Les mutations du travail en Europe. [actes du colloque, Dunkerque, Boulogne-sur-Mer, 18-19 mars 1999]
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- Nombre de pages416
- FormatPDF
- ISBN2-296-40782-X
- EAN9782296407824
- Date de parution01/02/2000
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Pour dresser le bilan des mutations du travail en Europe, 27 chercheurs syndicalistes et responsables politiques se sont réunis. De l'Atlantique à l'Oural, de la Mer du Nord à la Méditerranée, huit pays européens (Allemagne, Belgique, Bulgarie, Grande-Bretagne, Grèce, France, Roumanie, Russie) sont passés au peigne fin. En dépit de l'éloignement géographique et du régime économique - anciennement ou nouvellement capitaliste - le travail à temps partiel (en particulier pour les jeunes et les femmes), le travail intérimaire, les petits boulots, le travail à domicile informatisé, le faux travail indépendant, etc.
constituent le quotidien pour une immense majorité d'Européens. Quelle place notre société fait-elle au travail ? Que de clichés ne sont-ils pas véhiculés sur le sujet : intellectualisation du travail, indépendance économique, souplesse des horaires de travail, imagination, création, etc. Comme toujours, la guerre économique oppose le capital et le travail. En cette fin de siècle, le second n'est plus, selon la formule consacrée, qu'une " variable d'ajustement ".
Bradé, il se soumet au bon vouloir d'une logique économique sur laquelle il n'a pas de prise.
constituent le quotidien pour une immense majorité d'Européens. Quelle place notre société fait-elle au travail ? Que de clichés ne sont-ils pas véhiculés sur le sujet : intellectualisation du travail, indépendance économique, souplesse des horaires de travail, imagination, création, etc. Comme toujours, la guerre économique oppose le capital et le travail. En cette fin de siècle, le second n'est plus, selon la formule consacrée, qu'une " variable d'ajustement ".
Bradé, il se soumet au bon vouloir d'une logique économique sur laquelle il n'a pas de prise.
Pour dresser le bilan des mutations du travail en Europe, 27 chercheurs syndicalistes et responsables politiques se sont réunis. De l'Atlantique à l'Oural, de la Mer du Nord à la Méditerranée, huit pays européens (Allemagne, Belgique, Bulgarie, Grande-Bretagne, Grèce, France, Roumanie, Russie) sont passés au peigne fin. En dépit de l'éloignement géographique et du régime économique - anciennement ou nouvellement capitaliste - le travail à temps partiel (en particulier pour les jeunes et les femmes), le travail intérimaire, les petits boulots, le travail à domicile informatisé, le faux travail indépendant, etc.
constituent le quotidien pour une immense majorité d'Européens. Quelle place notre société fait-elle au travail ? Que de clichés ne sont-ils pas véhiculés sur le sujet : intellectualisation du travail, indépendance économique, souplesse des horaires de travail, imagination, création, etc. Comme toujours, la guerre économique oppose le capital et le travail. En cette fin de siècle, le second n'est plus, selon la formule consacrée, qu'une " variable d'ajustement ".
Bradé, il se soumet au bon vouloir d'une logique économique sur laquelle il n'a pas de prise.
constituent le quotidien pour une immense majorité d'Européens. Quelle place notre société fait-elle au travail ? Que de clichés ne sont-ils pas véhiculés sur le sujet : intellectualisation du travail, indépendance économique, souplesse des horaires de travail, imagination, création, etc. Comme toujours, la guerre économique oppose le capital et le travail. En cette fin de siècle, le second n'est plus, selon la formule consacrée, qu'une " variable d'ajustement ".
Bradé, il se soumet au bon vouloir d'une logique économique sur laquelle il n'a pas de prise.