Littérature et guerres. Sartre, Malraux, Simon
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN978-2-13-074088-9
- EAN9782130740889
- Date de parution20/04/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPUF
Résumé
Le livre est consacré à l'étude de trois ouvres appartenant à la littérature française du XXe siècle : Le Diable et le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre (1951), Les Noyers de l'Altenburg d'André Malraux (1943) et Les Géorgiques de Claude Simon (1981). Ces ouvres affrontent un problème commun (celui du sens de l'histoire, révélé par l'expérience de la guerre), qu'elles abordent de manière singulière - aussi bien sur le plan formel de la composition littéraire que sur le plan thématique du traitement de la question philosophique de l'histoire.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.
Le livre est consacré à l'étude de trois ouvres appartenant à la littérature française du XXe siècle : Le Diable et le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre (1951), Les Noyers de l'Altenburg d'André Malraux (1943) et Les Géorgiques de Claude Simon (1981). Ces ouvres affrontent un problème commun (celui du sens de l'histoire, révélé par l'expérience de la guerre), qu'elles abordent de manière singulière - aussi bien sur le plan formel de la composition littéraire que sur le plan thématique du traitement de la question philosophique de l'histoire.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.
Le théâtre, pour Sartre, est le terrain privilégié où apparaît l'aliénation ontologique du héros incapable d'entrer dans l'histoire. Le dernier roman de Malraux marque le dépassement du récit historique vers la transcendance de l'art et de l'homme. Simon, enfin, met en question la notion même de « roman historique », l'Histoire se donnant comme l'excès irreprésentable de tout discours.