Lucien d'AZAY, né en 1966, est écrivain et traducteur de l'anglais et de l'italien au français. Il a notamment publié aux Belles Lettres Keats, keepsake (2014), Trois excentriques anglais (2011) (Prix de la Revue des Deux Mondes 2012) et Le Faussaire et son double, vie de Thomas Chatterton (2009), ainsi que Sur les Chemins de Palmyre (La Table Ronde, 2012).
Ode à un bernard - l'ermite. Avis à ceux qui déménagent
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages112
- FormatePub
- ISBN978-2-251-90096-4
- EAN9782251900964
- Date de parution24/08/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLes Belles Lettres
- Illustrateur Hélias
- IllustrateurAki Inomata
Résumé
Dès sa naissance, le bernard-l'ermite, moins connu sous le nom de pagure, est obligé de protéger son abdomen dépourvu de carapace. Il ne survivrait pas sans recourir à une coquille, qu'il emprunte le plus souvent à un gastéropode défunt. Si ce n'est qu'il doit constamment en changer à mesure qu'il se développe.
Cette curieuse anomalie est le ressort de la capacité lyrique de notre crustacé condamné à la quête d'un chez-soi idéal.
Il inspire d'autant plus la sympathie que nous lui prêtons l'angoisse que nous éprouvons chaque fois qu'il nous faut déménager ou nous laisser enfermer dans la carlingue d'un avion. Articulé autour de l'Ode à un bernard-l'ermite proprement dite, cet opuscule s'enveloppe de tout un assortiment de textes disparates - poèmes, essais, fables, notices, aphorismes, haïku - qui forment autant de coquilles littéraires à la condition du bernard-l'ermite, métaphore crabesque de la condition humaine.
Il inspire d'autant plus la sympathie que nous lui prêtons l'angoisse que nous éprouvons chaque fois qu'il nous faut déménager ou nous laisser enfermer dans la carlingue d'un avion. Articulé autour de l'Ode à un bernard-l'ermite proprement dite, cet opuscule s'enveloppe de tout un assortiment de textes disparates - poèmes, essais, fables, notices, aphorismes, haïku - qui forment autant de coquilles littéraires à la condition du bernard-l'ermite, métaphore crabesque de la condition humaine.
Dès sa naissance, le bernard-l'ermite, moins connu sous le nom de pagure, est obligé de protéger son abdomen dépourvu de carapace. Il ne survivrait pas sans recourir à une coquille, qu'il emprunte le plus souvent à un gastéropode défunt. Si ce n'est qu'il doit constamment en changer à mesure qu'il se développe.
Cette curieuse anomalie est le ressort de la capacité lyrique de notre crustacé condamné à la quête d'un chez-soi idéal.
Il inspire d'autant plus la sympathie que nous lui prêtons l'angoisse que nous éprouvons chaque fois qu'il nous faut déménager ou nous laisser enfermer dans la carlingue d'un avion. Articulé autour de l'Ode à un bernard-l'ermite proprement dite, cet opuscule s'enveloppe de tout un assortiment de textes disparates - poèmes, essais, fables, notices, aphorismes, haïku - qui forment autant de coquilles littéraires à la condition du bernard-l'ermite, métaphore crabesque de la condition humaine.
Il inspire d'autant plus la sympathie que nous lui prêtons l'angoisse que nous éprouvons chaque fois qu'il nous faut déménager ou nous laisser enfermer dans la carlingue d'un avion. Articulé autour de l'Ode à un bernard-l'ermite proprement dite, cet opuscule s'enveloppe de tout un assortiment de textes disparates - poèmes, essais, fables, notices, aphorismes, haïku - qui forment autant de coquilles littéraires à la condition du bernard-l'ermite, métaphore crabesque de la condition humaine.