Michon. Le secret de Maître Pierre

Par : François Berquin

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages132
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-7574-2755-2
  • EAN9782757427552
  • Date de parution23/11/2020
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
  • ÉditeurPU du Septentrion

Résumé

La chose autour de laquelle tournent les pages de ce livre ressemble à un moulin. De fragment en fragment, on s'essaie à regarder cette chose. On regarde surtout les autres la regarder tourner. On les regarde, de loin, s'en approcher et parfois, tels don Quichotte, s'y confronter courageusement. On les regarde alors en revenir : ils ont le regard perdu. Pierre Michon nous dit que ceux-là sont des peintres.

Notre espoir est que si l'on prenait ici le risque, à notre tour, de regarder en face cette chose en forme de moulin, on aurait alors la chance de voir se dessiner comme un portrait de Pierre Michon lui-même. Portrait furtif, apparaissant et disparaissant dans le grand bruit des ailes, ce « bruit râpeux » dont parle Michel Chaillou dans Le ciel touche à peine terre, « un bruit râpeux ôtant on ne sait quoi, à on se sait qui ? ».

La chose autour de laquelle tournent les pages de ce livre ressemble à un moulin. De fragment en fragment, on s'essaie à regarder cette chose. On regarde surtout les autres la regarder tourner. On les regarde, de loin, s'en approcher et parfois, tels don Quichotte, s'y confronter courageusement. On les regarde alors en revenir : ils ont le regard perdu. Pierre Michon nous dit que ceux-là sont des peintres.

Notre espoir est que si l'on prenait ici le risque, à notre tour, de regarder en face cette chose en forme de moulin, on aurait alors la chance de voir se dessiner comme un portrait de Pierre Michon lui-même. Portrait furtif, apparaissant et disparaissant dans le grand bruit des ailes, ce « bruit râpeux » dont parle Michel Chaillou dans Le ciel touche à peine terre, « un bruit râpeux ôtant on ne sait quoi, à on se sait qui ? ».