Mana N° 14-15/2007
Frontières et limites : avons-nous dépassé les bornes ?
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- Nombre de pages376
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17505-1
- EAN9782296175051
- Date de parution01/07/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille285 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierJean Duvignaud
Résumé
La question des frontières et des limites devient de plus en plus prégnante pour ceux qui ont le sentiment que notre société connaît une crise particulièrement préoccupante, dont il est devenu banal d'affirmer qu'elle se traduit par une perte de repères. Cette problématique nous autorise en outre à dépasser le simple constat d'une accumulation de situations qui se singularisent par une abolition des limites et appellent infailliblement le diagnostic des experts.
L'accent porté sur le thème des frontières permet donc de saisir de manière globale la crise de civilisation qui est la nôtre. Ainsi, sans s'interdire d'en décliner les différents symptômes, il est possible de résister à une vaine logique de la spécialisation qui entretient l'illusion d'une société découpée, morcelée. La question des frontières et des limites pose aussi de manière critique celle de la propension d'un certain nombre de spécialistes à parler au nom de la vérité dernière, alors même qu'ils sont délibérément enfermés dans les limites étroites de leur discipline ou de leur champ.
En outre, il semble que les sciences humaines et sociales peuvent difficilement faire l'économie d'un questionnement des limites et des frontières, à une époque où tous les drames qui se jouent, et qui inexorablement se développent, témoignent de leur bouleversement.
L'accent porté sur le thème des frontières permet donc de saisir de manière globale la crise de civilisation qui est la nôtre. Ainsi, sans s'interdire d'en décliner les différents symptômes, il est possible de résister à une vaine logique de la spécialisation qui entretient l'illusion d'une société découpée, morcelée. La question des frontières et des limites pose aussi de manière critique celle de la propension d'un certain nombre de spécialistes à parler au nom de la vérité dernière, alors même qu'ils sont délibérément enfermés dans les limites étroites de leur discipline ou de leur champ.
En outre, il semble que les sciences humaines et sociales peuvent difficilement faire l'économie d'un questionnement des limites et des frontières, à une époque où tous les drames qui se jouent, et qui inexorablement se développent, témoignent de leur bouleversement.
La question des frontières et des limites devient de plus en plus prégnante pour ceux qui ont le sentiment que notre société connaît une crise particulièrement préoccupante, dont il est devenu banal d'affirmer qu'elle se traduit par une perte de repères. Cette problématique nous autorise en outre à dépasser le simple constat d'une accumulation de situations qui se singularisent par une abolition des limites et appellent infailliblement le diagnostic des experts.
L'accent porté sur le thème des frontières permet donc de saisir de manière globale la crise de civilisation qui est la nôtre. Ainsi, sans s'interdire d'en décliner les différents symptômes, il est possible de résister à une vaine logique de la spécialisation qui entretient l'illusion d'une société découpée, morcelée. La question des frontières et des limites pose aussi de manière critique celle de la propension d'un certain nombre de spécialistes à parler au nom de la vérité dernière, alors même qu'ils sont délibérément enfermés dans les limites étroites de leur discipline ou de leur champ.
En outre, il semble que les sciences humaines et sociales peuvent difficilement faire l'économie d'un questionnement des limites et des frontières, à une époque où tous les drames qui se jouent, et qui inexorablement se développent, témoignent de leur bouleversement.
L'accent porté sur le thème des frontières permet donc de saisir de manière globale la crise de civilisation qui est la nôtre. Ainsi, sans s'interdire d'en décliner les différents symptômes, il est possible de résister à une vaine logique de la spécialisation qui entretient l'illusion d'une société découpée, morcelée. La question des frontières et des limites pose aussi de manière critique celle de la propension d'un certain nombre de spécialistes à parler au nom de la vérité dernière, alors même qu'ils sont délibérément enfermés dans les limites étroites de leur discipline ou de leur champ.
En outre, il semble que les sciences humaines et sociales peuvent difficilement faire l'économie d'un questionnement des limites et des frontières, à une époque où tous les drames qui se jouent, et qui inexorablement se développent, témoignent de leur bouleversement.