Les réformes de l'Observance en Europe (XIVe - XVIe siècle). Régler, éduquer et contrôler la société chrétienne
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- Nombre de pages616
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7283-1828-5
- EAN9782728318285
- Date de parution24/03/2025
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPublications de l’École français...
Résumé
À partir de la fin du XIVe siècle, des mouvements de réforme ont traversé presque tous les ordres religieux au nom d'une plus grande observance de leurs règles. Des hommes et des femmes se revendiquant de cette volonté réformatrice se sont investis dans une pastorale conquérante ou un enseignement adapté à des publics ciblés, usant de la parole et de l'image de façon souvent novatrice, écrivant des traités et des lettres, conseillant les puissants.
Face aux crises de l'Église romaine, aux profondes mutations sociales et aux attentes des fidèles, ils prônaient l'obéissance et des normes de comportement plus strictes à l'intérieur comme à l'extérieur des cloîtres, témoignant d'une culture partagée dont les influences se sont exercées jusque dans la création artistique. Qu'il se soit agi de piété quotidienne, de morale ou d'économie, peu d'aspects de la bonne vie chrétienne ont été ignorés, en une recherche conjuguée de consensus et de contrôle social.
La rançon en fut toutefois lourde, entre lutte contre la déviance et l'hérésie, critiques violentes émanant de clercs ou de laïcs lettrés et germes de violentes ruptures. C'est à une exploration de ce phénomène constituant l'une des clefs de compréhension des sociétés de la Renaissance qu'invite cet ouvrage, fruit des échanges pluridisciplinaires d'une trentaine d'auteurs à l'échelle européenne.
Face aux crises de l'Église romaine, aux profondes mutations sociales et aux attentes des fidèles, ils prônaient l'obéissance et des normes de comportement plus strictes à l'intérieur comme à l'extérieur des cloîtres, témoignant d'une culture partagée dont les influences se sont exercées jusque dans la création artistique. Qu'il se soit agi de piété quotidienne, de morale ou d'économie, peu d'aspects de la bonne vie chrétienne ont été ignorés, en une recherche conjuguée de consensus et de contrôle social.
La rançon en fut toutefois lourde, entre lutte contre la déviance et l'hérésie, critiques violentes émanant de clercs ou de laïcs lettrés et germes de violentes ruptures. C'est à une exploration de ce phénomène constituant l'une des clefs de compréhension des sociétés de la Renaissance qu'invite cet ouvrage, fruit des échanges pluridisciplinaires d'une trentaine d'auteurs à l'échelle européenne.
À partir de la fin du XIVe siècle, des mouvements de réforme ont traversé presque tous les ordres religieux au nom d'une plus grande observance de leurs règles. Des hommes et des femmes se revendiquant de cette volonté réformatrice se sont investis dans une pastorale conquérante ou un enseignement adapté à des publics ciblés, usant de la parole et de l'image de façon souvent novatrice, écrivant des traités et des lettres, conseillant les puissants.
Face aux crises de l'Église romaine, aux profondes mutations sociales et aux attentes des fidèles, ils prônaient l'obéissance et des normes de comportement plus strictes à l'intérieur comme à l'extérieur des cloîtres, témoignant d'une culture partagée dont les influences se sont exercées jusque dans la création artistique. Qu'il se soit agi de piété quotidienne, de morale ou d'économie, peu d'aspects de la bonne vie chrétienne ont été ignorés, en une recherche conjuguée de consensus et de contrôle social.
La rançon en fut toutefois lourde, entre lutte contre la déviance et l'hérésie, critiques violentes émanant de clercs ou de laïcs lettrés et germes de violentes ruptures. C'est à une exploration de ce phénomène constituant l'une des clefs de compréhension des sociétés de la Renaissance qu'invite cet ouvrage, fruit des échanges pluridisciplinaires d'une trentaine d'auteurs à l'échelle européenne.
Face aux crises de l'Église romaine, aux profondes mutations sociales et aux attentes des fidèles, ils prônaient l'obéissance et des normes de comportement plus strictes à l'intérieur comme à l'extérieur des cloîtres, témoignant d'une culture partagée dont les influences se sont exercées jusque dans la création artistique. Qu'il se soit agi de piété quotidienne, de morale ou d'économie, peu d'aspects de la bonne vie chrétienne ont été ignorés, en une recherche conjuguée de consensus et de contrôle social.
La rançon en fut toutefois lourde, entre lutte contre la déviance et l'hérésie, critiques violentes émanant de clercs ou de laïcs lettrés et germes de violentes ruptures. C'est à une exploration de ce phénomène constituant l'une des clefs de compréhension des sociétés de la Renaissance qu'invite cet ouvrage, fruit des échanges pluridisciplinaires d'une trentaine d'auteurs à l'échelle européenne.




