Panique à l'université. Rectitude politique, wokes et autres menaces imaginaires
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages328
- FormatePub
- ISBN978-2-89833-031-5
- EAN9782898330315
- Date de parution25/08/2022
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLux Éditeur
Résumé
Plusieurs poussent des cris affolés à propos d'une Université soi-disant assiégée par les féministes et les antiracistes, qui menaceraient jusqu'à l'ensemble de la société au nom de la « rectitude politique ». Pour stimuler la panique collective, on agite des épouvantails -social justice warriors, islamo-gauchistes, wokes, gender studies - et on évoque les pires violences de l'histoire : chasse aux sorcières, lynchage, totalitarisme, extermination.
Mêmes des chefs d'État montent au front. Or, cette agitation repose non seulement sur des exagérations et des mensonges, mais elle relève d'une manipulation qui enferme l'esprit et entrave la curiosité intellectuelle, la liberté universitaire et le développement des savoirs. Pour y voir plus clair, cet essai s'intéresse à l'histoire ancienne et récente de l'Université. Il appelle à considérer la place réelle des études sur le genre et le racisme dans les réseaux universitaires - des salles de classe aux projets de recherche -, et met en lumière les forces qui mènent la charge aux États-Unis, en France et au Québec, depuis presque cinquante ans.
Ultimement, il s'agit d'un exercice de déconstruction d'une propagande réactionnaire.
Mêmes des chefs d'État montent au front. Or, cette agitation repose non seulement sur des exagérations et des mensonges, mais elle relève d'une manipulation qui enferme l'esprit et entrave la curiosité intellectuelle, la liberté universitaire et le développement des savoirs. Pour y voir plus clair, cet essai s'intéresse à l'histoire ancienne et récente de l'Université. Il appelle à considérer la place réelle des études sur le genre et le racisme dans les réseaux universitaires - des salles de classe aux projets de recherche -, et met en lumière les forces qui mènent la charge aux États-Unis, en France et au Québec, depuis presque cinquante ans.
Ultimement, il s'agit d'un exercice de déconstruction d'une propagande réactionnaire.
Plusieurs poussent des cris affolés à propos d'une Université soi-disant assiégée par les féministes et les antiracistes, qui menaceraient jusqu'à l'ensemble de la société au nom de la « rectitude politique ». Pour stimuler la panique collective, on agite des épouvantails -social justice warriors, islamo-gauchistes, wokes, gender studies - et on évoque les pires violences de l'histoire : chasse aux sorcières, lynchage, totalitarisme, extermination.
Mêmes des chefs d'État montent au front. Or, cette agitation repose non seulement sur des exagérations et des mensonges, mais elle relève d'une manipulation qui enferme l'esprit et entrave la curiosité intellectuelle, la liberté universitaire et le développement des savoirs. Pour y voir plus clair, cet essai s'intéresse à l'histoire ancienne et récente de l'Université. Il appelle à considérer la place réelle des études sur le genre et le racisme dans les réseaux universitaires - des salles de classe aux projets de recherche -, et met en lumière les forces qui mènent la charge aux États-Unis, en France et au Québec, depuis presque cinquante ans.
Ultimement, il s'agit d'un exercice de déconstruction d'une propagande réactionnaire.
Mêmes des chefs d'État montent au front. Or, cette agitation repose non seulement sur des exagérations et des mensonges, mais elle relève d'une manipulation qui enferme l'esprit et entrave la curiosité intellectuelle, la liberté universitaire et le développement des savoirs. Pour y voir plus clair, cet essai s'intéresse à l'histoire ancienne et récente de l'Université. Il appelle à considérer la place réelle des études sur le genre et le racisme dans les réseaux universitaires - des salles de classe aux projets de recherche -, et met en lumière les forces qui mènent la charge aux États-Unis, en France et au Québec, depuis presque cinquante ans.
Ultimement, il s'agit d'un exercice de déconstruction d'une propagande réactionnaire.