Naissance et renaissance de l'équitation portugaise. Du XVe au XVIIIe siècle d'après l'étude des textes fondateurs
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages442
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-26626-1
- EAN9782296266261
- Date de parution01/09/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJ. Filipe Figueiredo
- PréfacierAnne-Marie Quint
- PréfacierJoão Costa Ferreira
Résumé
Quelle influence l'art équestre portugais a-t-il exercée sur l'équitation européenne, du Moyen-Age au siècle des Lumières ? C'est à cette question que Carlos Pereira s'applique à répondre à travers une étude universitaire dédiée aux oeuvres des grands maîtres portugais, de Dom Duarte (XVe siècle) à Manuel Carlos de Andrade (XVIIIe siècle). La première partie est consacrée au premier traité d'équitation portugaise : O Livro da Ensinança de Bern Cavalgar Toda Sela de Dom Duarte (1434-1435), premier écrivain équestre postantique à avoir analysé la préparation mentale du cavalier (la peur est le premier élément que le cavalier doit vaincre pour atteindre les hautes sphères de l'art équestre) et réalisé la codification de la tauromachie équestre.
Son livre est précieux pour l'histoire de l'équitation médiévale européenne. La deuxième partie étudie l'équitation gyneta, vraisemblablement d'origine arabe et adaptée à la culture ibérique lors de la conquête musulmane, qui atteint son apogée au XVIIe siècle, comme en témoigne le traité de Galvam de Andrade. La tauromachie en constitue un autre volet dans la mesure où l'équitation gyneta en est l'essence.
La troisième partie s'intéresse à l'équitation baroque à la mode en Europe au siècle des Lumières. C'est au XVIIIe siècle que l'équitation classique atteint son plus haut raffinement. Elle se rationalise, et le cheval ibérique devient l'archétype du cheval de manège. La notion de race équine se précise grâce à l'avancée de la zoologie, des sciences vétérinaires, mais aussi pour des raisons économiques, le cheval devenant un enjeu financier non négligeable.
Enfin, la quatrième partie intègre un lexique des termes équestres du XVe au XVIIe siècle, accompagné d'une brève note sur l'évolution du langage équestre portugais. L'auteur conclut par une brève réflexion sur l'avenir de l'équitation portugaise à l'aube du XXI° siècle, période qui marquera probablement sa renaissance. L'étude historique s'appuie sur les textes fondateurs de Dom Duarte (1434-1435), Galvam de Andrade (1678) et Manuel Carlos de Andrade (1790).
Son livre est précieux pour l'histoire de l'équitation médiévale européenne. La deuxième partie étudie l'équitation gyneta, vraisemblablement d'origine arabe et adaptée à la culture ibérique lors de la conquête musulmane, qui atteint son apogée au XVIIe siècle, comme en témoigne le traité de Galvam de Andrade. La tauromachie en constitue un autre volet dans la mesure où l'équitation gyneta en est l'essence.
La troisième partie s'intéresse à l'équitation baroque à la mode en Europe au siècle des Lumières. C'est au XVIIIe siècle que l'équitation classique atteint son plus haut raffinement. Elle se rationalise, et le cheval ibérique devient l'archétype du cheval de manège. La notion de race équine se précise grâce à l'avancée de la zoologie, des sciences vétérinaires, mais aussi pour des raisons économiques, le cheval devenant un enjeu financier non négligeable.
Enfin, la quatrième partie intègre un lexique des termes équestres du XVe au XVIIe siècle, accompagné d'une brève note sur l'évolution du langage équestre portugais. L'auteur conclut par une brève réflexion sur l'avenir de l'équitation portugaise à l'aube du XXI° siècle, période qui marquera probablement sa renaissance. L'étude historique s'appuie sur les textes fondateurs de Dom Duarte (1434-1435), Galvam de Andrade (1678) et Manuel Carlos de Andrade (1790).
Quelle influence l'art équestre portugais a-t-il exercée sur l'équitation européenne, du Moyen-Age au siècle des Lumières ? C'est à cette question que Carlos Pereira s'applique à répondre à travers une étude universitaire dédiée aux oeuvres des grands maîtres portugais, de Dom Duarte (XVe siècle) à Manuel Carlos de Andrade (XVIIIe siècle). La première partie est consacrée au premier traité d'équitation portugaise : O Livro da Ensinança de Bern Cavalgar Toda Sela de Dom Duarte (1434-1435), premier écrivain équestre postantique à avoir analysé la préparation mentale du cavalier (la peur est le premier élément que le cavalier doit vaincre pour atteindre les hautes sphères de l'art équestre) et réalisé la codification de la tauromachie équestre.
Son livre est précieux pour l'histoire de l'équitation médiévale européenne. La deuxième partie étudie l'équitation gyneta, vraisemblablement d'origine arabe et adaptée à la culture ibérique lors de la conquête musulmane, qui atteint son apogée au XVIIe siècle, comme en témoigne le traité de Galvam de Andrade. La tauromachie en constitue un autre volet dans la mesure où l'équitation gyneta en est l'essence.
La troisième partie s'intéresse à l'équitation baroque à la mode en Europe au siècle des Lumières. C'est au XVIIIe siècle que l'équitation classique atteint son plus haut raffinement. Elle se rationalise, et le cheval ibérique devient l'archétype du cheval de manège. La notion de race équine se précise grâce à l'avancée de la zoologie, des sciences vétérinaires, mais aussi pour des raisons économiques, le cheval devenant un enjeu financier non négligeable.
Enfin, la quatrième partie intègre un lexique des termes équestres du XVe au XVIIe siècle, accompagné d'une brève note sur l'évolution du langage équestre portugais. L'auteur conclut par une brève réflexion sur l'avenir de l'équitation portugaise à l'aube du XXI° siècle, période qui marquera probablement sa renaissance. L'étude historique s'appuie sur les textes fondateurs de Dom Duarte (1434-1435), Galvam de Andrade (1678) et Manuel Carlos de Andrade (1790).
Son livre est précieux pour l'histoire de l'équitation médiévale européenne. La deuxième partie étudie l'équitation gyneta, vraisemblablement d'origine arabe et adaptée à la culture ibérique lors de la conquête musulmane, qui atteint son apogée au XVIIe siècle, comme en témoigne le traité de Galvam de Andrade. La tauromachie en constitue un autre volet dans la mesure où l'équitation gyneta en est l'essence.
La troisième partie s'intéresse à l'équitation baroque à la mode en Europe au siècle des Lumières. C'est au XVIIIe siècle que l'équitation classique atteint son plus haut raffinement. Elle se rationalise, et le cheval ibérique devient l'archétype du cheval de manège. La notion de race équine se précise grâce à l'avancée de la zoologie, des sciences vétérinaires, mais aussi pour des raisons économiques, le cheval devenant un enjeu financier non négligeable.
Enfin, la quatrième partie intègre un lexique des termes équestres du XVe au XVIIe siècle, accompagné d'une brève note sur l'évolution du langage équestre portugais. L'auteur conclut par une brève réflexion sur l'avenir de l'équitation portugaise à l'aube du XXI° siècle, période qui marquera probablement sa renaissance. L'étude historique s'appuie sur les textes fondateurs de Dom Duarte (1434-1435), Galvam de Andrade (1678) et Manuel Carlos de Andrade (1790).