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Marcelo le neveu de Goya
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- Nombre de pages176
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22382-0
- EAN9782296223820
- Date de parution01/04/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille4 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le célèbre peintre Goya propose à son neveu Marcelo de le prendre comme apprenti. Marcelo suit son oncle à Madrid. Il découvre la cour et ses fastes, les fêtes, les corridas... et il rencontre Pilar, une jeune couturière. Mais voilà que Napoléon envahit l'Espagne. Le pays est à feu et à sang, que décidera Marcelo ? "- Marcelo, viens ! Ton oncle Paco est là !
- rio Paco ? Marcelo dévala le sentier à côté de la mule qui portait deux énormes cruchons de lait.
Armé d'une branchette de frêne, il la houspillait pour lui faire hâter le pas. - Arre, mules. Dès l'entrée du village, il lui avait bien semblé que quelque chose de bizarre flottait dans l'air. Les gens étaient à leur fenêtre ou sur le pas de leur porte et s'entretenaient à voix basse, en désignant la maison des Goya. De loin, il vit que les volets en étaient ouverts. Il y avait des années que cela ne s'était produit.
Et pour cause ! Don José Goya et sa femme étaient morts depuis belle lurette. Et leur fils Francisco, devenu un peintre célèbre, était parti s'installer à Saragosse, la ville toute proche, puis Madrid, loin de l'Aragon, après un voyage en Italie. On disait même que deux ans auparavant, en 1798, il était devenu Premier Peintre de la Cour..."
Armé d'une branchette de frêne, il la houspillait pour lui faire hâter le pas. - Arre, mules. Dès l'entrée du village, il lui avait bien semblé que quelque chose de bizarre flottait dans l'air. Les gens étaient à leur fenêtre ou sur le pas de leur porte et s'entretenaient à voix basse, en désignant la maison des Goya. De loin, il vit que les volets en étaient ouverts. Il y avait des années que cela ne s'était produit.
Et pour cause ! Don José Goya et sa femme étaient morts depuis belle lurette. Et leur fils Francisco, devenu un peintre célèbre, était parti s'installer à Saragosse, la ville toute proche, puis Madrid, loin de l'Aragon, après un voyage en Italie. On disait même que deux ans auparavant, en 1798, il était devenu Premier Peintre de la Cour..."
Le célèbre peintre Goya propose à son neveu Marcelo de le prendre comme apprenti. Marcelo suit son oncle à Madrid. Il découvre la cour et ses fastes, les fêtes, les corridas... et il rencontre Pilar, une jeune couturière. Mais voilà que Napoléon envahit l'Espagne. Le pays est à feu et à sang, que décidera Marcelo ? "- Marcelo, viens ! Ton oncle Paco est là !
- rio Paco ? Marcelo dévala le sentier à côté de la mule qui portait deux énormes cruchons de lait.
Armé d'une branchette de frêne, il la houspillait pour lui faire hâter le pas. - Arre, mules. Dès l'entrée du village, il lui avait bien semblé que quelque chose de bizarre flottait dans l'air. Les gens étaient à leur fenêtre ou sur le pas de leur porte et s'entretenaient à voix basse, en désignant la maison des Goya. De loin, il vit que les volets en étaient ouverts. Il y avait des années que cela ne s'était produit.
Et pour cause ! Don José Goya et sa femme étaient morts depuis belle lurette. Et leur fils Francisco, devenu un peintre célèbre, était parti s'installer à Saragosse, la ville toute proche, puis Madrid, loin de l'Aragon, après un voyage en Italie. On disait même que deux ans auparavant, en 1798, il était devenu Premier Peintre de la Cour..."
Armé d'une branchette de frêne, il la houspillait pour lui faire hâter le pas. - Arre, mules. Dès l'entrée du village, il lui avait bien semblé que quelque chose de bizarre flottait dans l'air. Les gens étaient à leur fenêtre ou sur le pas de leur porte et s'entretenaient à voix basse, en désignant la maison des Goya. De loin, il vit que les volets en étaient ouverts. Il y avait des années que cela ne s'était produit.
Et pour cause ! Don José Goya et sa femme étaient morts depuis belle lurette. Et leur fils Francisco, devenu un peintre célèbre, était parti s'installer à Saragosse, la ville toute proche, puis Madrid, loin de l'Aragon, après un voyage en Italie. On disait même que deux ans auparavant, en 1798, il était devenu Premier Peintre de la Cour..."
