Maximilien Kolbe. Prêtre, journaliste et martyr (1894-1941)
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages269
- FormatePub
- ISBN978-2-262-03721-5
- EAN9782262037215
- Date de parution02/06/2011
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurPerrin
Résumé
Né en Pologne à la fin du XIXe siècle, Raymond Kolbe, futur père Maximilien-Marie, est marqué à jamais par une apparition de la Vierge durant son enfance. Devenu prêtre franciscain, il fonde une chevalerie spirituelle prônant le don total de soi à Marie, puis un journal destiné à en diffuser l'esprit. En 1927, il bâtit un couvent près de Varsovie, où vivront près de huit cents religieux, et qui abritera une maison d'édition et une station de radio, toutes deux vouées à promouvoir la vénération de la Vierge.
En 1939, le couvent cache des réfugiés polonais et des juifs. Le 17 février 1941, le père Kolbe est arrêté par la Gestapo et transféré à Auschwitz où il se sacrifie en se portant volontaire pour remplacer un homme condamné par les nazis à mourir de faim. Cette fin tragique et héroïque avait jusqu'ici masqué la trajectoire hors du commun de ce patron de presse avant l'heure, qui n'hésita pas à aller jusqu'au Japon pour convertir les âmes.
Dans cette biographie richement documentée, Philippe Maxence rend un vibrant hommage à ce prêtre qui fut canonisé comme martyr par Jean-Paul II.
En 1939, le couvent cache des réfugiés polonais et des juifs. Le 17 février 1941, le père Kolbe est arrêté par la Gestapo et transféré à Auschwitz où il se sacrifie en se portant volontaire pour remplacer un homme condamné par les nazis à mourir de faim. Cette fin tragique et héroïque avait jusqu'ici masqué la trajectoire hors du commun de ce patron de presse avant l'heure, qui n'hésita pas à aller jusqu'au Japon pour convertir les âmes.
Dans cette biographie richement documentée, Philippe Maxence rend un vibrant hommage à ce prêtre qui fut canonisé comme martyr par Jean-Paul II.
Né en Pologne à la fin du XIXe siècle, Raymond Kolbe, futur père Maximilien-Marie, est marqué à jamais par une apparition de la Vierge durant son enfance. Devenu prêtre franciscain, il fonde une chevalerie spirituelle prônant le don total de soi à Marie, puis un journal destiné à en diffuser l'esprit. En 1927, il bâtit un couvent près de Varsovie, où vivront près de huit cents religieux, et qui abritera une maison d'édition et une station de radio, toutes deux vouées à promouvoir la vénération de la Vierge.
En 1939, le couvent cache des réfugiés polonais et des juifs. Le 17 février 1941, le père Kolbe est arrêté par la Gestapo et transféré à Auschwitz où il se sacrifie en se portant volontaire pour remplacer un homme condamné par les nazis à mourir de faim. Cette fin tragique et héroïque avait jusqu'ici masqué la trajectoire hors du commun de ce patron de presse avant l'heure, qui n'hésita pas à aller jusqu'au Japon pour convertir les âmes.
Dans cette biographie richement documentée, Philippe Maxence rend un vibrant hommage à ce prêtre qui fut canonisé comme martyr par Jean-Paul II.
En 1939, le couvent cache des réfugiés polonais et des juifs. Le 17 février 1941, le père Kolbe est arrêté par la Gestapo et transféré à Auschwitz où il se sacrifie en se portant volontaire pour remplacer un homme condamné par les nazis à mourir de faim. Cette fin tragique et héroïque avait jusqu'ici masqué la trajectoire hors du commun de ce patron de presse avant l'heure, qui n'hésita pas à aller jusqu'au Japon pour convertir les âmes.
Dans cette biographie richement documentée, Philippe Maxence rend un vibrant hommage à ce prêtre qui fut canonisé comme martyr par Jean-Paul II.