Le Climat otage de la finance. ou comment le marché boursicote avec les « droits à polluer »
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- Nombre de pages168
- FormatePub
- ISBN978-2-7555-0244-2
- EAN9782755502442
- Date de parution20/08/2008
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard/Mille et une nuits
Résumé
L'alerte a été lancée par les scientifiques : un profond changement climatique est en train de s'accomplir, qui inquiète les populations. Ces prévisions alarmantes obligent les hommes politiques et les pouvoirs économiques à se positionner? Dans l'esprit de bon nombre de citoyens, il serait temps de passer à une phase qui marquerait une rupture réelle avec la société productiviste négatrice de l'environnement.
Or, dans l'esprit des dirigeants, il est au contraire temps de tirer profit de la crise environnementale. De fait, la finance s'est déjà emparée de la crise environnementale et la "valorise". Derrière les émissions de CO2 que tout le mondeou presque affirme vouloir diminuer dans le cadre du fameux protocole de Kyoto, a été taillée sur mesure une "solution" pour les industriels et les investisseurs : le boursicotage des "droits à polluer".
Comme si le marché était à même de remplir les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre... Nouvel étage de la finance internationale, des marchés où s'échangent les "droits à polluer" sont depuis peu en activité. Plus de dix ans après l'entrée en vigueru de Kyoto, il est crucial d'analyser les conséquances de la "finance carbone". L'auteur décrit pour la première fois les coulisses d'un secteur émergent, promis à un avenir radieux, juqu'aux krachs certains : spécultaif et écologique.
Membre d'Attac France jusqu'en 2007, président de l'association Inf'OGM, secrétaine national du Mouvement politique d'éducation poupulaire (M'PEP), Aurélien Bernier est chargé de mission dans l'environnement. Il a travaillé pendant dix ans pour l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe).
Or, dans l'esprit des dirigeants, il est au contraire temps de tirer profit de la crise environnementale. De fait, la finance s'est déjà emparée de la crise environnementale et la "valorise". Derrière les émissions de CO2 que tout le mondeou presque affirme vouloir diminuer dans le cadre du fameux protocole de Kyoto, a été taillée sur mesure une "solution" pour les industriels et les investisseurs : le boursicotage des "droits à polluer".
Comme si le marché était à même de remplir les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre... Nouvel étage de la finance internationale, des marchés où s'échangent les "droits à polluer" sont depuis peu en activité. Plus de dix ans après l'entrée en vigueru de Kyoto, il est crucial d'analyser les conséquances de la "finance carbone". L'auteur décrit pour la première fois les coulisses d'un secteur émergent, promis à un avenir radieux, juqu'aux krachs certains : spécultaif et écologique.
Membre d'Attac France jusqu'en 2007, président de l'association Inf'OGM, secrétaine national du Mouvement politique d'éducation poupulaire (M'PEP), Aurélien Bernier est chargé de mission dans l'environnement. Il a travaillé pendant dix ans pour l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe).
L'alerte a été lancée par les scientifiques : un profond changement climatique est en train de s'accomplir, qui inquiète les populations. Ces prévisions alarmantes obligent les hommes politiques et les pouvoirs économiques à se positionner? Dans l'esprit de bon nombre de citoyens, il serait temps de passer à une phase qui marquerait une rupture réelle avec la société productiviste négatrice de l'environnement.
Or, dans l'esprit des dirigeants, il est au contraire temps de tirer profit de la crise environnementale. De fait, la finance s'est déjà emparée de la crise environnementale et la "valorise". Derrière les émissions de CO2 que tout le mondeou presque affirme vouloir diminuer dans le cadre du fameux protocole de Kyoto, a été taillée sur mesure une "solution" pour les industriels et les investisseurs : le boursicotage des "droits à polluer".
Comme si le marché était à même de remplir les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre... Nouvel étage de la finance internationale, des marchés où s'échangent les "droits à polluer" sont depuis peu en activité. Plus de dix ans après l'entrée en vigueru de Kyoto, il est crucial d'analyser les conséquances de la "finance carbone". L'auteur décrit pour la première fois les coulisses d'un secteur émergent, promis à un avenir radieux, juqu'aux krachs certains : spécultaif et écologique.
Membre d'Attac France jusqu'en 2007, président de l'association Inf'OGM, secrétaine national du Mouvement politique d'éducation poupulaire (M'PEP), Aurélien Bernier est chargé de mission dans l'environnement. Il a travaillé pendant dix ans pour l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe).
Or, dans l'esprit des dirigeants, il est au contraire temps de tirer profit de la crise environnementale. De fait, la finance s'est déjà emparée de la crise environnementale et la "valorise". Derrière les émissions de CO2 que tout le mondeou presque affirme vouloir diminuer dans le cadre du fameux protocole de Kyoto, a été taillée sur mesure une "solution" pour les industriels et les investisseurs : le boursicotage des "droits à polluer".
Comme si le marché était à même de remplir les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre... Nouvel étage de la finance internationale, des marchés où s'échangent les "droits à polluer" sont depuis peu en activité. Plus de dix ans après l'entrée en vigueru de Kyoto, il est crucial d'analyser les conséquances de la "finance carbone". L'auteur décrit pour la première fois les coulisses d'un secteur émergent, promis à un avenir radieux, juqu'aux krachs certains : spécultaif et écologique.
Membre d'Attac France jusqu'en 2007, président de l'association Inf'OGM, secrétaine national du Mouvement politique d'éducation poupulaire (M'PEP), Aurélien Bernier est chargé de mission dans l'environnement. Il a travaillé pendant dix ans pour l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe).