Passeurs de l’idéal social. De 1890 à 1920, entre la Guerre et la Paix

Le roman poursuit la fiction de deux générations de travailleurs saisonniers de la vallée du Geer. Quatre parties se partagent l'épopée. La première partie conduit le lecteur de la fête au village à la roue du progrès. De la paix par l'amour à la préparation des collections 1900. Mais il faut bien accepter les deux mondes en cherchant les passages, les cadres, les patrons, les ouvriers. Penser à la descendance et à la dépendance de la femme, mère, maîtresse de maison.
La deuxième partie nous conduit à la deuxième génération des saisonniers. La troisième partie crée le contraste du siècle. C'est la guerre en Vallée du Geer et de la Meuse. Colas, chapelier, est canonnier à la casemate du Fort de Barchon. Nestor est sur le front de l'Yser, touché par le gaz. En 1915, le village enterre ses morts ... Mais la vie continue, car au bout du gouffre il faut tirer des conclusions.
La quatrième partie dégage l'espoir entre les femmes et les hommes. Ils inventent la Société des Nations. Ils veulent vivre sans la guerre, devenir des citoyens dans la paix. Mais il faut d'abord redresser les ruines ! Nos enfants auront l'enthousiasme d'inventer des modèles où la Paix sera durable.