Mitterrand, entre Cagoule et Francisque (1935 - 1945)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- FormatePub
- ISBN978-2-8098-2043-0
- EAN9782809820430
- Date de parution21/09/2016
- Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurArchipel
Résumé
Que François Mitterrand, né en 1916, ait côtoyé l'extrême droite dans ses jeunes années n'est plus un mystère depuis la parution de Mitterrand, une jeunesse française, de Pierre Péan (Fayard, 1994)Depuis, l'accès à des archives restées jusque-là secrètes apportent des éléments plus détaillés. Avant la Résistance, sa proximité avec le Comité social d'action révolutionnaire (CSAR), que la presse surnommait la Cagoule, témoignent du personnage déconcertant, bien que fascinant, que reste François Mitterrand.
Son intimité avec Eugène Schueller, âme damnée de la Cagoule, lui fit notamment connaître Jacques Corrèze (devenu numéro 5 de l'Oréal), à qui le président Mitterrand remettra la Légion d'honneur. Mais il ne s'agit là que de la partie émergée de l'iceberg. Les amitiés qu'a pu entretenir Mitterrand avec des militants fascistes allaient plus loin encore. L'ombre portée du président disparu en 1996 n'a pas fini d'obscurcir sa légende...
Son intimité avec Eugène Schueller, âme damnée de la Cagoule, lui fit notamment connaître Jacques Corrèze (devenu numéro 5 de l'Oréal), à qui le président Mitterrand remettra la Légion d'honneur. Mais il ne s'agit là que de la partie émergée de l'iceberg. Les amitiés qu'a pu entretenir Mitterrand avec des militants fascistes allaient plus loin encore. L'ombre portée du président disparu en 1996 n'a pas fini d'obscurcir sa légende...
Que François Mitterrand, né en 1916, ait côtoyé l'extrême droite dans ses jeunes années n'est plus un mystère depuis la parution de Mitterrand, une jeunesse française, de Pierre Péan (Fayard, 1994)Depuis, l'accès à des archives restées jusque-là secrètes apportent des éléments plus détaillés. Avant la Résistance, sa proximité avec le Comité social d'action révolutionnaire (CSAR), que la presse surnommait la Cagoule, témoignent du personnage déconcertant, bien que fascinant, que reste François Mitterrand.
Son intimité avec Eugène Schueller, âme damnée de la Cagoule, lui fit notamment connaître Jacques Corrèze (devenu numéro 5 de l'Oréal), à qui le président Mitterrand remettra la Légion d'honneur. Mais il ne s'agit là que de la partie émergée de l'iceberg. Les amitiés qu'a pu entretenir Mitterrand avec des militants fascistes allaient plus loin encore. L'ombre portée du président disparu en 1996 n'a pas fini d'obscurcir sa légende...
Son intimité avec Eugène Schueller, âme damnée de la Cagoule, lui fit notamment connaître Jacques Corrèze (devenu numéro 5 de l'Oréal), à qui le président Mitterrand remettra la Légion d'honneur. Mais il ne s'agit là que de la partie émergée de l'iceberg. Les amitiés qu'a pu entretenir Mitterrand avec des militants fascistes allaient plus loin encore. L'ombre portée du président disparu en 1996 n'a pas fini d'obscurcir sa légende...










