthodes. Comme l'anthropologie, la socio-logie, l'histoire..., elle est passée des grandes théories explicatives à l'action et l'acteur; elle a renoué avec l'immatériel, l'idéel, le symbolique.
Ouverte aux échanges avec d'autres géographies, pleinement investie dans les sciences sociales, la géographie sociale n'en continue pas moins à faire entendre un point de vue original sur le monde et sur la société. La plupart des auteurs réaffirment la nécessité ou le choix de l'implication et de l'engagement du chercheur, renouant ainsi avec des principes affichés par les pionniers de la géographie sociale.
En se donnant pour objet la relation à l'autre, telle qu'elle se construit dans l'espace, plutôt que les configurations spatiales (le quartier, la ville, la région...), ces chercheurs sont en mesure d'expliciter des enjeux de pouvoir et des rapports de domination. C'est dans cette démarche d'approfondissement théorique et épistémologique que les auteurs envisagent des enjeux sociétaux (le vivre ensemble, la démocratie...), se positionnent par rapport à d'autres sciences sociales (géopolitique, sociolinguistique) et au sein de différents champs de recherche (médias, sport, santé, ville, risques).
Il en ressort l'image d'une géographie sociale à la fois diverse et cohérente dans sa manière d'appréhender la dimension spatiale des sociétés.
Ces contributions qui portent sur les enjeux scientifiques et méthodologiques actuels révèlent la vita-lité et les capacités de renouvellement de cette orientation de la géographie qui s'est affirmée au début des années 1980. La géographie sociale a évolué dans ses paradigmes, ses questionnements, ses méthodes. Comme l'anthropologie, la socio-logie, l'histoire..., elle est passée des grandes théories explicatives à l'action et l'acteur; elle a renoué avec l'immatériel, l'idéel, le symbolique.
Ouverte aux échanges avec d'autres géographies, pleinement investie dans les sciences sociales, la géographie sociale n'en continue pas moins à faire entendre un point de vue original sur le monde et sur la société. La plupart des auteurs réaffirment la nécessité ou le choix de l'implication et de l'engagement du chercheur, renouant ainsi avec des principes affichés par les pionniers de la géographie sociale.
En se donnant pour objet la relation à l'autre, telle qu'elle se construit dans l'espace, plutôt que les configurations spatiales (le quartier, la ville, la région...), ces chercheurs sont en mesure d'expliciter des enjeux de pouvoir et des rapports de domination. C'est dans cette démarche d'approfondissement théorique et épistémologique que les auteurs envisagent des enjeux sociétaux (le vivre ensemble, la démocratie...), se positionnent par rapport à d'autres sciences sociales (géopolitique, sociolinguistique) et au sein de différents champs de recherche (médias, sport, santé, ville, risques).
Il en ressort l'image d'une géographie sociale à la fois diverse et cohérente dans sa manière d'appréhender la dimension spatiale des sociétés.
Comment la géographie sociale est-elle perçue par ceux qui la font ou par ceux qui, sans y adhérer pleinement, lui reconnaissent des spécificités dans le champ de la géographie ? Comment peut-elle contribuer à positionner la géographie dans les sciences sociales? Vingt-cinq auteurs de différentes générations donnent leur point de vue dans le premier d'une série de trois ouvrages issus du colloque Espaces et sociétés aujourd'hui qui s'est tenu à Rennes en octobre 2004.
Ces contributions qui portent sur les enjeux scientifiques et méthodologiques actuels révèlent la vita-lité et les capacités de renouvellement de cette orientation de la géographie qui s'est affirmée au début des années 1980. La géographie sociale a évolué dans ses paradigmes, ses questionnements, ses méthodes. Comme l'anthropologie, la socio-logie, l'histoire..., elle est passée des grandes théories explicatives à l'action et l'acteur; elle a renoué avec l'immatériel, l'idéel, le symbolique.
Ouverte aux échanges avec d'autres géographies, pleinement investie dans les sciences sociales, la géographie sociale n'en continue pas moins à faire entendre un point de vue original sur le monde et sur la société. La plupart des auteurs réaffirment la nécessité ou le choix de l'implication et de l'engagement du chercheur, renouant ainsi avec des principes affichés par les pionniers de la géographie sociale.
En se donnant pour objet la relation à l'autre, telle qu'elle se construit dans l'espace, plutôt que les configurations spatiales (le quartier, la ville, la région...), ces chercheurs sont en mesure d'expliciter des enjeux de pouvoir et des rapports de domination. C'est dans cette démarche d'approfondissement théorique et épistémologique que les auteurs envisagent des enjeux sociétaux (le vivre ensemble, la démocratie...), se positionnent par rapport à d'autres sciences sociales (géopolitique, sociolinguistique) et au sein de différents champs de recherche (médias, sport, santé, ville, risques).
Il en ressort l'image d'une géographie sociale à la fois diverse et cohérente dans sa manière d'appréhender la dimension spatiale des sociétés.
Ces contributions qui portent sur les enjeux scientifiques et méthodologiques actuels révèlent la vita-lité et les capacités de renouvellement de cette orientation de la géographie qui s'est affirmée au début des années 1980. La géographie sociale a évolué dans ses paradigmes, ses questionnements, ses méthodes. Comme l'anthropologie, la socio-logie, l'histoire..., elle est passée des grandes théories explicatives à l'action et l'acteur; elle a renoué avec l'immatériel, l'idéel, le symbolique.
Ouverte aux échanges avec d'autres géographies, pleinement investie dans les sciences sociales, la géographie sociale n'en continue pas moins à faire entendre un point de vue original sur le monde et sur la société. La plupart des auteurs réaffirment la nécessité ou le choix de l'implication et de l'engagement du chercheur, renouant ainsi avec des principes affichés par les pionniers de la géographie sociale.
En se donnant pour objet la relation à l'autre, telle qu'elle se construit dans l'espace, plutôt que les configurations spatiales (le quartier, la ville, la région...), ces chercheurs sont en mesure d'expliciter des enjeux de pouvoir et des rapports de domination. C'est dans cette démarche d'approfondissement théorique et épistémologique que les auteurs envisagent des enjeux sociétaux (le vivre ensemble, la démocratie...), se positionnent par rapport à d'autres sciences sociales (géopolitique, sociolinguistique) et au sein de différents champs de recherche (médias, sport, santé, ville, risques).
Il en ressort l'image d'une géographie sociale à la fois diverse et cohérente dans sa manière d'appréhender la dimension spatiale des sociétés.