Les Origines Des Sciences De L'Information Et De La Communication. Regards Croises
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- Nombre de pages184
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-3468-0
- EAN9782757434680
- Date de parution06/10/2022
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses Universitaires du Septen...
Résumé
Dû à l'initiative de Théories et Pratiques Scientifiques (TPS), groupe de travail de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication (SFSIC) dirigé par Robert Boure, cet ouvrage collectif s'intéresse aux origines (années 1970-1980) des sciences de l'information et de la communication (SIC), question largement inédite tant dans le champ de cette discipline que dans celui de l'histoire des sciences sociales.
Il s'adresse aussi bien aux étudiants, aux enseignants et aux chercheurs de la 71e section du Conseil National des Universités, qu'aux praticiens de l'information et de la communication qui souhaitent en savoir davantage sur « l'invention » d'une discipline d'où ils sont de plus en plus nombreux à être issus. Les auteurs ont entendu produire une histoire non hagiographique et non rétrospective, et par conséquent une histoire éloignée des vérités officielles, des « grands récits » et de la glorification des « Pères fondateurs » ou prétendus tels, tout en s'intéressant plus particulièrement aux dimensions institutionnelles - mal connues - ainsi qu'à leurs articulations avec la production intellectuelle et avec les principaux débats du champ.
Ils ont choisi d'éclairer les origines des SIC à partir tantôt de « temps forts » analysés de façon synchronique ou diachronique, tantôt de questions récurrentes qui ont fortement marqué leurs premières années d'existence et qui restent très prégnantes dans une discipline dont la construction institutionnelle et cognitive est loin d'être achevée (professionnalisation des formations, carrière des enseignants-chercheurs, gestion des transfuges, organisation de la recherche, légitimation, rapports avec les autres disciplines...).
Il s'adresse aussi bien aux étudiants, aux enseignants et aux chercheurs de la 71e section du Conseil National des Universités, qu'aux praticiens de l'information et de la communication qui souhaitent en savoir davantage sur « l'invention » d'une discipline d'où ils sont de plus en plus nombreux à être issus. Les auteurs ont entendu produire une histoire non hagiographique et non rétrospective, et par conséquent une histoire éloignée des vérités officielles, des « grands récits » et de la glorification des « Pères fondateurs » ou prétendus tels, tout en s'intéressant plus particulièrement aux dimensions institutionnelles - mal connues - ainsi qu'à leurs articulations avec la production intellectuelle et avec les principaux débats du champ.
Ils ont choisi d'éclairer les origines des SIC à partir tantôt de « temps forts » analysés de façon synchronique ou diachronique, tantôt de questions récurrentes qui ont fortement marqué leurs premières années d'existence et qui restent très prégnantes dans une discipline dont la construction institutionnelle et cognitive est loin d'être achevée (professionnalisation des formations, carrière des enseignants-chercheurs, gestion des transfuges, organisation de la recherche, légitimation, rapports avec les autres disciplines...).
Dû à l'initiative de Théories et Pratiques Scientifiques (TPS), groupe de travail de la Société Française des Sciences de l'Information et de la Communication (SFSIC) dirigé par Robert Boure, cet ouvrage collectif s'intéresse aux origines (années 1970-1980) des sciences de l'information et de la communication (SIC), question largement inédite tant dans le champ de cette discipline que dans celui de l'histoire des sciences sociales.
Il s'adresse aussi bien aux étudiants, aux enseignants et aux chercheurs de la 71e section du Conseil National des Universités, qu'aux praticiens de l'information et de la communication qui souhaitent en savoir davantage sur « l'invention » d'une discipline d'où ils sont de plus en plus nombreux à être issus. Les auteurs ont entendu produire une histoire non hagiographique et non rétrospective, et par conséquent une histoire éloignée des vérités officielles, des « grands récits » et de la glorification des « Pères fondateurs » ou prétendus tels, tout en s'intéressant plus particulièrement aux dimensions institutionnelles - mal connues - ainsi qu'à leurs articulations avec la production intellectuelle et avec les principaux débats du champ.
Ils ont choisi d'éclairer les origines des SIC à partir tantôt de « temps forts » analysés de façon synchronique ou diachronique, tantôt de questions récurrentes qui ont fortement marqué leurs premières années d'existence et qui restent très prégnantes dans une discipline dont la construction institutionnelle et cognitive est loin d'être achevée (professionnalisation des formations, carrière des enseignants-chercheurs, gestion des transfuges, organisation de la recherche, légitimation, rapports avec les autres disciplines...).
Il s'adresse aussi bien aux étudiants, aux enseignants et aux chercheurs de la 71e section du Conseil National des Universités, qu'aux praticiens de l'information et de la communication qui souhaitent en savoir davantage sur « l'invention » d'une discipline d'où ils sont de plus en plus nombreux à être issus. Les auteurs ont entendu produire une histoire non hagiographique et non rétrospective, et par conséquent une histoire éloignée des vérités officielles, des « grands récits » et de la glorification des « Pères fondateurs » ou prétendus tels, tout en s'intéressant plus particulièrement aux dimensions institutionnelles - mal connues - ainsi qu'à leurs articulations avec la production intellectuelle et avec les principaux débats du champ.
Ils ont choisi d'éclairer les origines des SIC à partir tantôt de « temps forts » analysés de façon synchronique ou diachronique, tantôt de questions récurrentes qui ont fortement marqué leurs premières années d'existence et qui restent très prégnantes dans une discipline dont la construction institutionnelle et cognitive est loin d'être achevée (professionnalisation des formations, carrière des enseignants-chercheurs, gestion des transfuges, organisation de la recherche, légitimation, rapports avec les autres disciplines...).