Parole futée, peuple dupé. Discours et révolution chez Sékou Touré
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages320
- FormatPDF
- ISBN2-296-30827-9
- EAN9782296308275
- Date de parution15/05/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille12 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'auto-célébration du pouvoir de Sékou Touré a débuté dès son époque syndicale et politique, dans la pré-indépendance. Le grand orateur politique a démultiplié les grand'messes tout en aiguisant la rhétorique de l'amplification pour mieux subjuguer "les masses". L'auteur met en parallèle la Parole flamboyante du responsable Suprême de la révolution Guinéenne et la déchéance du pays tout entier ! Le discours hégémonique du dictateur a accompagné ainsi la descente aux enfers de la Nation guinéenne étouffée entre le mythe de la révolution et ses conséquences plus que néfastes.
L'auto-célébration du pouvoir de Sékou Touré a débuté dès son époque syndicale et politique, dans la pré-indépendance. Le grand orateur politique a démultiplié les grand'messes tout en aiguisant la rhétorique de l'amplification pour mieux subjuguer "les masses". L'auteur met en parallèle la Parole flamboyante du responsable Suprême de la révolution Guinéenne et la déchéance du pays tout entier ! Le discours hégémonique du dictateur a accompagné ainsi la descente aux enfers de la Nation guinéenne étouffée entre le mythe de la révolution et ses conséquences plus que néfastes.