Lumière nomade

Par : Philippe Leuckx

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages56
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-8070-0007-0
  • EAN9782807000070
  • Date de parution01/06/2014
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille3 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurMEO (Editions)

Résumé

« Lumière nomade » a obtenu le Prix Robert Goffin. "Chez Philippe Leuckx, la magie heureuse des mots s'apparente à la dentelle ; elle est pour lui « secourable » ; dès lors, l'exil est douceur, et non douleur. Ombre et lumière se déclinent à fleur de peau, même si, à la fin, « les pieds sont trop lourds » : trop lourds au seuil de la nuit ?Car la nuit, plus qu'une « lumière nomade », semble révéler au poète des « terres désolées ».
Dès lors, reviendra-t-il à une « écume qui pointe » ? La lumière transpose, mais elle peut aussi cingler. « J'attends, cette lumière cinglante » : pour éclairer plus impitoyablement, soit plus lucidement encore que ne le fait, pour lui, la nuit, « les terres désolées » ? En attendant, la lumière va, se pose, balbutie, étire ses impressions, construit une atmosphère davantage de ville que de champs.
Même si « parfois l'âme des blés convoque » l'auteur, lui « intime les mots d'enfance et de grange », le « somme de revenir à plus de densité ». Soit à davantage de matière (le blé : le pain) ? La densité, Philippe l'avait d'abord évoquée d'une façon proustienne : « le moment dense retrouvé dans l'assise d'un parfum ou au clair mouvement d'un rideau vers la mer. » Ensuite (changement de registre ?) : « Dans la nuit qui vient à plus de densité, nous n'avons plus que du silence en poche ».
Mais il nous avait prévenu : « On demeure presque sans voix, le filet d'émotion contenu. » (extraits de la préface de Monique Thomassettie). « Une écriture fluide, en clair-obscur. C'est une oeuvre enchantée », (Jean-Luc Wauthier, président du jury du prix Robert Goffin). Après des études de lettres et de philosophie, Philippe Leuckx a consacré son mémoire de licence à Marcel Proust avant d'enseigner au C.
E. S. Saint-Vincent à Soignies. Poète, critique, il collabore à de nombreuses revues littéraires francophones (Belgique, France, Suisse, Luxembourg) et italiennes. Ses fréquents voyages ont constitué les sources d'une ouvre poétique forte aujourd'hui d'une quarantaine de recueils, dont plusieurs ont été primés. Certaines de ses ouvres ont été traduites en italien et en croate.
« Lumière nomade » a obtenu le Prix Robert Goffin. "Chez Philippe Leuckx, la magie heureuse des mots s'apparente à la dentelle ; elle est pour lui « secourable » ; dès lors, l'exil est douceur, et non douleur. Ombre et lumière se déclinent à fleur de peau, même si, à la fin, « les pieds sont trop lourds » : trop lourds au seuil de la nuit ?Car la nuit, plus qu'une « lumière nomade », semble révéler au poète des « terres désolées ».
Dès lors, reviendra-t-il à une « écume qui pointe » ? La lumière transpose, mais elle peut aussi cingler. « J'attends, cette lumière cinglante » : pour éclairer plus impitoyablement, soit plus lucidement encore que ne le fait, pour lui, la nuit, « les terres désolées » ? En attendant, la lumière va, se pose, balbutie, étire ses impressions, construit une atmosphère davantage de ville que de champs.
Même si « parfois l'âme des blés convoque » l'auteur, lui « intime les mots d'enfance et de grange », le « somme de revenir à plus de densité ». Soit à davantage de matière (le blé : le pain) ? La densité, Philippe l'avait d'abord évoquée d'une façon proustienne : « le moment dense retrouvé dans l'assise d'un parfum ou au clair mouvement d'un rideau vers la mer. » Ensuite (changement de registre ?) : « Dans la nuit qui vient à plus de densité, nous n'avons plus que du silence en poche ».
Mais il nous avait prévenu : « On demeure presque sans voix, le filet d'émotion contenu. » (extraits de la préface de Monique Thomassettie). « Une écriture fluide, en clair-obscur. C'est une oeuvre enchantée », (Jean-Luc Wauthier, président du jury du prix Robert Goffin). Après des études de lettres et de philosophie, Philippe Leuckx a consacré son mémoire de licence à Marcel Proust avant d'enseigner au C.
E. S. Saint-Vincent à Soignies. Poète, critique, il collabore à de nombreuses revues littéraires francophones (Belgique, France, Suisse, Luxembourg) et italiennes. Ses fréquents voyages ont constitué les sources d'une ouvre poétique forte aujourd'hui d'une quarantaine de recueils, dont plusieurs ont été primés. Certaines de ses ouvres ont été traduites en italien et en croate.
Lumière nomade
Philippe Leuckx
E-book
5,99 €
Le traceur d'aube
Philippe Leuckx, Caroline François-Rubino
20,00 €
Frères de mots
Philippe Leuckx, Philippe Colmant
18,00 €