Outrages, insultes, blasphèmes et injures : violences du langage et polices du discours
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- Nombre de pages192
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-20158-3
- EAN9782296201583
- Date de parution01/07/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille5 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
" Bougnoule, niakoué, raton, youpin / crouillat, gringo, rasta, ricain " chantait, il y a quelques années, un Jacques Dutronc désabusé, dans l'Hymne à l'Amour. Et la liste n'est évidemment pas exhaustive, tant le lexique est fourni... Autant de termes, autant de violences langagières, qui sont susceptibles d'un traitement pénal. La loi française matérialise en effet une police du discours et, en public en tout cas, il est entendu que l'on ne peut pas dire n'importe quoi avec n'importe qui.
Sur cette thématique de la violence du langage, articulée à une pénalisation de la parole, juristes - universitaires ou praticiens -, linguistes, historiens du droit, psychanalystes et spécialistes de littérature ont décidé de se réunir pour confronter leurs analyses. Si l'approche juridique privilégie la définition de catégories aux frontières parfois ténues (outrage, injure, blasphème, diffamation), les approches linguistique et littéraire interrogent la production du sens en contexte et les effets de réception de ces paroles qui font acte.
Les analyses détaillées et les nombreux exemples contenus dans l'ouvrage ne manqueront pas d'intéresser tous ceux qui, dans leur cadre professionnel, dans leur vie quotidienne, ou par simple curiosité intellectuelle, sont amenés à se pencher sur la question épineuse des limites de la correction et de la politesse dans les interactions verbales.
Sur cette thématique de la violence du langage, articulée à une pénalisation de la parole, juristes - universitaires ou praticiens -, linguistes, historiens du droit, psychanalystes et spécialistes de littérature ont décidé de se réunir pour confronter leurs analyses. Si l'approche juridique privilégie la définition de catégories aux frontières parfois ténues (outrage, injure, blasphème, diffamation), les approches linguistique et littéraire interrogent la production du sens en contexte et les effets de réception de ces paroles qui font acte.
Les analyses détaillées et les nombreux exemples contenus dans l'ouvrage ne manqueront pas d'intéresser tous ceux qui, dans leur cadre professionnel, dans leur vie quotidienne, ou par simple curiosité intellectuelle, sont amenés à se pencher sur la question épineuse des limites de la correction et de la politesse dans les interactions verbales.
" Bougnoule, niakoué, raton, youpin / crouillat, gringo, rasta, ricain " chantait, il y a quelques années, un Jacques Dutronc désabusé, dans l'Hymne à l'Amour. Et la liste n'est évidemment pas exhaustive, tant le lexique est fourni... Autant de termes, autant de violences langagières, qui sont susceptibles d'un traitement pénal. La loi française matérialise en effet une police du discours et, en public en tout cas, il est entendu que l'on ne peut pas dire n'importe quoi avec n'importe qui.
Sur cette thématique de la violence du langage, articulée à une pénalisation de la parole, juristes - universitaires ou praticiens -, linguistes, historiens du droit, psychanalystes et spécialistes de littérature ont décidé de se réunir pour confronter leurs analyses. Si l'approche juridique privilégie la définition de catégories aux frontières parfois ténues (outrage, injure, blasphème, diffamation), les approches linguistique et littéraire interrogent la production du sens en contexte et les effets de réception de ces paroles qui font acte.
Les analyses détaillées et les nombreux exemples contenus dans l'ouvrage ne manqueront pas d'intéresser tous ceux qui, dans leur cadre professionnel, dans leur vie quotidienne, ou par simple curiosité intellectuelle, sont amenés à se pencher sur la question épineuse des limites de la correction et de la politesse dans les interactions verbales.
Sur cette thématique de la violence du langage, articulée à une pénalisation de la parole, juristes - universitaires ou praticiens -, linguistes, historiens du droit, psychanalystes et spécialistes de littérature ont décidé de se réunir pour confronter leurs analyses. Si l'approche juridique privilégie la définition de catégories aux frontières parfois ténues (outrage, injure, blasphème, diffamation), les approches linguistique et littéraire interrogent la production du sens en contexte et les effets de réception de ces paroles qui font acte.
Les analyses détaillées et les nombreux exemples contenus dans l'ouvrage ne manqueront pas d'intéresser tous ceux qui, dans leur cadre professionnel, dans leur vie quotidienne, ou par simple curiosité intellectuelle, sont amenés à se pencher sur la question épineuse des limites de la correction et de la politesse dans les interactions verbales.