"On ne peut plus rien dire...". Liberté d'expression : le grand détournement
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- Nombre de pages58
- FormatePub
- ISBN978-2-38191-118-2
- EAN9782381911182
- Date de parution27/03/2025
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille321 Ko
- ÉditeurANAMOSA
Résumé
" On ne peut plus rien dire... " La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure " s'étire à longueur de journée sur les plateaux télévisés. Il semblerait que la réaction se soit approprié la liberté d'expression pour mieux la dévoyer. Comment en est-on arrivé là ? Comment récupérer cette liberté fondamentale en démocratie ? Voilà l'enjeu de ce texte incisif.
" On ne peut plus rien dire...
" La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure ", à l'instar d'un Donald Trump, s'étire à longueur de plateaux télévisés. Toute contradiction est dénoncée comme une agression, la lutte contre le racisme est présentée comme une marque d'intolérance " woke ". Par un incroyable retournement, tout effort de protéger le débat démocratique est aujourd'hui brocardé comme une atteinte à " liberté d'expression ".
Pourtant, la haine et le mensonge nuisent gravement à la délibération démocratique : les restrictions de l'expression publique, loin d'être en contradiction avec la liberté d'expression, lui sont consubstantielles. Le juriste Thomas Hochmann révèle la manière dont la réaction a accaparé la liberté d'expression pour mieux imposer ses manières de dire. Mais il montre également comment se réapproprier cette liberté fondamentale, après avoir rappelé et défendu, exemples à l'appui, les lois qui interdisent les discours de haine et les campagnes de désinformation.
Leur mise en ouvre constitue désormais une de nos dernières chances de repousser l'extrême droite.
" La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure ", à l'instar d'un Donald Trump, s'étire à longueur de plateaux télévisés. Toute contradiction est dénoncée comme une agression, la lutte contre le racisme est présentée comme une marque d'intolérance " woke ". Par un incroyable retournement, tout effort de protéger le débat démocratique est aujourd'hui brocardé comme une atteinte à " liberté d'expression ".
Pourtant, la haine et le mensonge nuisent gravement à la délibération démocratique : les restrictions de l'expression publique, loin d'être en contradiction avec la liberté d'expression, lui sont consubstantielles. Le juriste Thomas Hochmann révèle la manière dont la réaction a accaparé la liberté d'expression pour mieux imposer ses manières de dire. Mais il montre également comment se réapproprier cette liberté fondamentale, après avoir rappelé et défendu, exemples à l'appui, les lois qui interdisent les discours de haine et les campagnes de désinformation.
Leur mise en ouvre constitue désormais une de nos dernières chances de repousser l'extrême droite.
" On ne peut plus rien dire... " La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure " s'étire à longueur de journée sur les plateaux télévisés. Il semblerait que la réaction se soit approprié la liberté d'expression pour mieux la dévoyer. Comment en est-on arrivé là ? Comment récupérer cette liberté fondamentale en démocratie ? Voilà l'enjeu de ce texte incisif.
" On ne peut plus rien dire...
" La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure ", à l'instar d'un Donald Trump, s'étire à longueur de plateaux télévisés. Toute contradiction est dénoncée comme une agression, la lutte contre le racisme est présentée comme une marque d'intolérance " woke ". Par un incroyable retournement, tout effort de protéger le débat démocratique est aujourd'hui brocardé comme une atteinte à " liberté d'expression ".
Pourtant, la haine et le mensonge nuisent gravement à la délibération démocratique : les restrictions de l'expression publique, loin d'être en contradiction avec la liberté d'expression, lui sont consubstantielles. Le juriste Thomas Hochmann révèle la manière dont la réaction a accaparé la liberté d'expression pour mieux imposer ses manières de dire. Mais il montre également comment se réapproprier cette liberté fondamentale, après avoir rappelé et défendu, exemples à l'appui, les lois qui interdisent les discours de haine et les campagnes de désinformation.
Leur mise en ouvre constitue désormais une de nos dernières chances de repousser l'extrême droite.
" La complainte de celles et ceux qui dénoncent la " censure ", à l'instar d'un Donald Trump, s'étire à longueur de plateaux télévisés. Toute contradiction est dénoncée comme une agression, la lutte contre le racisme est présentée comme une marque d'intolérance " woke ". Par un incroyable retournement, tout effort de protéger le débat démocratique est aujourd'hui brocardé comme une atteinte à " liberté d'expression ".
Pourtant, la haine et le mensonge nuisent gravement à la délibération démocratique : les restrictions de l'expression publique, loin d'être en contradiction avec la liberté d'expression, lui sont consubstantielles. Le juriste Thomas Hochmann révèle la manière dont la réaction a accaparé la liberté d'expression pour mieux imposer ses manières de dire. Mais il montre également comment se réapproprier cette liberté fondamentale, après avoir rappelé et défendu, exemples à l'appui, les lois qui interdisent les discours de haine et les campagnes de désinformation.
Leur mise en ouvre constitue désormais une de nos dernières chances de repousser l'extrême droite.