Migrations

Par : Miloš Tsernianski

Disponible d'occasion :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • FormatePub
  • ISBN978-2-88250-885-0
  • EAN9782882508850
  • Date de parution18/01/2024
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurNoir sur Blanc
  • TraducteurVelimir Popovic
  • PostfacierMilivoj Srebro

Résumé

Les peuples asservis perdent un bien plus précieux que leur liberté : ce qu'on appelait jadis leur âme, ce qu'on nomme aujourd'hui leur identité. Au XVIIIe siècle, pour fuir la domination des Turcs, des milliers de Serbes émigraient dans l'empire voisin, l'Autriche. Mais beaucoup d'entre eux rêvaient d'une terre plus lointaine, slave et orthodoxe comme la leur, où ils pourraient refaire leur vie : la Russie.
Migrations est le roman de cette diaspora. C'est aussi le poème de toutes les espérances et de toutes les nostalgies, le chant des patries perdues et des paradis qui se dérobent. Au-delà de l'anecdote historique, un sentiment de profonde mélancolie parcourt le livre, lui donne une dimension universelle. Du malheur de notre condition, Tsernianski ne conclut pas à l'absence de dieux. Au contraire, une divinité perfide, qu'il nomme le hasard comédien, semble se jouer cyniquement du sort des individus et des peuples.
Il n'y a pas d'Orient salvateur. La terre promise n'existe pas. Il faut lire Migrations comme on lit Melville ou Tolstoï, en se laissant porter par le flux des mots, la houle des phrases, le rythme sourd, obsédant, qui ponctue cette grande fresque romanesque.
Les peuples asservis perdent un bien plus précieux que leur liberté : ce qu'on appelait jadis leur âme, ce qu'on nomme aujourd'hui leur identité. Au XVIIIe siècle, pour fuir la domination des Turcs, des milliers de Serbes émigraient dans l'empire voisin, l'Autriche. Mais beaucoup d'entre eux rêvaient d'une terre plus lointaine, slave et orthodoxe comme la leur, où ils pourraient refaire leur vie : la Russie.
Migrations est le roman de cette diaspora. C'est aussi le poème de toutes les espérances et de toutes les nostalgies, le chant des patries perdues et des paradis qui se dérobent. Au-delà de l'anecdote historique, un sentiment de profonde mélancolie parcourt le livre, lui donne une dimension universelle. Du malheur de notre condition, Tsernianski ne conclut pas à l'absence de dieux. Au contraire, une divinité perfide, qu'il nomme le hasard comédien, semble se jouer cyniquement du sort des individus et des peuples.
Il n'y a pas d'Orient salvateur. La terre promise n'existe pas. Il faut lire Migrations comme on lit Melville ou Tolstoï, en se laissant porter par le flux des mots, la houle des phrases, le rythme sourd, obsédant, qui ponctue cette grande fresque romanesque.
Migrations
Miloš Tsernianski
Grand Format
32,00 €