Mouvements. Une vie au cinéma

Par : Jonathan Rosenbaum

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  • Nombre de pages285
  • FormatPDF
  • ISBN2-8180-0774-7
  • EAN9782818007747
  • Date de parution11/12/2003
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille4 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurP.O.L
  • TraducteurJean-Luc Mengus

Résumé

Mêlant étroitement autobiographie, analyse cinématographique et histoire sociale, l'auteur évoque une existence jalonnée et transformée par la vision des films, depuis son enfance baignée par le cinéma dans une petite ville de l'Alabama où son père et son grand-père exploitaient un circuit de salles jusqu'à sa vie d'adulte devenu critique globe-trotter. Tout étant indissociables, les films sont évoqués à travers le prisme de la vie : où et quand on les a vus, avec qui (car la notion de communauté était encore prépondérante au cinéma), ce qu'on a fait juste avant ou juste après, sans oublier les substances hallucinogènes que l'on a consommées.
En retour, par le biais des films seront abordés des phénomènes comme les lois raciales et la violence de la ségrégation dans le Sud profond (avec le changement de regard qu'un camp de vacances 'intégré' et les marches pour l'égalité ont provoqué chez l'auteur), ou l'évolution de la vie des Américains : les centres commerciaux en périphérie qui ont petit à petit rendu exsangue le centre des villes, et la télévision qui de plus en plus a fait concurrence aux salles.
La longue évocation d'une comédie musicale sirupeuse avec Doris Day permet aussi à l'auteur de brosser des portraits croisés de lui-même aux divers moments de sa vie où il l'a vue et revue. Et toujours en filigrane, l'écriture, incontournable, depuis les grandes ouvres littéraires qui l'ont marqué jusqu'au besoin vital d'écrire lui-même, en passant par les bandes dessinées, trésors de son enfance, le journal intime dont la tenue lui valait son argent de poche, et toutes sortes de lettres et de témoignages envoyés, reçus, ou retrouvés en élaborant ce livre.
Mêlant étroitement autobiographie, analyse cinématographique et histoire sociale, l'auteur évoque une existence jalonnée et transformée par la vision des films, depuis son enfance baignée par le cinéma dans une petite ville de l'Alabama où son père et son grand-père exploitaient un circuit de salles jusqu'à sa vie d'adulte devenu critique globe-trotter. Tout étant indissociables, les films sont évoqués à travers le prisme de la vie : où et quand on les a vus, avec qui (car la notion de communauté était encore prépondérante au cinéma), ce qu'on a fait juste avant ou juste après, sans oublier les substances hallucinogènes que l'on a consommées.
En retour, par le biais des films seront abordés des phénomènes comme les lois raciales et la violence de la ségrégation dans le Sud profond (avec le changement de regard qu'un camp de vacances 'intégré' et les marches pour l'égalité ont provoqué chez l'auteur), ou l'évolution de la vie des Américains : les centres commerciaux en périphérie qui ont petit à petit rendu exsangue le centre des villes, et la télévision qui de plus en plus a fait concurrence aux salles.
La longue évocation d'une comédie musicale sirupeuse avec Doris Day permet aussi à l'auteur de brosser des portraits croisés de lui-même aux divers moments de sa vie où il l'a vue et revue. Et toujours en filigrane, l'écriture, incontournable, depuis les grandes ouvres littéraires qui l'ont marqué jusqu'au besoin vital d'écrire lui-même, en passant par les bandes dessinées, trésors de son enfance, le journal intime dont la tenue lui valait son argent de poche, et toutes sortes de lettres et de témoignages envoyés, reçus, ou retrouvés en élaborant ce livre.
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