On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en s'en allant

Par : Marie Griessinger
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  • Nombre de pages128
  • FormatePub
  • ISBN978-2-226-34271-3
  • EAN9782226342713
  • Date de parution02/03/2015
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlbin Michel

Résumé

Jean-Michel sombre dans la nuit, absent à tout. Sa femme lutte avec une force douce et rageuse à ses côtés, s'épuisant à croire que son amour inébranlable pourra faire revivre l'homme qu'il fut. Leur fille assiste impuissante au lent déclin de ce père tant aimé. Comme pour défier le destin, elle convoque les souvenirs des jours heureux, d'un bonheur que rien ne pourra effacer. Avec une simplicité et une sincérité bouleversantes, Marie Griessinger exprime dans ce premier roman sobre et émouvant la douleur de toute perte, mais aussi l'amour d'une fille pour son père.
Jean-Michel sombre dans la nuit, absent à tout. Sa femme lutte avec une force douce et rageuse à ses côtés, s'épuisant à croire que son amour inébranlable pourra faire revivre l'homme qu'il fut. Leur fille assiste impuissante au lent déclin de ce père tant aimé. Comme pour défier le destin, elle convoque les souvenirs des jours heureux, d'un bonheur que rien ne pourra effacer. Avec une simplicité et une sincérité bouleversantes, Marie Griessinger exprime dans ce premier roman sobre et émouvant la douleur de toute perte, mais aussi l'amour d'une fille pour son père.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
Recommandé par le blog Les lectures de Lily
On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en s'en allant est le premier roman de Marie Griessinger, et quel roman ! Ce récit concis, intense, poétique, puissant m'a totalement bouleversée et a déclenché chez moi un (presque) coup de cœur. Trop émouvant, trop triste, trop près de la réalité... Il m'a troublée et touchée en plein cœur. Suite de mon avis sur mon blog www.leslecturesdelily.com ou en suivant ce lien http://www.leslecturesdelily.com/2017/04/on-reconnait-le-bonheur-au-bruit-quil.html#more Bonne lecture !
On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en s'en allant est le premier roman de Marie Griessinger, et quel roman ! Ce récit concis, intense, poétique, puissant m'a totalement bouleversée et a déclenché chez moi un (presque) coup de cœur. Trop émouvant, trop triste, trop près de la réalité... Il m'a troublée et touchée en plein cœur. Suite de mon avis sur mon blog www.leslecturesdelily.com ou en suivant ce lien http://www.leslecturesdelily.com/2017/04/on-reconnait-le-bonheur-au-bruit-quil.html#more Bonne lecture !
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Le père de Marie Griessinger, un océanographe passionné, va progressivement basculer dans le mutisme. Il n’avait jamais été un grand causeur, plutôt un homme discret et silencieux qui ne se répandait pas en paroles inutiles ni en effusions sentimentales. Il était l’homme de la maison, amoureux de sa femme, un père ppeu commode, aux colères orageuses, mais toujours présent à travers les petits rituels familiaux. Son mutisme associé à quelques symptômes inhabituels vont pousser ses proches à consulter. Le diagnostic est terrible et sans appel : maladie à corps de Lewy, absolument incurable… La maladie à corps de Lewy, aussi appelé démence à corps de Lewy est une pathologie neurologique qui affecte les fonction cognitive de l’individu. Sur certains points, elle se rapproche de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, mais son évolution est généralement plus rapide. La personne atteinte a de plus en plus de mal à parler, elle est victime d’hallucinations, de troubles de l’attention de pertes de repères, de perturbations du raisonnement. Mais surtout il n’existe aucun traitement efficace contre cette terrible maladie. Commence alors le lent naufrage d’un septuagénaire habitué à penser vite et bien et qui devra désormais passer un temps infini pour se faire comprendre. Lui qui n’a jamais dit “Je t’aime “ à sa fille va prononcer ces paroles pour la première fois ce qui ne fait qu’ajouter à l’inquiétude de cette dernière. Ce récit est avant-tout le témoignage bouleversant de la déchéance progressive d’un père aimé et qui va révéler tout l’amour qu’il a pour ses filles au moment où sa raison l’abandonne. Marie Griessinger livre des pages poignantes, profondes et d’une grande dignité sur ce qui va se nouer dans ce qui se dénoue sous ses yeux. On est parfois obligé de poser le livre mais on sait qu’on ira au bout car cette tragédie livre quelque chose de notre humanité où parfois le plus beau nait du pire… Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
Le père de Marie Griessinger, un océanographe passionné, va progressivement basculer dans le mutisme. Il n’avait jamais été un grand causeur, plutôt un homme discret et silencieux qui ne se répandait pas en paroles inutiles ni en effusions sentimentales. Il était l’homme de la maison, amoureux de sa femme, un père ppeu commode, aux colères orageuses, mais toujours présent à travers les petits rituels familiaux. Son mutisme associé à quelques symptômes inhabituels vont pousser ses proches à consulter. Le diagnostic est terrible et sans appel : maladie à corps de Lewy, absolument incurable… La maladie à corps de Lewy, aussi appelé démence à corps de Lewy est une pathologie neurologique qui affecte les fonction cognitive de l’individu. Sur certains points, elle se rapproche de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, mais son évolution est généralement plus rapide. La personne atteinte a de plus en plus de mal à parler, elle est victime d’hallucinations, de troubles de l’attention de pertes de repères, de perturbations du raisonnement. Mais surtout il n’existe aucun traitement efficace contre cette terrible maladie. Commence alors le lent naufrage d’un septuagénaire habitué à penser vite et bien et qui devra désormais passer un temps infini pour se faire comprendre. Lui qui n’a jamais dit “Je t’aime “ à sa fille va prononcer ces paroles pour la première fois ce qui ne fait qu’ajouter à l’inquiétude de cette dernière. Ce récit est avant-tout le témoignage bouleversant de la déchéance progressive d’un père aimé et qui va révéler tout l’amour qu’il a pour ses filles au moment où sa raison l’abandonne. Marie Griessinger livre des pages poignantes, profondes et d’une grande dignité sur ce qui va se nouer dans ce qui se dénoue sous ses yeux. On est parfois obligé de poser le livre mais on sait qu’on ira au bout car cette tragédie livre quelque chose de notre humanité où parfois le plus beau nait du pire… Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)