En Espagne, Patria dépasse le cercle littéraire pour enflammer les esprits, susciter la polémique, ouvrir une catharsis et s’impose d’ores et déjà comme un chef d’œuvre. On en parle dans le café du coin. Sur un pallier, entre deux immeubles. Dans les transports en commun. La critique a comparé son auteur à Tolstoï. A Balzac. A Galdós. Mais il fallait quelqu’un pour tailler dans le vif, nous faire ressentir le conflit de l’ETA jusqu'au fond de nos entrailles, suspendre nos souffles le temps d’une lecture qui se dévore d’un trait, et ce quelqu’un, c’est Fernando Aramburu.
Lisez-le, vous vous ferez un cadeau.
Laura
En Espagne, Patria dépasse le cercle littéraire pour enflammer les esprits, susciter la polémique, ouvrir une catharsis et s’impose d’ores et déjà comme un chef d’œuvre. On en parle dans le café du coin. Sur un pallier, entre deux immeubles. Dans les transports en commun. La critique a comparé son auteur à Tolstoï. A Balzac. A Galdós. Mais il fallait quelqu’un pour tailler dans le vif, nous faire ressentir le conflit de l’ETA jusqu'au fond de nos entrailles, suspendre nos souffles le temps d’une lecture qui se dévore d’un trait, et ce quelqu’un, c’est Fernando Aramburu.
Lisez-le, vous vous ferez un cadeau.
Laura