Littérature et guerres. Sartre, Malraux, Simon

Par : Philippe Sabot

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages288
  • FormatePub
  • ISBN978-2-13-074088-9
  • EAN9782130740889
  • Date de parution20/04/2015
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurPUF

Résumé

Le livre est consacré à l'étude de trois ouvres appartenant à la littérature française du XXe siècle : Le Diable et le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre (1951), Les Noyers de l'Altenburg d'André Malraux (1943) et Les Géorgiques de Claude Simon (1981). Ces ouvres affrontent un problème commun (celui du sens de l'histoire, révélé par l'expérience de la guerre), qu'elles abordent de manière singulière - aussi bien sur le plan formel de la composition littéraire que sur le plan thématique du traitement de la question philosophique de l'histoire.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.
Le livre est consacré à l'étude de trois ouvres appartenant à la littérature française du XXe siècle : Le Diable et le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre (1951), Les Noyers de l'Altenburg d'André Malraux (1943) et Les Géorgiques de Claude Simon (1981). Ces ouvres affrontent un problème commun (celui du sens de l'histoire, révélé par l'expérience de la guerre), qu'elles abordent de manière singulière - aussi bien sur le plan formel de la composition littéraire que sur le plan thématique du traitement de la question philosophique de l'histoire.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.