En 1968 paraît "L'Hérésie du XXe siècle", réquisitoire des collusions d'un épiscopat français avec progressisme, marxisme, modernisme et évolutionnisme. L'âme de ce manifeste : la foi de Péguy, foi ardente et peu cléricale servie par une plume intransigeante. Jean Madiran alors directeur de la revue "Itinéraires" est soutenu par hommes d'Eglise, philosophes, écrivains parmi les plus éminents (le Père Guérard des Lauriers, Marcel De Corte, Henri Massis, Marcel Clément et même Etienne Gilson...).
Pour Jean Madiran, il y a une hérésie propre au XXe siècle et une crise spirituelle et sociale consécutive à l'abandon de la loi naturelle et surnaturelle. Depuis la fondation de la revue "Itinéraires" en 1956, Jean Madiran (1920-2013) s'est attaché à défendre le magistère romain le plus traditionnel. Ses ripostes aux dérives liturgiques, exégétiques et catéchétiques de l'après-concile en ont fait l'un des témoins les plus éminents de la vie de l'Eglise au XXe siècle.
En 1968 paraît "L'Hérésie du XXe siècle", réquisitoire des collusions d'un épiscopat français avec progressisme, marxisme, modernisme et évolutionnisme. L'âme de ce manifeste : la foi de Péguy, foi ardente et peu cléricale servie par une plume intransigeante. Jean Madiran alors directeur de la revue "Itinéraires" est soutenu par hommes d'Eglise, philosophes, écrivains parmi les plus éminents (le Père Guérard des Lauriers, Marcel De Corte, Henri Massis, Marcel Clément et même Etienne Gilson...).
Pour Jean Madiran, il y a une hérésie propre au XXe siècle et une crise spirituelle et sociale consécutive à l'abandon de la loi naturelle et surnaturelle. Depuis la fondation de la revue "Itinéraires" en 1956, Jean Madiran (1920-2013) s'est attaché à défendre le magistère romain le plus traditionnel. Ses ripostes aux dérives liturgiques, exégétiques et catéchétiques de l'après-concile en ont fait l'un des témoins les plus éminents de la vie de l'Eglise au XXe siècle.