Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A sa sortie, en 1995, Dead Man rendit perplexes de nombreux spectateurs et critiques. Jim Jarmusch avait la réputation de réaliser des films contemporains...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
A sa sortie, en 1995, Dead Man rendit perplexes de nombreux spectateurs et critiques. Jim Jarmusch avait la réputation de réaliser des films contemporains superficiels et branchés. Or Dead Man était un western en noir et blanc. Avec le temps, le nombre de ses admirateurs a cependant augmenté de façon considérable. Et, en effet, Dead Man est peut-être, grâce à son traitement sombre et atypique de la violence, du racisme et du capitalisme, l'œuvre de Jarmusch la plus réussie. Tel est le point de vue de Jonathan Rosenbaum. Selon lui, Dead Man représente à la fois un saut considérable et une étape logique dans la carrière de Jarmusch ; c'est aussi un film qui parle avec force des inquiétudes de notre époque. Johnny Depp en William Blake, un comptable déraciné, Gary Farmer en Nobody, son énigmatique compagnon indien, et les apparitions de Robert Mitchum, John Hurt et Iggy Pop, contribuent à faire de Dead Man - l'un des chefs-d'œuvre du cinéma américain des années quatre-vingt-dix -, un film tour à tour choquant, comique et profond.