4/5
Les voleurs d'ampoules
Grand Format
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- FormatePub
- ISBN978-2-88983-100-5
- EAN9782889831005
- Date de parution10/04/2025
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurNoir sur Blanc
- TraducteurIsabelle Macor
Résumé
Habitant au dixième et dernier étage d'une barre d'immeuble, chef-d'ouvre d'architecture brutaliste à l'époque du communisme tardif, Tadeusz s'est vu confier par son père une tâche difficile : aller porter un précieux, un miraculeux paquet de café en grains à M. Stefan, le seul voisin à posséder encore un de ces vieux moulins à manivelle. L'expédition n'est pas facile, il faut s'aventurer tout au bout du couloir, qui fait plus de cent mètres et qui est toujours sombre, parce que les locataires ne cessent d'y voler les ampoules.
À la faveur de cette odyssée, Tomasz Rózycki nous raconte le quartier de son enfance, avec ses monstres, ses demi-dieux, ses ragots, ses petites affaires et ses exploits de légende. Ithaque ? C'est un appartement de 35 m2 que Tadeusz habite avec ses frères et sours et leurs parents. De même que la mémoire de l'auteur, ce long chemin obscur a tout du labyrinthe. Dans une prose tantôt lyrique, tantôt clinique, avec autant d'humour que de goût pour la rêverie, ce panorama d'une enfance au crépuscule de l'époque communiste est un enchantement.
À la faveur de cette odyssée, Tomasz Rózycki nous raconte le quartier de son enfance, avec ses monstres, ses demi-dieux, ses ragots, ses petites affaires et ses exploits de légende. Ithaque ? C'est un appartement de 35 m2 que Tadeusz habite avec ses frères et sours et leurs parents. De même que la mémoire de l'auteur, ce long chemin obscur a tout du labyrinthe. Dans une prose tantôt lyrique, tantôt clinique, avec autant d'humour que de goût pour la rêverie, ce panorama d'une enfance au crépuscule de l'époque communiste est un enchantement.
Habitant au dixième et dernier étage d'une barre d'immeuble, chef-d'ouvre d'architecture brutaliste à l'époque du communisme tardif, Tadeusz s'est vu confier par son père une tâche difficile : aller porter un précieux, un miraculeux paquet de café en grains à M. Stefan, le seul voisin à posséder encore un de ces vieux moulins à manivelle. L'expédition n'est pas facile, il faut s'aventurer tout au bout du couloir, qui fait plus de cent mètres et qui est toujours sombre, parce que les locataires ne cessent d'y voler les ampoules.
À la faveur de cette odyssée, Tomasz Rózycki nous raconte le quartier de son enfance, avec ses monstres, ses demi-dieux, ses ragots, ses petites affaires et ses exploits de légende. Ithaque ? C'est un appartement de 35 m2 que Tadeusz habite avec ses frères et sours et leurs parents. De même que la mémoire de l'auteur, ce long chemin obscur a tout du labyrinthe. Dans une prose tantôt lyrique, tantôt clinique, avec autant d'humour que de goût pour la rêverie, ce panorama d'une enfance au crépuscule de l'époque communiste est un enchantement.
À la faveur de cette odyssée, Tomasz Rózycki nous raconte le quartier de son enfance, avec ses monstres, ses demi-dieux, ses ragots, ses petites affaires et ses exploits de légende. Ithaque ? C'est un appartement de 35 m2 que Tadeusz habite avec ses frères et sours et leurs parents. De même que la mémoire de l'auteur, ce long chemin obscur a tout du labyrinthe. Dans une prose tantôt lyrique, tantôt clinique, avec autant d'humour que de goût pour la rêverie, ce panorama d'une enfance au crépuscule de l'époque communiste est un enchantement.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Dilamar— Decitre Bellecour
4/5
“ La rêverie contre la réalité ”
Pologne. Le communisme vacille comme l'immeuble où habite le narrateur. Quant au narrateur, il revient sur son enfance, et on le suit avec plaisir et étonnement. Son récit, à hauteur d'enfant, est mené avec la fougue et la fantaisie propres à cet âge. On avance à coups de détails sordides de la réalité et des envols de l'imagination débridée. Tout cela déversé avec un humour rare, noir et délicieux. Un vrai poème !
Pologne. Le communisme vacille comme l'immeuble où habite le narrateur. Quant au narrateur, il revient sur son enfance, et on le suit avec plaisir et étonnement. Son récit, à hauteur d'enfant, est mené avec la fougue et la fantaisie propres à cet âge. On avance à coups de détails sordides de la réalité et des envols de l'imagination débridée. Tout cela déversé avec un humour rare, noir et délicieux. Un vrai poème !
