Littérature francophone, Université et société au Congo-Zaïre. Hommage à Victor Bol
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- Nombre de pages312
- FormatPDF
- ISBN2-296-41593-8
- EAN9782296415935
- Date de parution01/10/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
En hommage à Victor Bol, qui introduisit il y a un demi-siècle au Congo-Zaïre la littérature africaine comme discipline universitaire, une vingtaine de contributeurs, presque tous congolais, analysent sur le mode mémoriel les heurs et malheurs de cette innovation. La recherche, la critique et l'enseignement littéraires, et spécialement dans le champ des lettres africaines et romanes, sont au centre de cette réflexion qui emprunte la route du souvenir.
Les auteurs s'interrogent à plusieurs voix sur ce qui fait la réputation mondiale des travaux congolais en la matière, de même que la gloire des romanciers, poètes, dramaturges africains. Ils analysent aussi la crise socio-économique et politique qui a ruiné et déchiré leur pays, ses populations comme ses écoles et universités, et face à laquelle pèse une paralysie collective. Le Que faire ? pour s'en relever, est ici à l'ordre du jour.
Certains des contributeurs sont devenus au fil des ans amis et collègues de Victor Bol, leur maître décédé en 2002 après avoir formé 3 générations d'élèves, d'autres sont leurs anciens étudiants ou étudiants de ces élèves... ce qui témoigne de l'historicité du monde universitaire congolais et de sa capacité à se reproduire.
Les auteurs s'interrogent à plusieurs voix sur ce qui fait la réputation mondiale des travaux congolais en la matière, de même que la gloire des romanciers, poètes, dramaturges africains. Ils analysent aussi la crise socio-économique et politique qui a ruiné et déchiré leur pays, ses populations comme ses écoles et universités, et face à laquelle pèse une paralysie collective. Le Que faire ? pour s'en relever, est ici à l'ordre du jour.
Certains des contributeurs sont devenus au fil des ans amis et collègues de Victor Bol, leur maître décédé en 2002 après avoir formé 3 générations d'élèves, d'autres sont leurs anciens étudiants ou étudiants de ces élèves... ce qui témoigne de l'historicité du monde universitaire congolais et de sa capacité à se reproduire.
En hommage à Victor Bol, qui introduisit il y a un demi-siècle au Congo-Zaïre la littérature africaine comme discipline universitaire, une vingtaine de contributeurs, presque tous congolais, analysent sur le mode mémoriel les heurs et malheurs de cette innovation. La recherche, la critique et l'enseignement littéraires, et spécialement dans le champ des lettres africaines et romanes, sont au centre de cette réflexion qui emprunte la route du souvenir.
Les auteurs s'interrogent à plusieurs voix sur ce qui fait la réputation mondiale des travaux congolais en la matière, de même que la gloire des romanciers, poètes, dramaturges africains. Ils analysent aussi la crise socio-économique et politique qui a ruiné et déchiré leur pays, ses populations comme ses écoles et universités, et face à laquelle pèse une paralysie collective. Le Que faire ? pour s'en relever, est ici à l'ordre du jour.
Certains des contributeurs sont devenus au fil des ans amis et collègues de Victor Bol, leur maître décédé en 2002 après avoir formé 3 générations d'élèves, d'autres sont leurs anciens étudiants ou étudiants de ces élèves... ce qui témoigne de l'historicité du monde universitaire congolais et de sa capacité à se reproduire.
Les auteurs s'interrogent à plusieurs voix sur ce qui fait la réputation mondiale des travaux congolais en la matière, de même que la gloire des romanciers, poètes, dramaturges africains. Ils analysent aussi la crise socio-économique et politique qui a ruiné et déchiré leur pays, ses populations comme ses écoles et universités, et face à laquelle pèse une paralysie collective. Le Que faire ? pour s'en relever, est ici à l'ordre du jour.
Certains des contributeurs sont devenus au fil des ans amis et collègues de Victor Bol, leur maître décédé en 2002 après avoir formé 3 générations d'élèves, d'autres sont leurs anciens étudiants ou étudiants de ces élèves... ce qui témoigne de l'historicité du monde universitaire congolais et de sa capacité à se reproduire.