Lettre à Dieu le fils

Par : Jean-Denis Bredin

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  • Nombre de pages92
  • FormatePub
  • ISBN2-246-53069-5
  • EAN9782246530695
  • Date de parution07/03/2001
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille73 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurGrasset

Résumé

Jean-Denis Bredin est l'auteur, entre autres, de Une singulière famille (Fayard, 1999), L'affaire (Fayard, 1993), Sieyes (Fallois, 1988), L'affaire Caillaux (Gallimard, 1985), et de romans et nouvelles, tels que L'enfant sage (Gallimard), L'absence (Gallimard), Battements de coeur (Fayard), Rien ne va plus (Fayard). Il nous livre ici son Ce que je crois sous forme d'une brève missive à Dieu le Fils. Tel un Job moderne, Jean-Denis Bredin, « vieillesse venue », demande des comptes à Dieu le Fils, le soumet à la question, lui soumet ses suggestions, tantôt avec émotion, tantôt avec légèreté : sur la mort, les souffrances et les injustices, la création de l'univers, le purgatoire et le paradis, le sort fait à Judas, à Marie et à Joseph, les âges de la vie, le plaisir charnel, l'intelligence et la sottise, la vanité... Jamais l'auteur n'avait écrit un livre aussi personnel, où dans l'adresse à Dieu s'avouent l'intimité, la vie intérieure et l'équation familiale (« les étrangetés de votre famille m'ont souvent rappelé les complications de la mienne et les drames, avoués ou non, dans lesquelles vécurent beaucoup d'enfants dont je fus [...] La triste vérité ne semblait-elle pas que vous étiez orphelin de père, ou né de père inconnu ? »). Jamais la plume étincelante du moraliste ne s'est faite plus mordante dans l'ironie (« il est vrai que vous avez un beau jour décidé, sans m'en avoir parlé, de me sauver, de me priver de la damnation éternelle, vous me devez peut-être cette infime réparation »), plus étincelante dans l'aphorisme (« Puis-je vous dire que je vous espérais sans miracles ? »), plus touchante dans le désarroi (« Nous, les exclus de la Foi, nous savons bien que vous ne croiserez pas notre chemin, que nous crèverons dans le doute »).
Jean-Denis Bredin est l'auteur, entre autres, de Une singulière famille (Fayard, 1999), L'affaire (Fayard, 1993), Sieyes (Fallois, 1988), L'affaire Caillaux (Gallimard, 1985), et de romans et nouvelles, tels que L'enfant sage (Gallimard), L'absence (Gallimard), Battements de coeur (Fayard), Rien ne va plus (Fayard). Il nous livre ici son Ce que je crois sous forme d'une brève missive à Dieu le Fils. Tel un Job moderne, Jean-Denis Bredin, « vieillesse venue », demande des comptes à Dieu le Fils, le soumet à la question, lui soumet ses suggestions, tantôt avec émotion, tantôt avec légèreté : sur la mort, les souffrances et les injustices, la création de l'univers, le purgatoire et le paradis, le sort fait à Judas, à Marie et à Joseph, les âges de la vie, le plaisir charnel, l'intelligence et la sottise, la vanité... Jamais l'auteur n'avait écrit un livre aussi personnel, où dans l'adresse à Dieu s'avouent l'intimité, la vie intérieure et l'équation familiale (« les étrangetés de votre famille m'ont souvent rappelé les complications de la mienne et les drames, avoués ou non, dans lesquelles vécurent beaucoup d'enfants dont je fus [...] La triste vérité ne semblait-elle pas que vous étiez orphelin de père, ou né de père inconnu ? »). Jamais la plume étincelante du moraliste ne s'est faite plus mordante dans l'ironie (« il est vrai que vous avez un beau jour décidé, sans m'en avoir parlé, de me sauver, de me priver de la damnation éternelle, vous me devez peut-être cette infime réparation »), plus étincelante dans l'aphorisme (« Puis-je vous dire que je vous espérais sans miracles ? »), plus touchante dans le désarroi (« Nous, les exclus de la Foi, nous savons bien que vous ne croiserez pas notre chemin, que nous crèverons dans le doute »).
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