Ne soyons pas des écologistes benêts
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- Nombre de pages128
- FormatePub
- ISBN978-2-7555-0405-7
- EAN9782755504057
- Date de parution25/08/2010
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille170 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
Qu'ils soient militants associatifs ou politiques, les écologistes benêts sont ceux qui ne voient le monde qu'à travers la crise écologique en oubliant la crise sociale. Ceux qui défendent une écologie qui ne serait « ni de droite ni de gauche » (Nicolas Hulot). Ceux qui prétendent sauver les écosystèmes sans mettre fin au capitalisme (Yann Arthus Bertrand). Pourtant, ceux-ci auraient dû être réveillés par la déflagration de l'effondrement financier en 2007-2008 venant s'ajouter aux alarmes des climatologues.
Eh bien non. Certains prônent sans le moindre complexe un capitalisme vert qui nous promet des éoliennes et des centrales photovoltaïques par milliers couvrant des terres agricoles ou forestières, car plus profitable. L'ordre économique mondiale tente de se faire une seconde jeunesse. Face à cette offensive extrêmement dangereuse, nous ne devons pas nous laisser illusionner. Les innovations certes.
Mais c'est avant tout à un réordonnancement des échanges qu'il faut ouvrer. Cela passera par des prises de position claires : contre l'OMC, pour un protectionnisme écologique et social à l'échelle des continents, à commencer par celle de l'Europe.
Eh bien non. Certains prônent sans le moindre complexe un capitalisme vert qui nous promet des éoliennes et des centrales photovoltaïques par milliers couvrant des terres agricoles ou forestières, car plus profitable. L'ordre économique mondiale tente de se faire une seconde jeunesse. Face à cette offensive extrêmement dangereuse, nous ne devons pas nous laisser illusionner. Les innovations certes.
Mais c'est avant tout à un réordonnancement des échanges qu'il faut ouvrer. Cela passera par des prises de position claires : contre l'OMC, pour un protectionnisme écologique et social à l'échelle des continents, à commencer par celle de l'Europe.
Qu'ils soient militants associatifs ou politiques, les écologistes benêts sont ceux qui ne voient le monde qu'à travers la crise écologique en oubliant la crise sociale. Ceux qui défendent une écologie qui ne serait « ni de droite ni de gauche » (Nicolas Hulot). Ceux qui prétendent sauver les écosystèmes sans mettre fin au capitalisme (Yann Arthus Bertrand). Pourtant, ceux-ci auraient dû être réveillés par la déflagration de l'effondrement financier en 2007-2008 venant s'ajouter aux alarmes des climatologues.
Eh bien non. Certains prônent sans le moindre complexe un capitalisme vert qui nous promet des éoliennes et des centrales photovoltaïques par milliers couvrant des terres agricoles ou forestières, car plus profitable. L'ordre économique mondiale tente de se faire une seconde jeunesse. Face à cette offensive extrêmement dangereuse, nous ne devons pas nous laisser illusionner. Les innovations certes.
Mais c'est avant tout à un réordonnancement des échanges qu'il faut ouvrer. Cela passera par des prises de position claires : contre l'OMC, pour un protectionnisme écologique et social à l'échelle des continents, à commencer par celle de l'Europe.
Eh bien non. Certains prônent sans le moindre complexe un capitalisme vert qui nous promet des éoliennes et des centrales photovoltaïques par milliers couvrant des terres agricoles ou forestières, car plus profitable. L'ordre économique mondiale tente de se faire une seconde jeunesse. Face à cette offensive extrêmement dangereuse, nous ne devons pas nous laisser illusionner. Les innovations certes.
Mais c'est avant tout à un réordonnancement des échanges qu'il faut ouvrer. Cela passera par des prises de position claires : contre l'OMC, pour un protectionnisme écologique et social à l'échelle des continents, à commencer par celle de l'Europe.