Mami Wata la sirène et les peintres populaires de Kinshasa

Par : Lucie Touya

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  • Nombre de pages222
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-32297-2
  • EAN9782296322974
  • Date de parution01/02/2004
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille1010 Ko
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierBogumi Koss Jewsiewicki

Résumé

Mami Wata, moter water: la mère des eaux, la sirène, la déesse hybride, femme-poisson apparue et vénérée en Afrique au moment de la rencontre entre Blancs colonisateurs et Noirs bientôt colonisés. Objet d'un culte qui se répand bientôt dans toute l'Afrique occidentale et centrale, elle devient la déesse préférée des "femmes libres" des villes africaines post-coloniales, fait l'objet de rites propitiatoires, de magie noire et de sorcellerie, mais est aussi source d'espérance en une vie meilleure.
Symbole de ces femmes libres qui effraient et fascinent, elle devient au Congo-Zaïre, à l'époque Mobutu et avec la montée du sida, l'un des thèmes dominants de l'art populaire congolais.
Mami Wata, moter water: la mère des eaux, la sirène, la déesse hybride, femme-poisson apparue et vénérée en Afrique au moment de la rencontre entre Blancs colonisateurs et Noirs bientôt colonisés. Objet d'un culte qui se répand bientôt dans toute l'Afrique occidentale et centrale, elle devient la déesse préférée des "femmes libres" des villes africaines post-coloniales, fait l'objet de rites propitiatoires, de magie noire et de sorcellerie, mais est aussi source d'espérance en une vie meilleure.
Symbole de ces femmes libres qui effraient et fascinent, elle devient au Congo-Zaïre, à l'époque Mobutu et avec la montée du sida, l'un des thèmes dominants de l'art populaire congolais.