J'accuse : la vérité en marche
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- Nombre de pages174
- FormatePub
- ISBN978-2-37735-384-2
- EAN9782377353842
- Date de parution13/11/2019
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- ÉditeurArchipoche
- PréfacierHenri Guillemin
- Auteur d'une dédicaceJean-Denis Bredin
Résumé
Une nouvelle collection d'essais, pour rendre accessibles les plus grandes questions d'Histoire Janvier 1898. Zola est scandalisé par la tournure que prend l'Affaire Dreyfus. Face au secret militaire et à la raison d'État qui étouffent le procès du capitaine Dreyfus et empêchent tout débat public, l'auteur des Rougon-Macquart tente une immense provocation : en deux nuits et un jour, il rédige une Lettre ouverte au président de la République.
Il y met en cause le grand État-Major, accusant des généraux de mensonges, de parjure et de crime. Publié le 13 janvier à la une de L'Aurore, le journal de Clemenceau, sous le titre "J'accuse... !", ce réquisitoire fait l'effet d'une bombe. En quelques heures, les lecteurs s'arracheront plus de 300 000 exemplaires. Comme il l'avait lui-même prévu, Zola sera inculpé et traduit en cour d'assises. Mais, cette fois, aucun huis clos possible : ce procès-là sera public.
Zola sait déjà qu'il sera condamné. Du moins aura-t-il arraché le cas Dreyfus à la nuit dont s'entoure le tribunal militaire. Le procès du capitaine Dreyfus devient "l'Affaire Dreyfus". Trois ans plus tard, sous le titre La Vérité en marche, Zola publie l'ensemble des articles qu'il écrivit sur l'Affaire, rassemblés et présentés dans ce livre par Henri Guillemin (célèbre historien, biographe de Zola) et postfacé par Jean-Denis Bredin, l'un des meilleurs connaisseurs de "l'Affaire".
Il y met en cause le grand État-Major, accusant des généraux de mensonges, de parjure et de crime. Publié le 13 janvier à la une de L'Aurore, le journal de Clemenceau, sous le titre "J'accuse... !", ce réquisitoire fait l'effet d'une bombe. En quelques heures, les lecteurs s'arracheront plus de 300 000 exemplaires. Comme il l'avait lui-même prévu, Zola sera inculpé et traduit en cour d'assises. Mais, cette fois, aucun huis clos possible : ce procès-là sera public.
Zola sait déjà qu'il sera condamné. Du moins aura-t-il arraché le cas Dreyfus à la nuit dont s'entoure le tribunal militaire. Le procès du capitaine Dreyfus devient "l'Affaire Dreyfus". Trois ans plus tard, sous le titre La Vérité en marche, Zola publie l'ensemble des articles qu'il écrivit sur l'Affaire, rassemblés et présentés dans ce livre par Henri Guillemin (célèbre historien, biographe de Zola) et postfacé par Jean-Denis Bredin, l'un des meilleurs connaisseurs de "l'Affaire".
Une nouvelle collection d'essais, pour rendre accessibles les plus grandes questions d'Histoire Janvier 1898. Zola est scandalisé par la tournure que prend l'Affaire Dreyfus. Face au secret militaire et à la raison d'État qui étouffent le procès du capitaine Dreyfus et empêchent tout débat public, l'auteur des Rougon-Macquart tente une immense provocation : en deux nuits et un jour, il rédige une Lettre ouverte au président de la République.
Il y met en cause le grand État-Major, accusant des généraux de mensonges, de parjure et de crime. Publié le 13 janvier à la une de L'Aurore, le journal de Clemenceau, sous le titre "J'accuse... !", ce réquisitoire fait l'effet d'une bombe. En quelques heures, les lecteurs s'arracheront plus de 300 000 exemplaires. Comme il l'avait lui-même prévu, Zola sera inculpé et traduit en cour d'assises. Mais, cette fois, aucun huis clos possible : ce procès-là sera public.
Zola sait déjà qu'il sera condamné. Du moins aura-t-il arraché le cas Dreyfus à la nuit dont s'entoure le tribunal militaire. Le procès du capitaine Dreyfus devient "l'Affaire Dreyfus". Trois ans plus tard, sous le titre La Vérité en marche, Zola publie l'ensemble des articles qu'il écrivit sur l'Affaire, rassemblés et présentés dans ce livre par Henri Guillemin (célèbre historien, biographe de Zola) et postfacé par Jean-Denis Bredin, l'un des meilleurs connaisseurs de "l'Affaire".
Il y met en cause le grand État-Major, accusant des généraux de mensonges, de parjure et de crime. Publié le 13 janvier à la une de L'Aurore, le journal de Clemenceau, sous le titre "J'accuse... !", ce réquisitoire fait l'effet d'une bombe. En quelques heures, les lecteurs s'arracheront plus de 300 000 exemplaires. Comme il l'avait lui-même prévu, Zola sera inculpé et traduit en cour d'assises. Mais, cette fois, aucun huis clos possible : ce procès-là sera public.
Zola sait déjà qu'il sera condamné. Du moins aura-t-il arraché le cas Dreyfus à la nuit dont s'entoure le tribunal militaire. Le procès du capitaine Dreyfus devient "l'Affaire Dreyfus". Trois ans plus tard, sous le titre La Vérité en marche, Zola publie l'ensemble des articles qu'il écrivit sur l'Affaire, rassemblés et présentés dans ce livre par Henri Guillemin (célèbre historien, biographe de Zola) et postfacé par Jean-Denis Bredin, l'un des meilleurs connaisseurs de "l'Affaire".